Pour se préparer au retour de la guerre des rythmes scolaires. Dans la maternelle Brassens, à Arras, le 25 novembre 2013 (Rémi Noyon/Rue89) Avec la rentrée scolaire, le dossier des rythmes scolaires s’annonce particulièrement ardu, quoiqu’en dise le ministère de l’Education nationale qui parle sur ce sujet d’« une rentrée apaisée ».
Où en sommes-nous dans l’application de cette politique ? Quels changements a apporté le décret Hamon, actuel ministre de l’Education ? Les réponses d’un spécialiste, un homme qui suit le dossier depuis plus de trente ans : Georges Fotinos, ancien responsable dudit dossier au ministère de l’Education nationale, notamment comme chargé de mission d’inspection générale. Il a eu à traiter le dossier à plusieurs reprises entre 1982 et 1998, puis à partir de 2010.
Rue89. Georges Fotinos. Ce texte proposait deux scénarios concernant la place des activités éducatives périscolaires, l’un se situant sur la pause méridienne élargie, l’autre sur les après-midi. Ils ont rapidement recueilli un grand succès. Non. Une vraie réussite. Réforme des rythmes scolaires : allégement des procédures et nouveaux financements à la rentrée. Les maires ont de quoi se réjouir.
Et Jacques Pélissard, président de l’Association des maires de France (AMF), ne s’en est pas privé, selon le président du Conseil d’administration de la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf), Jean-Louis Deroussen, qui l’a rencontré ce mercredi 16 juillet. La commission d’action sociale de la Cnaf, qui s’était réunie la veille, a en effet décidé de poursuivre l’accompagnement financier de la réforme des rythmes scolaires à la rentrée 2014, de simplifier les procédures de gestion, et d’abonder le volet pilotage du contrat enfance jeunesse (CEJ) : Le financement des ALSH à taux allégé est prolongé En janvier 2014, la Cnaf avait accepté, de manière transitoire, de financer les accueils de loisirs sans hébergement (ALSH) des communes passées aux nouveaux rythmes, même si elles alignaient leur taux d’encadrement sur celui des temps d’activités périscolaires (TAP), issues de la loi Peillon, que le décret du 2 août 2013 avait permis d’alléger (1).
Comment Paris va aménager les rythmes scolaires en 2014. Ce que dit l’audit sur la réforme des rythmes scolaires à Paris. A l’automne 2013, quelques semaines après la mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires à Paris – l’une des 4 000 villes pionnières dans le retour à la semaine de quatre jours et demi -, la municipalité de gauche avait pris un engagement : améliorer l’accueil des enfants lors des 7 700 ateliers périscolaires organisés, chaque mardi et vendredi après-midi, en contrepartie du retour en classe le mercredi.
Elle devait le faire sur la base d’une évaluation confiée au cabinet indépendant ICC. Un audit très attendu... Réforme des rythmes scolaires : un maire peut-il refuser de l’appliquer ? Education Publié le 19/05/2014 • Par Stéphanie Marseille • dans : A la une, Actu juridique, Dossiers d'actualité, France Plusieurs maires ont affirmé qu’ils n’appliqueraient pas la réforme des rythmes scolaires et que le droit leur en donne… le droit.
Médiathèques et réforme du rythme scolaire. Rythmes : Lyon, première ville à concentrer ses activités périscolaires sur le vendredi. Lyon est la première commune à adopter le décret Hamon initialement destiné aux communes rurales en difficulté pour des raisons budgétaires.
Les parents seront sollicités à hauteur de 120 euros par an en moyenne. Le choix du maire socialiste de Lyon, Gérard Collomb fera-t-il des émules, au risque de détricoter définitivement la réforme des rythmes scolaires? Sa ville, la troisième de France en nombre d'habitants, est la première à annoncer officiellement qu'elle va utiliser les assouplissements permis par le nouveau décret du 7 mai 2014 de Benoît Hamon, le ministre de l'Éducation nationale. De quoi interroger le ministre, car ces assouplissements étaient initialement plutôt destinés aux communes rurales en difficulté pour des raisons budgétaires et organisationnelles….
Il avait rédigé son texte pour «permettre aux maires, notamment en milieu rural, de faciliter l'organisation des activités périscolaires et de faire des économies d'échelle». Coût global de 15,9 millions d'euros. Imbroglio au Sénat sur la question des rythmes scolaires. C’est un « rapport fantôme », un document d’une cinquantaine de pages qui n’a aucune existence officielle.
