Pour contribuer à la réflexion après les attentats du 13 novembre 2015. Suite à la vague d'attentats du 13 novembre dans le Xe et XIe arrondissement de Paris et à Saint-Denis, comme après ceux des 7 et 8 janvier 2015 contre la rédaction du journal satirique Charlie Hebdo et contre un magasin casher à Paris, nous proposons une sélection de ressources universitaires publiées par des spécialistes de géographie et de géopolitique pour contribuer à l'analyse. Nous avons privilégié les ressources en ligne, en accès libre ou via le portail cairn.info. Les ressources les plus récentes sont mises en avant. Si les auteurs sont majoritairement des géographes et des géopoliticiens, ils peuvent être aussi des politistes, anthropologues, sociologues, historiens.
Nous commençons par une sélection de documents clefs. Les liens sont valides au 14 novembre 2015. Sur le 13 novembre, Jacques Lévy, professeur de géographie et d’aménagement de l’espace à l’École polytechnique fédérale de Lausanne, "Paris (Monde) : géographies du 13 novembre 2015 1. Débat : 2. Des termes à définir. Actualités - Savoir accueillir la parole des élèves après les attentats terroristes en Ile-de-France. Comment organiser le dialogue avec les élèves le lundi 16 novembre ?
En solidarité avec les victimes et leurs familles, le Président de la République a demandé qu'une minute de silence soit organisée le lundi 16 novembre 2015. Il appartient au directeur d'école et au chef d'établissement d'organiser un temps de regroupement des élèves dans les classes ou la cour de l'école et de l'établissement pour ce moment de recueillement individuel et collectif dans cette journée. Dans les deux cas, chaque enseignant doit encadrer sa classe durant ce temps de recueillement, dont la forme doit prendre en compte l'âge des élèves.
Ce temps de recueillement sera précédé d'un échange d'au moins une heure entre les élèves et les enseignants dans chaque classe. Ce dialogue est un travail pédagogique indispensable pour soutenir les enfants et les adolescents dans la gestion de leurs émotions et la compréhension complète de ces événements violents. #Educattentats. Ces fausses photos qui circulent après les attaques de Paris. Certains internautes profitent de l’émotion collective pour manipuler des images sur les réseaux sociaux.
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Les Décodeurs Entretenir la psychose, faire le buzz, diffuser de fausses informations pour attiser la haine… Les photos détournées qui ont commencé à circuler après les attentats de Paris montrent une nouvelle fois combien certains internautes profitent de l’émotion collective pour manipuler les images à des fins peu avouables, sans que ceux qui les partagent ne s’aperçoivent de la tromperie. En voici quelques exemples, repérés samedi 14 novembre sur Twitter. Lire Situations de crise : 7 conseils pour déjouer les rumeurs Des scènes de joie à Gaza… qui datent de 2012 Les attentats de Paris ont-ils provoqué des réjouissances dans les territoires palestiniens, comme l’affirmait cet internaute sur Twitter (l’auteur a supprimé son tweet depuis) ?
Des rues parisiennes désertes… en plein mois d’août Paris, Samedi 14 novembre 2015. Or il n’en est rien. Dessins de presse profdoc. QUELLE PEDAGOGIE POUR ABORDER LES ATTENTATS DU 13 NOVEMBRE 2015 A PARIS AVEC DES ELEVES ? Quelle pédagogie pour aborder les attentats du 13 novembre 2015 à Paris avec des élèves ? Synthèse d’un travail réalisé le 14/11/15 par un collectif d’enseignants du primaire à l’université (ICEM34/CRAP-Cahiers Pédagogiques/…), Sylvain Connac Pour l'ICEM34 et PIDAPI, Roseline Ndiaye, Présidente du CRAP-CahiersPédagogiques, Jean-Charles Léon, Emilie Kochert, Jérome Train, Cyril Lascassies,...
Eléments de précautions :Ce qui change par rapport aux événements de janvier 2015 : il ne s’agit pas de reprocher des faits aux victimes. Ecrire, défendre la liberté, se détendre en buvant un coup, manger par gourmandise, regarder un match sportif, écouter un concert.... ne sont pas permis par les extrémistes auteurs de ces attentats.- Clarifier la notion de « guerre » : ne pas parler d’une « guerre en France », mais le mot est utilisé par les politiques et les médias.