Educnum. A partir du 19 septembre, la règle des 140 caractères devrait changer sur Twitter. Contrairement à ce qui se disait l’année dernière, Twitter n’a pour le moment pas l’intention de rompre avec la limite des 140 caractères pour les tweets. Cependant, afin de donner plus de flexibilité aux utilisateurs, il a annoncé au mois de mai qu’il allait changer la manière dont ces caractères sont comptés : Lorsque vous répondez à un tweet, les noms au début de vos réponses ne sont plus comptés, afin de faciliter les conversations sur la plateformePour vous encourager à utiliser les vidéos, les images et les GIFs, Twitter ne compte plus les fichiers attachés Si ces changements ont été annoncés au mois de mai, Twitter n’avait pas indiqué quand il compte les mettre en place. Cependant, dans un récent article, le site The Verge indique que cette nouvelle manière de compter les caractères dans les tweets sera appliquée à partir du 19 septembre, ce qui permettra aux utilisateurs de discuter et d’interagir plus facilement, sans que Twitter n’ait réellement à toucher à sa limite.
(Source) Privés de vie privée ? #DATAGUEULE 40. Facebook nous isole de plus en plus des opinions différentes des nôtres. Si vous lisez cet article, vous pouvez considérer que vous avez de la chance. Surtout si vous faites partie de la large majorité d’internautes qui utilisent les réseaux sociaux afin de s’informer (c’est le cas de 62% des Américains par exemple, selon PewResearch), et ne lit jamais d’articles sans avoir préalablement cliqué sur un post Facebook. Facebook a annoncé cette semaine qu’il allait, une nouvelle fois, modifier l’algorithme qui détermine ce que chaque utilisateur voit apparaître sur sa timeline. « Facebook a été conçu pour connecter les gens avec leurs amis et leur famille avant toute chose, » explique Lars Backstrom, ingénieur en chef chez Facebook. « Notre priorité est de vous garder en contact avec les personnes, les lieux et les choses pour lesquels vous avez un intérêt, et en particulier, avec vos proches.
C’est pour cette raison que le fil d’actualités Facebook va changer afin de s’assurer que vous ne manquerez jamais les posts de vos amis les plus proches. » De pire en pire. Big data : comment les géants du Net transforment nos faits et gestes en juteux business. Age, religion, profession, achats, loisirs... Les traces laissées en ligne par nos modes de vie numériques sont une mine d'or pour les régies publicitaires des géants du Net. À un point que les utilisateurs ne soupçonnent pas. C'était le deal de départ. Internet, c'est gratuit, mais, en échange, l'utilisateur doit naviguer entre les pubs. Sauf qu'avec la numérisation massive de la vie quotidienne - e-mails, recherches sur Google, «likes» sur Facebook, photos sur Instagram, achats sur Amazon - le consommateur digitalisé livre toujours plus d'informations sur ses goûts et son profil.
Des millions de données, appelées «big data», qui sont ensuite triturées par les géants du Web et mises à la disposition des annonceurs pour qu'ils y fassent plus de pubs, mieux ciblées. L'internaute qui, grâce à ce ciblage, se voit offrir des annonces en rapport avec ses besoins n'y a longtemps rien trouvé à redire. Mais la grogne monte. Celle des Etats européens enfin. Nathalie Villard. Données persos : trop de sites web ne les protégent pas assez. Certes, les hackers redoublent d'ingéniosité pour piller nos data, mais le laxisme des entreprises en matière de sécurité numérique leur facilite la tâche. Démonstration. L’homme était pourtant bien placé pour savoir qu'il s'agissait d'un péché capital. Pasteur à La Nouvelle-Orléans, John Gibson fréquentait le site canadien de rencontres adultères Ashley Madison.
En secret, bien sûr. Cette affaire tragi-comique en dit long sur l'incroyable légèreté avec laquelle les sites protègent nos pedigrees. Selon la nature des données qu'ils parviennent à voler, ils ont ensuite l'embarras du choix : usurper des identités pour acheter des produits en ligne, piller des comptes en banque, exiger des rançons, revendre leur butin au plus offrant sur le dark Web, l'Internet caché... > Quand les pirates du web rançonnent les internautes en volant leurs données persos : (Cliquez sur l'image pour lancer la vidéo) De fait, le nombre d'effractions explose : +80% entre 2013 et 2014, selon SafeNet.
Jean Botella. Pourquoi Mark Zuckerberg investit des milliards dans « l’enseignement personnalisé » Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, mise sur l’enseignement personnalisé pour répondre aux principales difficultés auxquelles le système éducatif est actuellement confronté. C’est l’un des quatre principaux secteurs que financera la Chan Zuckerberg Initiative, créée par sa femme, Prescilla Chan, et lui-même, et dotée de 41,5 milliards d’euros. Tandis que certains observateurs ergotent sur le fait de savoir s’il s’agit d’un geste philanthropique ou d’une stratégie commerciale avisée, d’autres aimeraient savoir en quoi consiste exactement l’enseignement personnalisé. Car en dépit du soutien enthousiaste d’une partie des responsables politiques, il n’en existe toujours pas de définition claire. Dans le monde de l’éducation, on fait valoir que les bons professeurs pratiquent déjà cet enseignement en adaptant le matériel pédagogique et leurs méthodes à chaque élève.
Mark Zuckerberg en a pourtant une définition très claire. Les dangers de cet enseignement En quoi il peut s’avérer utile. Etude : les inquiétudes en matière de respect de la vie privée dans différents pays. Environ neuf mille participants de 11 pays différents (dont les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France et la Suède) ont répondu à des questions sur la vie privée et la sécurité sur Internet pour une récente enquête F-Secure. La majorité des participants s’inquiètent non seulement du respect de leur vie privée sur Internet, mais se disent également prêts à changer de service si leurs exigences en matière de vie privée ne sont pas respectées. Selon cette étude, 66 % des participants s’inquiètent que leurs données puissent être exposées à des agences de renseignements lorsqu’ils utilisent des services en ligne, et 57 % sont prêts à payer pour que leurs données ne passent pas par des services ou des territoires américains, russes ou chinois.
Les appareils mobiles et l’Internet des objets sont source d’inquiétude en matière de vie privée pour les participants français. Toutefois, la protection de la vie privée inquiète moins les utilisateurs suédois.