Soumis, mercredi 14 mai après-midi, au vote des sénateurs membres de la Mission commune d’informations sur les rythmes scolaires − lancée à l’initiative de la droite, en octobre 2013, pour évaluer la mise en place de l’épineuse réforme − le document que tout le monde attendait a été retoqué. Les groupes UMP, centristes et « non-inscrits » ont voté contre. Les communistes n’ont pas pris part au vote. PS, parti radical et écologistes l’ont soutenu, sans réussir à sauver les six mois de travail et la centaine d’heures d’auditions menés sous la houlette de la sénatrice socialiste Françoise Cartron.
Rythmes scolaires : le « crash test » de Benoît Hamon. Le Monde | • Mis à jour le | Par Mattea Battaglia « Je suis le ministre qui doit réussir la réforme des rythmes, la faire passer… Je ne veux pas être responsable de désordres à la rentrée. » En terminant par ces mots, pas loin de l'autojustification, sa première visite dans une école primaire, à Lieusaint (Seine-et-Marne) vendredi 2 mai, le nouveau ministre de l'éducation nationale, Benoît Hamon, a donné le ton.
Non, son « décret complémentaire » sur les rythmes scolaires, soumis à l'avis du Conseil supérieur de l'éducation (CSE) lundi 5 mai, ne se substituera pas au « décret Peillon » qui reste la règle, même s'il donne du lest aux collectivités en les autorisant à regrouper les activités périscolaires sur une demi-journée. Comment le gouvernement veut assouplir les rythmes scolaires. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Maryline Baumard Deux ans d’opposition se solderont-ils dans deux pages de texte ?
Jeudi 25 avril, en fin d’après-midi, après une semaine d’aller-retour entre Matignon et la rue de Grenelle, le premier ministre, Manuel Valls, et le ministre de l’éducation nationale, Benoît Hamon, se sont mis d’accord sur les termes d’un « décret portant autorisation d’expérimentations relatives à l’organisation des rythmes scolaires dans les écoles maternelles et élémentaires. » Le texte Peillon du 24 janvier 2013 est maintenu et reste la règle, avec, par semaine, ses neuf demi-journées de classe pour un total de 24 heures hebdomadaires de classe et de trois heures d’activités périscolaires. Rythmes : "Un futur cadre réglementaire"
Le nouveau ministre va-t-il appliquer ou non le décret Peillon sur les rythmes scolaires ?
Interrogé à l'Assemblée nationale, Benoît Hamon a lâché un nouveau terme : il parle d'un "futur cadre réglementaire". Cela laisse entendre qu'on s'achemine vers une réécriture du décret. Ainsi en une semaine on est passé de "l'assouplissement" à "l'expérimentation" puis au nouveau "cadre réglementaire". Une glissade qui mériterait d'être précisée. Ca n'a pas tardé. Très attendu sur les rythmes scolaires, Manuel Valls, dans son discours du 8 avril, estime que la réforme est " une bonne réforme" mais pour des raisons curieuses.
Le lendemain, Benoît Hamon lâche le mot "expérimentation". Un assouplissement de la réforme des rythmes scolaires : oui, mais lequel ? Dans son discours de politique générale, le nouveau premier ministre Manuel Valls a annoncé un assouplissement relevant d’une concertation avec les parents, les enseignants et les élus.
Consulté par Le Monde, l’entourage du ministre de l’Education Benoît Hamon a relativisé, lui, bien des choses : « ni retrait, ni report, ni libre choix. Seulement 10 % des écoles catholiques appliqueront la « réforme Peillon » en 2014. Rythmes scolaires : un millier de maires refusent toujours d’appliquer le dispositif. Rythmes scolaires : ces candidats qui relancent la fronde. Publié le 06/03/2014 • Mis à jour le 02/04/2014 • Par Stéphanie Marseille • dans : A la une, France Pendant qu’un communiqué de presse du ministère de l’Education vante « 92% des communes prêtes pour la rentrée », le leader de l’UMP cherchait, fin février, à ramener ladite réforme sous les feux de l’actualité. Pour ce faire, Jean-François Copé a utilisé des propos de Gérard Collomb, maire PS de Lyon, rapportés par le Progrès.
Dans un article, le maire sortant de Lyon évoquait en effet la possibilité de demander un forfait de 10 à 20 euros par enfant et par an, au titre des activités périscolaires induites par la réforme des rythmes. Fustigeant une « taxe Peillon »,« qui se met progressivement en place dans toutes les communes de France », le maire de Meaux a donc appelé « tous les Français qui ne veulent pas payer les frais de cette réforme » à voter UMP. Un vent de désobéissance civile - « Nous ne l’appliquerons pas ! La réforme des rythmes met les animateurs en danger. Education Publié le 20/02/2014 • Par Stéphanie Marseille • dans : France Mercredi 19 février 2014, c’était le tour des représentants d’animateurs de dresser leur bilan de l’application de la réforme des rythmes devant la mission d’informations sénatoriale sur la réforme des rythmes. Invités à dresser leur bilan de l’application de la réforme des rythmes scolaires, les trois syndicats ont martelé leur déception face à la réforme actuelle.
