Erich Hartmann (aviateur) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Né dans une famille de passionnés d'aviation (sa mère fonde en 1936 une école de vol à voile), Erich obtient à 14 ans deux brevets de pilote de planeur, puis devient à quinze ans instructeur dans un groupe de vol à voile des Jeunesses hitlériennes. Il s'engage dans la Luftwaffe en octobre 1940 et entre à l'école de pilote en mars 1941. Ses instructeurs remarquent son talent et l'envoient à l'école de chasse.
Dès la fin de sa formation de pilote, il rejoint le Groupe 3 du Jagdgeschwader 52 (III/JG 52) sur le front de Russie en octobre 1942 où il pilote un Messerschmitt BF109, notamment la version Bf 109G. Après un atterrissage forcé dans les lignes ennemies, il est fait prisonnier en août 1943. La vraie mise en garde de la Shoah. Temps de lecture: 7 min Dans toute congrégation juive, le hazzan est une présence imposante.
Responsable des chants liturgiques, il s'agit souvent d'un homme à la personnalité affable, avec un sens de l'engagement social très fort. Eleazar Bernstein était de ceux-là. Dans les années 1930, il vivait avec sa femme Martha et ses trois enfants à Zweibrücken, une ville du sud-ouest de l'Allemagne. «Journal d'Hiroshima»: le terrifiant carnet d'après la Bombe.
Temps de lecture: 8 min L’explosion atomique d’Hiroshima, dont on commémore, ce 6 août, le 70ème anniversaire, est souvent racontée par le gigantisme effrayant de ses chiffres.
Ou par le génie scientifique démentiel dont a fait montre l’homme, en 1945, en chargeant l’équivalent de 15.000 tonnes de TNT dans une bombe d’uranium de 4,5 tonnes, baptisée du petit nom charmant de Little Boy par l’état-major américain. Ce talent des physiciens, l’historien Didier Le Fur en résume ainsi les premiers effets dans son implacable préface au livre célèbre du médecin Michihiko Hachiya, Journal d’Hiroshima, réédité chez Tallandier et qui vient de sortir en poche: «La bombe explosa à 580 mètres d’altitude. Une immense bulle de gaz incandescent de plus de 400 mètres de diamètre se forma en une fraction de seconde émettant un puissant rayonnement; dessous, les températures augmentèrent en quelques instants de 4.000 degrés. 22 jours «À ma grande stupeur, je découvris alors que j’étais complétement nu.
Comment l’idéologie nazie a voulu se rendre “acceptable” Droit, biologie, histoire...
Les sciences se sont mises au service de l’idéologie nazie pour préparer le peuple à adhérer au pire. Un “univers mental” cartographié par l’historien Johann Chapoutot dans son dernier ouvrage “La loi du sang. Penser et agir en nazi”.
Seconde guerre mondiale. Sacrifiés au nom du Führer. HORS-SÉRIE 1945 ANNÉE ZÉRO – Le dos au mur, submergées sous le nombre, les autorités nazies appliquent plus que jamais la “guerre totale” chère à Joseph Goebbels.
Mobilisant les plus jeunes, elles les envoient sans hésiter à la mort. Stettin [auj. Szczecin, en Pologne], février 1945. En route pour Berlin, l’Armée rouge envahit la Poméranie. “Nous nous accrocherons de toutes nos forces à notre terre de Poméranie, proclame le responsable régional du parti nazi, le gauleiter Franz Schwede-Coburg. Mais les soldats de la Wehrmacht se font rares. Article réservé aux abonnés. Le Ritz sous l’Occupation allemande, un miroir de la société de l’époque. L’historienne américaine Tilar Mazzeo a pu accéder à des archives secrètes françaises, allemandes et américaines touchant l’histoire du palace de la place Vendôme durant la Seconde Guerre mondiale.
Dans les suites et les salons d’apparat d’opulente splendeur voisinaient les officiers de la Wehrmacht, des collabos, des espions et des privilégiés de la jet-set qui ont été épargnés par le conflit armé. Avec 15 place Vendôme: le Ritz sous l’Occupation, l'historienne américaine Tilar Mazzeo nous offre un livre-document truffé de révélations qui éclaire de façon crue cette période dramatique de la Seconde Guerre mondiale à Paris.
Contrairement à certains grands hôtels de la capitale, le Ritz est resté ouvert pendant l’Occupation car les propriétaires, César et Marie-Louise Ritz, leurs associés et les cadres étaient suisses, c’est-à-dire neutres, non engagés dans la guerre. Un allemand sur trois souffrirait aujourd'hui d'un traumatisme lié à la Seconde guerre mondiale. Angoisses noctures, peurs irrationnelles, sentiment d'insécurité...
Près de 70 ans après la fin de la guerre de 39-45, des millions d'Allemands restent hantés par le spectre de la Seconde guerre mondiale. D'après la journaliste allemande Sabine Bode, auteure de nombreux ouvrages consacrés aux souffrances psychologiques des enfants de la guerre, ce traumatisme serait également partagé par les générations suivantes. Un allemand sur trois souffrirait aujourd'hui d'un traumatisme lié à la Seconde guerre mondiale, comme elle l'explique dans un entretien au quotidien Die Welt: «Une partie de la génération des petits-enfants de la guerre –c'est-à-dire ceux qui sont nés dans les années 1960 et 1970– souffre d'angoisses inexpliquées et d'un sentiment d'insécurité qui ne puise pas sa source dans leur propre vie. Même lorsqu'ils veulent entreprendre quelque chose de nouveau, ils sont étrangement bloqués –avec un pied sur l'accélérateur et l'autre sur le frein.»
