Cornelius Gurlitt, l'homme du « trésor nazi », est mort. Le Musée des beaux-arts de Berne légataire du « trésor nazi » de Cornelius Gurlitt. Le Musée des beaux-arts de Berne (Suisse) est le légataire universel du collectionneur allemand Cornelius Gurlitt, au domicile duquel avaient été retrouvées des œuvres d'art volées à des juifs.
Le musée a annoncé mercredi 7 mai dans un communiqué avoir été « informé par un message téléphonique et écrit de Me Christophe Edel, l'avocat de M. Cornelius Gurlitt, décédé le 6 mai 2014 ». Lire le récit : Cornelius Gurlitt, l'homme du « trésor nazi », est mort L'institution s'est déclarée surprise de ce choix et a affirme n'avoir « jamais, à aucun moment, entretenu la moindre relation » avec le collectionneur allemand. Il reconnaît que ce legs, dont la valeur, selon les médias allemands, se chiffre en dizaines de millions d'euros et pourraient même atteindre 1 milliard d'euros, « pose toute une série de questions épineuses, notamment de nature juridique et éthique ».
Lire l'analyse (édition abonnés) : Spoliation et œuvres d'art : sortir de l'hypocrisie. L'Art d g n r du III me Reich.
Restitution & Identification. Où se cache Cornelius Gurlitt, l'homme aux 1400 oeuvres d'art ? Arts visuels L'homme chez qui la police munichoise a retrouvé 1400 oeuvres d'art, en partie volées par les nazis, n'avait ni compte en banque, ni assurance, ni pension.
Il n'était pas enregistré dans la ville de Munich et les autorités allemandes ignorent où il se trouve, a indiqué ce mardi le magistrat Reinhard Nemetz, du parquet d'Augsbourg. Le dernier contact avec M.Gurlitt, qui devrait avoir aujourd'hui 79 ans, date de septembre 2010 quand des douaniers allemands ont intercepté un homme aux cheveux blancs dans un Intercity entre Zürich et Munich. Dans sa poche, il avait 9 000 euros en billets de 500 euros, soit un peu moins du montant minimal de 10 000 euros qu'il aurait dû déclarer à la douane. L'homme présenta un passeport autrichien au nom de Rolf Nikolaus Cornelius Gurlitt, né le 28 décembre 1933 à Hambourg, et prétendit habiter à Salzbourg en Autriche. Il n'existe aucune photo connue de Cornelius Gurlitt. Hildebrand Gurlitt. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Gurlitt. Hildebrand Gurlitt ( à Dresde – à Düsseldorf) est un marchand d'art et historien de l'art allemand. Il a dirigé le Musée du Roi Albert (de) de Zwickau et la Société artistique de Hambourg (de). Il a pris part à la vente de l'« art dégénéré » pendant l'ère national-socialiste. Biographie[modifier | modifier le code] 0000. Entartete Kunst. Kunstfund München: Kunsthandel in Nazi-Deutschland. 20.000 Kunstwerke ließen die Nazis in den 1930er Jahren aus Museen entfernen.
Von Berlin aus sollten sie verkauft werden – unter Beteiligung von Hildebrand Gurlitt. Speichern Drucken Twitter Facebook Google + Am 20. Es gibt zwei Begründungen, wieso Kunst an diesem Montag im März 1939 dem Feuer zu Opfer fiel. Anzeige Denn die Sache mit der "entarteten Kunst" hatte einen Haken: Wer sollte bereit sein, viel für Werke zu bezahlen, die der Propagandaminister Joseph Goebbels kurz zuvor während eines Besuchs des Zentrallagers für "entartete Kunst" im Viktoria-Speicher der Berliner Hafen- und Lagerhaus A.G. in der Köpenicker Straße 24a in Kreuzberg als einen solchen "Dreck" bezeichnet hatte, "daß einem bei einer dreistündigen Besichtigung direkt übel wird".
Site Rose-Valland - Musées Nationaux Récupération. Historique de la publication Le Répertoire des biens spoliés en France durant la guerre 1939-1945 a été publié, entre 1947 et 1949, par le Bureau central des restitutions, BCR (Groupe français du Conseil de Contrôle du Commandement français en Allemagne - Direction générale de l’Economie et des finances - Division des réparations et restitutions).
Le BCR, situé à Berlin, centralisait pour la partie française les déclarations de spoliations faites auprès de l’Office des Biens et Intérêts Privés (OBIP) et traitait les dossiers. A l’automne 1947, le BCR décida la publication de ce répertoire constitué des informations recueillies. Cet ouvrage monumental comprend huit tomes, six suppléments (dont cinq indépendants) et un index des peintres.
Plusieurs traductions, en allemand, en anglais et en russe avaient été projetées mais ce projet n’a pu aboutir, et finalement seules les introductions et la présentation des chapitres furent traduites dans ces différentes langues. Description de l’ouvrage. Le destin des tableaux pillés par les nazis retrouvés à Munich. Spoliation des œuvres d'art (Seconde Guerre mondiale)
Un tableau rendu 65 ans après. Arts visuels ans le combat pour la restitution des biens spoliés aux Juifs en 40-45, la Belgique peut franchement se regarder dans un miroir.
En un peu plus d’une décennie, les gouvernements fédéraux successifs - le dernier de Jean-Luc Dehaene après 1997 mais aussi ceux pilotés par Guy Verhofstadt, depuis 1999 - ont joué un rôle exemplaire dans ce dossier éminemment délicat. D’abord, sous la houlette de l’ancien grand maréchal de la Cour, Lucien Buysse, une commission historique a largement débroussaillé le terrain mais en 2008, la commission de dédommagement qui lui a succédé a permis de boucler 5210 dossiers recevables sur les 5620 introduits, soit 88 % des demandes! Plus de 110 millions d’euros ont ainsi été rassemblés et progressivement versés pour un montant de 35,2 millions aux ayants droit alors que le solde allait à la Fondation du judaïsme. Un dossier parmi d’autres connaîtra un dénouement heureux ce mardi!