Les Minoens. Origines et développement À la fois continentale, péninsulaire (Péloponnèse) et insulaire (îles Ioniennes, Cyclades, Sporades, Crête) la Grèce est un pays montagneux où dès le néolithique des peuples d’origines septentrionales occupèrent la Thessalie (centre de la Grèce) et la Crête et y développèrent une civilisation agraire.
La première grande civilisation de la mer Égée fut crée par les Minoens de Crête. Palais de Cnossos. Knossos : koulourès.
Cnossos est le palais le plus important de Crète. Le site était occupé dès le Néolithique (IVe millénaire). Le palais de Cnossos est construit un peu après 2000 av. J. -C., détruit vers 1700, reconstruit tout de suite après et détruit partiellement en 1650 et définitivement en 1450 av. L’entrée principale du palais se faisait exactement comme aujourd’hui, à l’Ouest, par une rampe qui menait à une cour. Theudericus : Crète - Les Palais Minoens. Ce chapître, après une brève introduction sur la civilisation Minoenne de la Crète, présentera quelques photos des Palais Minoens.
Cette île fut le berceau, entre 3000 et 1400 avant Jésus-Christ, d'une très brillante civilisation. Brutalement disparue pour des raisons encore obscures, cette civilisation demeura oubliée jusqu'au début du XXème siècle. C'est en effet en 1900, que l'archéologue Anglais Sir Arthur Evans découvre le plus grand centre de cette civilisation : Cnossos. En hommage au roi mythique Minos, Evans appelera cette qualifiera cette civilisation de Minoenne. La Crète Minoenne. Ces périodes peuvent être découpées en plusieurs époques : 6000-2800 av. La Thalassocratie Crétoise, enrichie par le commerce maritime se développa autour de palais qui étaient situés au coeur d'importants groupement urbains.
Tous les palais Minoens sont batis sur un plan très semblable, autour d'une cour rectangulaire non couverte et généralement orientée Nord-Sud. Les Palais Minoens. Localisation Phaistos (ou Festòs ou Phaestos ou Phaistós, en Grec : Φαιστός, en Latin : Phaestus) est une ancienne ville de Crète.
Elle était située sur la côte Sud de l'île, sur une crête au-dessus de la plaine de la Messara, à quelques 5,6 km. de la mer. Homère décrit Phaistos comme "la ville au grand nombre d'habitants", ces derniers auraient participé à la guerre de Troie. Selon la mythologie, Phaistos était gouvernée par Rhadamanthe (ou Rhadamante ou Rhadámanthus, en Grec : 'Pαδάμανθυς), le fils de Zeus et d'Europe et le frère de Minos. C'est l'un des sites les plus importants de la civilisation Minoenne. Cnossos. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cnossos ou Knossos (en grec ancien Κνωσός / Knôsós) était probablement la capitale de la Crète lors de la période minoenne. La cité abriterait le palais du roi Minos, le plus important des palais minoens et sans doute le plus connu des sites crétois depuis sa découverte en 1878. Cnossos est aujourd'hui le plus grand site archéologique minoen connu. Son aspect et sa taille en font un endroit remarquable et incontournable des civilisations de l'Europe archaïque. Le site reçoit un demi million de visiteurs par an[1]. Découverte[modifier | modifier le code] Les ruines de Cnossos ont été découvertes en 1878 par un antiquaire crétois, Minos Kalokairinos. Le 16 mars 1900, un archéologue britannique, Arthur Evans, achète l'ensemble du site et entame des fouilles de grande envergure.
Historique[modifier | modifier le code] Bassin lustral nord Salle du trône du Palais. Ecritures crétoises. Ecritures crétoises et égéennes Cinq écritures apparaissent dans monde égéen et crétois avant qu'y soit introduit l'alphabet phénicien : le hiéroglyphique crétois, le linéaire A, l'écriture du disque de Phaistos, le linéaire B et le chypro-minoen.
Ces cinq écritures ont été découvertes lors de fouilles menées en Crète à partir du début du XXe siècle, surtout par le Britannique Arthur Evans. Le nombre de signes dans chaque écriture indique qu'il s'agit d'écritures syllabiques. Mais seul le linéaire B a été déchiffré. Pour les quatre autres écritures, le hiéroglyphique, le linéaire A, le disque de Phaistos et le chypro-minoen, on ne déchiffre pas encore la langue transcrite. Le hiéroglyphique crétois (ainsi nommé par Arthur Evans en raison de la ressemblance du type de signes avec ceux du hiéroglyphique égyptien) est constitué de moins d'une centaine de signes. Hiéroglyphes égyptiens Exemples de hiéroglyphes crétois : – Signes du linéaire A proposés pour Unicode : Signes syllabiques.
Le culte du taureau en Crète. L’avènement des premiers rois de Crète Tout commence par une histoire d’amour de Zeus avec une mortelle : Europe, fille du roi de Tyr en Phénicie.
Un jour, alors qu’elle cueille des fleurs avec ses compagnes, elle s’éloigne pour cueillir un narcisse : un taureau blanc sort soudainement de la mer, aux cornes comme un croissant de lune. D’abord apeurée, elle se met à jouer avec lui et à orner sa tête de couronnes de fleurs, puis elle ose monter sur son dos pendant qu’il feint d’être endormi. Une fois réveillé, le taureau entre dans la mer et nage jusqu’en Crète, côte Sud : là, il devient un jeune homme (Zeus) et tous deux s’unissent sous un bouquet de platane qui n’a plus jamais perdu ses feuilles depuis ce jour.