Annabelle Georgen. [PHOTOS] Sur l'île de Kiska, les vestiges intacts d'une étrange bataille de la Seconde Guerre mondiale. L'île de Kiska, qui se situe dans l'arc des Aléoutiennes à l'ouest de l'Alaska, n'est pas un endroit hospitalier.
Il y fait froid. Elle est dominée par un volcan. Elle se situe à 1.600 kilomètres de toute aide médicale. Personne n'y vit et si vous êtes assez courageux pour vous y rendre, vous serez accueilli par une épave dans son port. Kiska est aussi le site d'une bataille sanglante de la Seconde Guerre mondiale entre l'armée américaine et... l'armée américaine.
Le 7 juin 1942 au petit matin, 1.200 soldats japonais prenaient d'assaut l'île. Après avoir tué deux des Américains et avoir envoyé les huit autres au Japon en tant que prisonniers de guerre, les Japonais se sont installés sur Kiska et y sont resté plus d'un an. «Mokusatsu», l’erreur de traduction qui a changé le cours de la Seconde Guerre mondiale. Temps de lecture: 8 min Il y a presque 70 ans, le 2 septembre 1945, le Japon signait officiellement son acte de capitulation à bord de l'USS Missouri, mettant ainsi fin à la Seconde Guerre mondiale.
Meurtri par deux bombes atomiques, amputé d’Hiroshima et de Nagasaki, le pays du Soleil-Levant déposait officiellement les armes, 39 jours après que les Alliés l’eurent exigé dans la Déclaration de Potsdam. Au-delà des nombreuses concessions qu’elle faisait au Japon, cette Déclaration, signée le 26 juillet par le président américain Harry S. Truman, le Premier ministre britannique Winston Churchill et le président chinois Tchang Kaï-chek était pourtant claire sur la tempête de feu qui s’annonçait: «Nous appelons le gouvernement du Japon à prononcer aujourd'hui la capitulation sans conditions de toutes les forces armées japonaises. [...]
Les adjectifs n’ont pas été choisis au hasard. Sa décision finale était suspendue à la réaction des autorités nippones. Lost in translation Traduire en justice. Le reportage qui a ouvert les yeux des Américains sur l’Holocauste. L'extermination systématique des Juifs d'Europe par l'Allemagne nazie a commencé il y a tout juste soixante-douze ans.
Le 22 juillet 1942, un premier convoi partait du ghetto de Varsovie en direction des camps de concentration. On ignore combien de Juifs ont été déportés ce jour-là, mais, six mois plus tard, il n’y avait plus que 50.000 habitants dans le ghetto qui en comptait 550.000 à l’origine. Le 22 décembre 1942, The New Republic publiait un reportage de Varian Fry sur les camps de la mort, qui dévoilait l’Holocauste aux yeux de l’Occident et que le journal vient de ressortir de ses archives.
Intitulé «Le massacre des Juifs», l'article expose minutieusement les horreurs perpétrées contre les Juifs d’Europe, et accuse le pouvoir nazi, Adolf Hitler et Joseph Goebbels. Opération « Si un jour... » Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Faux Nazis harcelant un livreur de journaux durant le If Day. L'opération « Si un jour… » (If Day en anglais[1]) est une invasion nazie simulée de la ville canadienne de Winnipeg dans le Manitoba et ses alentours le lors de la Seconde Guerre mondiale.
Elle fut organisée par le comité des obligations de guerre du Grand Winnipeg mené par l'influent homme d'affaires J. D. Perrin. L'opération « Si un jour… » comportait un combat mis en scène entre les troupes canadiennes et des volontaires déguisés en soldats nazis, l'internement des politiciens influents, la mise en place de l'autorité nazie et une parade. Contexte[modifier | modifier le code] Après leur défaite, des nazis ont constitué une armée secrète. À partir de 1949, près de 2.000 anciens officiers de la Wehrmacht et de la SS ont travaillé secrètement à la constitution d'une armée anticommuniste capable de mobiliser 40.000 hommes en cas d'invasion soviétique ou de guerre civile, rapporte Der Spiegel cette semaine.
L'histoire de cette armée de l'ombre, dont l'existence n'avait jusqu'à présent jamais été rendue publique par les autorités allemandes, dormait depuis plus d'un demi-siècle dans les archives du BND, le service des renseignements allemand. Jusqu'à qu'un historien, Agilof Kesselring, qui menait des recherches sur l'histoire du BND, soit tombé par hasard sur un dossier de 321 pages étiqueté sous un nom trompeur: «Assurances».
Der Spiegel a pu avoir accès à son contenu. publicité. Le témoignage inédit d'un pilote américain sur le massacre d'Oradour-sur-Glane. McKay Smith sait garder des secrets. En tant que juriste pour le Département de la Justice, au sein de la Division pour la sécurité nationale, il conseille les agences de renseignement américain sur la légalité de quelques-uns des dossiers les plus confidentiels du pays. En particulier, la division est chargée de superviser des opérations de surveillance électronique et de contre-terrorisme et, quotidiennement, Smith voit passer des données et des documents classifiés qui ne sortiront pas au grand jour, au mieux, avant plusieurs dizaines d'années.