En cause : le manque de moyens, l’abaissement du taux d’encadrement et les dérogations introduites dans l’accès au BAFD. Autant de facteurs qui fragilisent les animateurs, tout en mettant en péril la qualité des activités périscolaires offertes : « C’est l’animateur qu’on met en danger, en lui rajoutant plus d’enfants » souligne Ahmed Hamadi, de l’Union des Syndicats des Personnels de l’Animation, des Organisations sociales, sportives et Culturelles (USPAOC-Cgt). Rythmes scolaires : c’est pas sorcier… Photo : Camille Drouet Midi : la cloche sonne pour la centaine d'élèves de l'école élémentaire Gilbert Combettes. Tous se précipitent dans les couloirs mais, réforme oblige, les emplois du temps des « grands » de CM2 et des « petits » de CP-CE1 et de CE2-CM1 divergent. La Cnaf a validé l'expérimentation de l'assouplissement des taux d'encadrement pour toutes les activités périscolaires. Pour l'Education nationale, le périscolaire ce n'est pas son affaire (financière)
A Bondy, la difficile mise en place de la réforme des rythmes scolaires. Bondy fait partie des cinq communes de Seine-Saint-Denis – avec Aubervilliers, L’Ile-Saint-Denis, le Pré-Saint-Gervais et Romainville – qui appliquent depuis la rentrée 2013 la réforme des rythmes scolaires. Dans cette ville socialiste située au nord-est de Paris, 6 500 élèves du primaire ont renoué avec la semaine de 4 jours et demi.
Ils ont également fait la connaissance des temps d’activités périscolaires (TAP), cette nouveauté conçue par le ministère de l’éducation nationale, que certaines écoles peinent encore à domestiquer. Mercredi 13 novembre, alors que la capitale se prépare aux grèves et aux défilés d’enseignants du 14, une foule hétéroclite s’est rassemblée sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Bondy. En famille, enfants à la main et poussettes bien en vue, une centaine de personnes ont répondu à l’appel de l’une des sections locales de la FCPE, la principale association de parents d’élèves.
Adrien Barbier (Monde Académie) Www2.ac-lyon.fr/etab/ien/rhone/meyzieu/IMG/pdf/Maternelle-rythmes_recommandations.pdf?utm_source=actualite-education&utm_medium=article& Le sport est-il soluble dans les nouveaux rythmes scolaires ? Www.amf.asso.fr/UPLOAD/FICHIERS/EDITEUR/ENQUETE_RYTHMES_SCOLAIRES.pdf. Rythmes : Les maires satisfaits de la réforme des rythmes. Rythmes scolaires : plus de 80 % des communes satisfaites.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mattea Battaglia et Eric Nunès Frondeurs, les maires de France ? On a pu le penser ces derniers jours, au vu des tirs nourris d'élus de droite et du centre contre la réforme des rythmes scolaires. Qu'ils appellent au "boycott" de la "réforme Peillon", à son "abrogation", à sa "suspension" ou plus simplement à son "report", tous ont avancé, en guise de justification, le coût que fait peser sur les communes le retour à la semaine de 4,5 jours d'école. Rythmes scolaires: il a fallu s'adapter mais c'est efficace pour mon fils... et mes élèves. Actualités - La réussite des enfants vaut bien quelques adaptations des adultes.
Rythmes scolaires : les instituteurs mieux payés ? Rythmes scolaires : comment faire la réforme quand on est maire ? La réponse de Pierre-Yves Jardel, maire d’Orbais-l’Abbaye, dans la Marne "Pour moi, c’est au moins 20 000 euros en plus. " Activités pédagogiques complémentaires. L'emploi du temps de mon enfant. Laissons les enfants faire... (rythmes scolaires inside) C’est la vraie et rafraîchissante leçon de ces ateliers issus de la réforme des rythmes scolaires : laissons les enfants faire... Ce n’est pas un temps de cours. C’est du périscolaire. Ce jour-là, je me suis clairement laissé déborder et sincèrement qu’est ce que ça fait du bien parfois de se laisser déborder. L’animatrice m’a pris à part dès le début de l’atelier pour me parler d’un enfant qui manifestait des troubles psychologiques et qui malheureusement avait fait une crise ce jour-là. Un garçon de 9 ans gentil pour qui il aurait fallu un atelier à part au sein d’un tout petit groupe.
