Les secrets de la tech-démocratie. Rapport #ASSOTECH : les bonnes pratiques numériques en milieu (...) - VoxPublic. Civic tech, pétitions en ligne, protection des données, outils libres, plateformes participatives et gouvernement ouvert, crowdsourcing ou crowdfunding : si vous n’êtes pas totalement familiers avec ces termes, découvrez notre nouveau rapport #AssoTech sur les bonnes pratiques numériques pour les associations.
Le 19 octobre 2017, VoxPublic organisait, en partenariat avec Citizens for Europe, la première rencontre #Assotech qui a réuni des acteurs associatifs avec des experts du "numérique militant" et des civic-tech. Le thème de la rencontre était « Discriminations et inégalités sociales : quels outils numériques pour mobiliser les publics concernés, défendre leurs droits et interpeller efficacement les élus ? » . #Assotech, un rapport, de bons tuyaux. Redynamiser la démocratie locale Les outils numériques de participation citoyenne // CDC. Quand la techno part à l’assaut de la démocratie. Partie 3 : la Civictech – C'est Données !
Clément Mabi, les civic tech - visions. Fin 2016, la mode est aux civic tech. Le jeune chercheur Clément Mabi décrit ces civic tech comme une expression informelle, sans définition établie, qui rassemble «les technologies et dispositifs basés sur la technologie numérique et dont l’objectif affiché, encore loin d’être atteint, est de “transformer le fonctionnement de la démocratie” en proposant de nouvelles formes d’implication des citoyens.» À l’instar de ce grand débat organisé au Collège des Bernardins le 15 décembre par le Digital Society Forum en amont des élections de 2017, beaucoup s’interrogent alors non sans optimisme : «L’impact du numérique sur la démocratie : mirage ou révolution citoyenne ?» Clément Mabi «On reste dans une logique où le politique garde le contrôle» Clément Mabi «On reste dans une logique où le politique garde le contrôle» L nmrq scrs d l dmcrt ?
C’st l prmss prt pr ls cvc tch, ls «tchnlgs d prtcptn ctynn». Ms ntr ls sprtns pls d trnsprnc t d’vrtr d l dcsn pblq t l rlt ds prtqs, l pt y vr ln d l cp x lèvrs… n st wb, n ppl d «cncrttn» d «lbbyng ctyn» n chngnt ps x sls ls rpprts d pvr. Inciter, contraindre, encadrer. Romain BADOUARD - Clément MABI - Guillaume Sire Inciter, contraindre, encadrerTrois logiques de gouvernementalité numérique.
L’autogouvernance : un modèle de société. Le livre du consultant en organisations Frédéric Laloux, Reinventing Organizations, vers des communautés de travail inspirées est devenu l’une des Bibles des livres de management sur les entreprises libérées.
Et effectivement c’est un longseller très inspirant, riche en exemples et en détails qui rendent l’ensemble vivant. Pour autant, pas plus que le livre de Getz ou de Robertson, on n’y trouvera pas une méthode à appliquer pas à pas pour transformer son organisation, d’abord et avant tout parce que ces transformations sont expérientielles : leur réussite dépend de leur appropriation et de leur adaptation. L’essentiel du livre est consacré à la description d’exemples d’entreprises auto-gouvernées rencontrées aux quatre coins du monde (par exemple, celle des infirmières néerlandaises de Buurtzorg qu’évoquait le Ouishare Mag), dont il souligne des principes d’organisation, des méthodes, des pratiques, des processus, des traits culturels communs qui les caractérisent. Effectivement. Le numérique va-t-il hacker la démocratie locale? Citoyen hackeur.
Le diagnostic est maintenant largement partagé : la démocratie, au moins dans sa forme représentative, serait « malade », à bout de souffle.
Elle serait débordée par la défiance exprimée par des citoyens réfugiés dans l’abstention et prêts à se mobiliser dans la rue pour venir contester les décisions prises par des gouvernants en manque de légitimité [1]. De fait, rarement un malade n’aura vu autant de docteurs à son chevet : on ne compte plus les propositions de transformations institutionnelles, les réflexions théoriques pour réformer le fonctionnement de nos institutions [2]. Parmi celles-ci, un certain nombre misent sur la participation des citoyens pour redynamiser la vie publique et donner corps à un « nouvel esprit de la démocratie » [3].
Kawaa. Institut de la Concertation et de la Participation Citoyenne – Institut de la Concertation et de la Participation Citoyenne – réseau national de praticiens. Les Halles Civiques. Démocratie Ouverte. Sors-toi les droits ! Civic Tech ou Civic Business ? Le numérique ne pourra pas aider la démocratie sans en adopter les fondements « Regards Citoyens. La societé civile n’a pas attendu le buzzword « Civic Tech » pour mettre le numérique au service de l’innovation démocratique.
Mais depuis l’essor de ce mot tendance, surgissent de multiples initiatives qui en revendiquent l’appartenance sans pour autant respecter les principes élémentaires de la démocratie. Le numérique n’est pas démocratique en soi. Sa simple utilisation ne saurait suffire à gérer magiquement les enjeux démocratiques essentiels, bien au contraire. En lui accordant une confiance aveugle, on ouvre la porte à une perte de souveraineté et de contrôle démocratique.
OGP Toolbox. Civic-theque : annuaire des acteurs de la #CivicTech. Civic Tech : les 5 start-up qui pourraient faire bouger la démocratie. Avec l’arrivée prochaine des élections présidentielles aux Etats-Unis et en France, Futur en Seine a souhaité mettre un coup de projecteur sur le secteur des Civic Tech.
La Civic Tech regroupe le champ des initiatives publiques, privées ou associatives cherchant à renforcer l’engagement citoyen, la participation démocratique et la transparence des gouvernements via les outils du numérique. Personal Democracy France avait donc invité des intervenants tels que Jessica Morales, Digital Organizing Director de la campagne Hillary For America, ou Pablo Soto, élu de Podemos chargé de la participation citoyenne, de la transparence et de la gouvernance ouverte à la ville de Madrid. Civic Tech : la démocratie à l’heure du numérique. « Nous sommes des citoyens du XXIe siècle qui faisons de notre mieux pour faire fonctionner des institutions qui ont été conçues au XIXe siècle et sont basées sur un support d’information qui remonte au XVe siècle.
Il est temps de commencer à nous poser la question : quelle démocratie voulons-nous à l’ère d’internet ? » Voici le constat posé par Pia Mancini, une politologue argentine qui a par ailleurs fondé DemocracyOS. Quand la société imagine le gouvernement ouvert de demain. « Avec le numérique, l’action publique peut travailler des logiques d’empowerment des citoyens. » C’est en ces termes qu’Henri Verdier, Directeur interministériel du numérique et du système d’information de l’Etat, a donné le coup d’envoi de ces ateliers de co-construction du programme du Sommet mondial du Partenariat mondial pour un gouvernement ouvert (Open Government Partnership).
Des logiques au cœur de ces trois jours, puisque ce sont les représentants de la société civile qui sont invités à dégager des axes de travail en prévision du grand rendez-vous de décembre. Une manière « d’attraper les hacktivistes là où ils sont et de provoquer la concertation », reprend celui qui fut à la tête d’Etalab, la mission qui pilote la politique d’ouverture et de partage des données publiques, sous l’autorité du Premier ministre. Désormais dirigé par Laure Lucchesi, cette mission est justement à l’initiative de l’organisation de ces journées, dans la perspective du Sommet de l’OGP.