The largest ever coral study has identified solutions and strategies to save reef systems - Oceanographic - Oceanographic. More than 80 authors surveyed corals on more than 2,500 reefs across 44 countries in the Indian and Pacific Oceans.
Having identified how best to save coral reef communities in the Indo-Pacific, the authors have recommended “protect, recover, and transform” strategies to save and protect coral reefs. The project saw a combined effort from scientists of the Wildlife Conservation Society (WCS) and a number of other conservation NGOs, universities and government agencies. Three viable strategies that can be quickly put in motion to help save threatened coral reefs have been outlined in the study, which was published in the Nature Ecology and Evolution journal. “The good news is that functioning coral reefs still exist, and our study shows that it is not too late to save them,” said WCS conservation scientist Dr. Le corail, porte pour la compréhension du vieillissement humain. Coral symbiosis is a three-player game. Symbiosis is deceptively easy to define: two or more organisms live together in a long-term association.
Coral, the partnership between an animal from the Anthozoa group and a microbial alga called Symbiodinium, is an archetypal model of symbiosis. The anthozoan provides a home for the alga, which uses photosynthesis to produce sugars that are given to the animal as ‘rent’1. These stable and highly productive two-player symbioses build the enormous reefs that shape marine ecosystems. Writing in Nature, Kwong et al.2 challenge this simple binary model of coral symbiosis by identifying a third player in the association. Les coraux menacés par un composant de nos crèmes solaires. Symbiodinium : une micro-algue essentielle aux coraux présente dans tous les océans.
Institut écologie et environnement - Actualités de l'institut. 21 novembre 2018 Les plastiques, une réelle menace pour les coraux des grandes profondeurs Mots-clés : Coraux d’eau froide, Croissance Les macro et microplastiques sont reconnus comme une menace importante pour les océans actuels.
Cependant, leur impact sur la biodiversité marine est encore mal connu. Une étude publiée dans la revue Scientific Reports par une équipe de du LECOB et du LOMIC de l’Observatoire Océanologique de Banyuls-sur-mer, ainsi que de l’Institut Alfred Wegener (Brême, Allemagne), montre pour la première fois les conséquences de pollutions plastiques sur la croissance et le comportement d’espèces profondes. 24 000 milliards $ … le patrimoine océanique à l’abandon. 24 000 milliards de dollars, c’est la richesse estimée des océans.
Le chiffre, largement repris par la presse en avril dernier, a été publié par le WWF dans un rapport intitulé "Raviver l’économie des océans : plaidoyer pour l’action". Pour parvenir à ce montant, l’ONG s’est appuyée sur les calculs du Global Change Institute (université de Queensland) et du cabinet international Boston Consulting Group (BCG). Puis les experts ont additionné les bénéfices directs et indirects liés à l’océan. 4 300 milliards $ pour absorber 30 % du CO2 mondial La production directe (poissons, mangroves, récifs coralliens, herbiers marins) est estimée à 6 900 milliards de dollars d’actifs. C’est ainsi qu’ils arrivent à 24 000 milliards de dollars. Les mers absorbent 93 % du surplus de chaleur dû à l’effet de serre L’océan, qui recouvre 70 % de la surface de la planète, joue un rôle majeur dans la régulation du climat.
. +96 cm d’élévation du niveau de la mer d’ici 2100. Les coraux, malades du plastique. Les déchets polluant les océans multiplient par vingt les risques de pathologies pour les récifs, selon une étude internationale.
Menacés par le réchauffement climatique, l’acidification des océans, les méthodes de pêche destructives ou le tourisme de masse, les coraux le sont aussi, à grande échelle, par les déchets plastiques polluant les mers. C’est ce que met en évidence une étude internationale publiée, vendredi 26 janvier, dans la revue Science. Selon ses auteurs, ces détritus flottants multiplient par vingt les risques, pour les récifs, de développer diverses maladies pouvant conduire à leur dépérissement. Les mers du globe sont devenues, on le sait, des dépotoirs à ciel ouvert. Chaque année y sont déversées près de 10 millions de tonnes de plastique, selon l’estimation donnée en février 2017 par l’Union internationale pour la conservation de la nature. Le Corail, archive climatique témoin de l’acidification de l’Océan. Tara Pacific. Premier bilan public le 5 novembre - Lorient. 29 mois de navigation, 100 000 km avalés, 70 escales dans une trentaine de pays, 40 archipels étudiés, 36 000 échantillons prélevés, 70 scientifiques de huit nationalités embarqués, 23 institutions de recherche affiliés, 50 000 enfants accueillis à bord… Les chiffres de la onzième expédition de la goélette scientifique Tara donneraient presque le tournis. « C’était impossible ?
On l’a fait ! » « Deux ans et demi non-stop, c’est un peu le délire », admet Romain Troublé, le directeur général de la Fondation Tara Expéditions, à quelques jours du retour du navire à Lorient. « Tara revient à la maison ! Toute l’équipe est contente de poser les rames », confie-t-il, un brin fatigué. Il sera alors temps de dresser le bilan de cette mission « Tara Pacific » qui a mené les équipages du Panama au Japon (2016-2017), puis de la Nouvelle-Zélande à la Chine (2017-2018) . « Le phénomène est réversible » L’Europe après un chantier de six mois.