Pendant que nous parlions de lui, le matériel était sur la table à disposition quand soudain une fillette s’est avancée vers moi me montrant un bonhomme en pâte à modeler et me demandant "on peut le brancher ? ". Peillon: la réforme des rythmes scolaires est "aussi victime de son succès" Réforme des rythmes scolaires : une question de temps ? Rythmes scolaires : quand j’entends parler de temps éducatifs, je ris jaune. La grogne grandit avec la mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires. Rythmes scolaires : les désillusions des animateurs périscolaires. « Chez nous, la réforme met en lumière le fait que l’éducation n’est pas une priorité pour les élus : je n’ai ni budget, ni encadrants supplémentaires et les activités mises en place relèvent du bon vouloir des animateurs », déplore une encadrante de Haute-Garonne, qui préfère l’anonymat.
Et pourtant, les ateliers proposés ne désemplissent pas. « Les enfants sont contents qu’on s’occupe d’eux, que les activités soient variées ». Car tout n’est pas si noir : « C’est un gros dispositif, très compliqué. On voit bien qu’on essuie les plâtres. Nouveaux rythmes scolaires : les petits Parisiens plutôt satisfaits - 09/10/2013. Les nouveaux rythmes scolaires bouleversent plus l'espace que le temps. Rythmes : Peillon réplique aux critiques de la Droite. Principal représentant du Gouvernement, avec Najat Vallaud-Belkacem, au Forum « La République contre les extrémismes », organisé par le parti socialiste samedi 6 octobre au gymnase Japy à Paris, Vincent Peillon a tenu un discours de combat, vantant la politique mise en œuvre par la Gauche au service du redressement politique, intellectuel et moral du pays et condamnant, en tant que ministre de l’éducation nationale, l’opportunisme et le cynisme «anti-républicains » de la Droite dans son opposition à la mise en place de la réforme des rythmes scolaires.
Devant une salle pleine et attentive, rassemblant intellectuels, journalistes militants syndicaux, associatifs, sympathisants et citoyens engagés, Vincent Peillon, très applaudi, est d’entrée de jeu passé à l’offensive contre les extrémismes, portant haut et fort « la réponse des socialistes » qui rassemble, selon lui, sur l’essentiel : les « valeurs de la République démocratique, sociale, indivisible et laïque ». Rythmes scolaires : à l'école Robespierre d'Aubervilliers, on improvise. Rythmes scolaires : les dix raisons de la colère. Le mouvement sportif et le monde de l'éducation signent une convention historique. Periscolaire_4P_A4_web-2.pdf. GuidePeriscolaire_web-2.pdf. Premiers « couacs » pour les nouveaux rythmes scolaires. La réforme des rythmes scolaires met le sport à rude épreuve. Réforme des rythmes : entre enseignants et animateurs, le fossé se creuse - interview croisée. Le niveau scolaire baisse, cette fois-ci c'est vrai !
Com-Presse08022013. 2013_rythmesco_guidel_elus_bdef_240529. Exclusif - Réforme des rythmes scolaires : quel impact sur les services des sports ? - Enquête de l'Andiis. Rythmes scolaires : un sondage auprès des élus en charge du sport révèle des points oubliés des débats - Courrier des maires. Inquiets, beaucoup de maires hésitent à se lancer dès 2013 dans la semaine de quatre jours et demi d'école. Le corporatisme a bon dos !
Rythmes scolaires: ce que disent les opposants à la réforme. Ecole : les contradictions de ceux qui appellent à la grève. Supprimons enfin la semaine de quatre jours. Réforme scolaire : trouver le bon rythme. Rythmes scolaires : le gouvernement accorde une aide aux communes. Réformes scolaires : Vincent Peillon vient s'expliquer face à des enseignants parisiens. Retour à 4,5 jours d'école : la négociation tourne à l'avantage des enseignants. Les communes s'inquiètent de devoir payer la réforme des rythmes scolaires au prix fort.
Bertrand Delanoë fait un pas vers les enseignants parisiens. Rythmes scolaires : mais pourquoi ne pas rouvrir l'école le samedi matin ? "On est moins fatigués, même si on travaille le mercredi" 2013-77 du 24 janvier 2013 relatif à l'organisation du temps scolaire dans les écoles maternelles et élémentaires. Rythmes scolaires : Le décret est paru. La contestation continue. Questions - réponses sur les activités pédagogiques complémentaires. Rythmes scolaires : Pourquoi Grenoble opte pour 2013.... Rythmes scolaires, concertons-nous ! Rythmes scolaires : "Les services du ministère seront aux côtés des animateurs, des élus et des équipes d’encadrement" Rythmes scolaires : le dossier avance. Rythmes scolaires : des animateurs déplorent une réforme qui se fait sans eux.