The Search Is On For Alien Signals Around Tabby's Star - Universe Today. There’s a remote chance that inexplicable light variations in a star in the Northern Cross may be caused by the works of an alien civilization. 1,480 light years from Earth twinkles one of the greatest mysteries of recent times.
There in the constellation Cygnus the Swan, you’ll find a dim, ordinary-looking point of light with an innocent sounding name — Tabby’s Star. Named for Louisiana State University astronomer Tabetha Boyajian, who was the lead author on a paper about its behavior, this star has so confounded astronomers with its unpredictable ups and downs in its brightness, they’ve gone to war on the object, drilling down on it with everything from the Hubble to the monster 393.7-inch (10-meter) Keck Telescope in Hawaii. Tabby’s Star was uncovered by the Kepler Space Telescope during its examination of of more than 150,000 stars in the Milky Way. Kepler sought out stars accompanied by planets. Among the stars Kepler viewed in its survey was one KIC 8462852 (Tabby’s Star). Related. Deux découvertes archéologiques sur Mars, Sept 2014.
Deux découvertes archéologiques sur Mars, Sept 2014 20Share5 0 326Share0 Date de la découverte: 18 Septembre 2014Lieu de la découverte: MarsNASA Source:
Des corps atypiques en orbite autour du Soleil (et de la Terre) Mardi 26 janvier 2 26 /01 /Jan 01:36 Mise à jour !!!
29/01/2010 à 23H30 Je viens de tester à nouveau les liens images de l'article en rapport avec les 'corps' en orbite autour du Soleil. Plus moyen d'y accéder via le blog. Voici ce qui apparaît à présent : Objet non trouvé! Etranges structures sur la Lune. Oceanus Procellarum, Mare Insularum, Cratère Copernicus.
KIC 8462852, alias l’étoile de Tabby, plus mystérieuse que jamais. Comme sur cette vue d'artiste, une collision entre deux petites planètes, ou pour le moins des planétésimaux, a peut-être généré un nuage de poussières et des débris qui, par leurs transits, expliquent certaines des étranges baisses de luminosité de l'étoile KIC 8462852. © Nas, JPL KIC 8462852, alias l’étoile de Tabby, plus mystérieuse que jamais - 2 Photos Comme le montre un article déposé sur arXiv par deux astronomes, il y a un nouveau rebondissement dans l’affaire de la mystérieuse étoile KIC 8462852, une étoile jaune-blanc de la séquence principale située dans la constellation du Cygne à environ 1.480 années-lumière du Soleil.
Elle est aussi connue sous le nom d’ « étoile de Tabby » en référence à l'astronome Tabetha S. Boyajian qui a attiré l’attention de la communauté scientifique, et surtout du grand public, sur le comportement bizarre des variations de la luminosité de cet astre en 2015. KIC 8462852, l'étrange étoile, devient... encore plus étrange. L’hypothèse de comètes géantes passant devant KIC 8462852 ne semble résister aux arguments d’une nouvelle étude. © Nasa, JPL-Caltech KIC 8462852, l'étrange étoile, devient... encore plus étrange - 3 Photos L’étoile KIC 8462852 n’a pas fini de faire parler d’elle.
Dans les épisodes précédents de cette série à suspense qui a commencé publiquement en septembre 2015, nous avons vu que l’équipe de Tabetha Boyajian, université de Yale, a enquêté sur le cas étrange de cet astre distant d’un peu plus de 1.400 années-lumière, surnommée depuis Tabby en référence à la jeune astrophysicienne, très intriguée par les variations erratiques de sa luminosité.
Les divers scénarios proposés Pour tenter d’expliquer de façon naturelle ce comportement, plusieurs causes possibles ont été envisagées. KIC 8462852, l’étoile la plus mystérieuse de la galaxie ? Vue d'artiste du télescope spatial Kepler. © NASA/Kepler mission/Wendy Stenzel.
L'œil humain, avec le cerveau qui va derrière, constitue un merveilleux outil pour détecter structures et formes dans l'informe – pensez à ce dragon que vous avez aperçu dans un nuage... C'est pour exploiter cette capacité qu'est né le projet Planet Hunters (Chasseurs de planètes en français). L'idée de cette expérience de science citoyenne consiste à présenter à tous ceux qui voudront bien mettre leurs yeux à son service les données (des nuages de points) recueillies par le télescope spatial Kepler de la NASA. Cet instrument lancé en 2009 a pour but de découvrir des planètes extrasolaires par la méthode dite du transit, dont le principe est le suivant : si Kepler a la chance d'être situé dans le plan sur lequel une exoplanète tourne autour de son soleil, celle-ci, en transitant devant son étoile, fera baisser légèrement la luminosité de celle-ci.
On aurait pu en rester là. Et si notre galaxie était un "trou de ver" ? Crédits : Davide and Paolo Salucci En combinant les équations de la Relativité Générale avec la carte présumée de la matière noire dans notre galaxie, des physiciens sont parvenus à un constat déroutant : l'hypothèse selon laquelle notre galaxie serait un "trou de ver", c'est-à-dire un tunnel dans l'espace-temps reliant deux points très éloignés de l'univers, est théoriquement parfaitement recevable.
Notre galaxie, la Voie Lactée, serait-elle un "trou de ver", cet objet hypothétique initialement conceptualisé par Albert Einstein, qui agirait comme un tunnel dans l'espace-temps en reliant deux points très éloignés de ce dernier (voir vidéo ci-dessous) ? Pour parvenir à cette conclusion, les auteurs de ces travaux ont combiné les équations de la Relativité Générale avec un modèle prédisant l'emplacement de la matière noire dans notre galaxie, cette forme hypothétique de matière non encore détectée qui constituerait 85 % de la masse de l'univers.
Une mystérieuse source de rayons cosmiques ultra-énergétiques détectée. Une petite portion du ciel de l'hémisphère Nord (en rouge ci-dessus) émet une quantité disproportionnée de rayons cosmiques d'ultra-haute énergie, révèle une étude américaine.
Crédits : K. Kawata, University of Tokyo Institute for Cosmic Ray Research Une proportion importante des rayons cosmiques ultra-énergétiques qui atteignent la Terre provient... d'une minuscule portion du ciel de l'hémisphère nord. Un phénomène que les scientifiques ne parviennent pas à expliquer. On le sait, la Terre est bombardée en permanence par des rayons cosmiques : constitués en majorité des noyaux d'hydrogène ou parfois de noyaux atomiques plus lourds (carbone, oxygène...), ces rayons proviennent souvent de régions très éloignées de l'Univers.