My Little Paris. Poc.
Quelque chose vient de vous tomber sur l'épaule. Quelque chose qui gigote dans tous les sens. Quoi, un pince-oreille tombé du ciel de Paris ? Pas si bizarre : il y a sûrement un potager perché aux alentours. A Paris, la Fable du rat des villes et du rat des champs, on s'en éloigne et on s'en réjouit : aujourd'hui, la campagne pousse sur les toits, et booste la biodiversité tout en réduisant la pollution de l'air. Jardin vertical : Augmentez la surface de votre jardin ou de votre balcon.
Jardin vertical : Le jardinage vertical ajoute une autre dimension à vos espaces de culture intérieurs ou extérieurs.
Que vous concoctiez un jardin d’herbes verticales ou un treillis, économisez de l’espace dans votre jardin avec un jardin qui grandit. Pensez au mur végétal vertical – une des nouvelles tendances de jardin les plus en vogue et pourtant c’est l’une des plus anciennes (avez-vous déjà cultivé une vigne sur une clôture ou un treillis?). Les éléments de jardin verticaux peuvent attirer l’attention sur une zone ou masquer une vue peu attrayante. Ce style de jardinage est une solution parfaite pour à peu près n’importe quel jardin, à l’intérieur comme à l’extérieur.
Detroit : ruinée, la ville de la techno revit grâce à l'agriculture urbaine. Après avoir été déclarée en faillite en 2011, la ville de Detroit dans le Michigan semble relever la tête.
Ce bastion de la techno, fer de lance de l’industrie américaine automobile d’autrefois, est en train d’effectuer une reconversion inattendue. Aujourd’hui, Detroit se met au vert et à l’agriculture urbaine. Pour comprendre la situation actuelle de Detroit, il faut faire un petit bond dans le passé et retourner au début du XXe siècle. Entre 1900 et 1930, la ville du Michigan est le fleuron de l’industrie automobile américaine. Ce statut lui vaudra le surnom de “Motor City” ou “Motown”, sobriquets qui vous disent sans doute quelque chose. Le 30 novembre dernier, Detroit a ainsi inauguré le premier quartier agricole à grande échelle en plein cœur de la ville, prenant la place de pionnière en la matière aux États-Unis. Nouvelles perspectives Nouvelles alternatives Aujourd’hui, il existe d’autres fermes aux Etats-Unis qui s’appuient sur le circuit court.
Ouvrage "Jardins de pluie" : focus sur l’expérience menée dans une ZAC près de Rennes. L’ouvrage "Jardins de pluie, une dimension écologique et paysagère à l’aménagement" expose l’intérêt d’aménager ces espaces humides en zone urbaine, et donne de nombreux exemples de bonnes pratiques.
Parmi ceux-ci, l’expérience de la ZAC des Rives du Blosne avec un projet de construction en zone inondable. La commune de Chantepie, se transforme à l’aide d’un programme de "ville-parc", avec la fabrication de formes urbaines intégrées dans une trame verte et bleue. Ce projet de ZAC qui s’étend sur 76 hectares se trouve en périphérie immédiate de Rennes, sur un espace bocager vallonné, traversé par le ruisseau du Blosne. Face aux risques d’inondation, de nouvelles formes urbaines respectueuses des équilibres hydrologiques et écologiques en place sont instaurées. Facebook.
Portrait des Vergers Urbains. Le "crowdfarming" Brut - Interview : Ron Finley, le jardinier gangsta. Brut - À Achères, des fruits et légumes au pied de la ville. - Let's restore the native forests, together! How to make a mini forest with Miyawaki method. Pollution urbaine : et si on plantait des arbres ? Brut - À Tours, des citoyens transforment les espaces verts en potagers ouverts à tous. Bruno Girard BéGé. Bruno Girard BéGé. Guérilla Greffeurs : un collectif greffe secrètement des branches d'arbres fruitiers sur les arbres des villes - NeozOne. Il y a quelques mois, nous vous parlions des biodalistes, ces activistes écologistes qui remplacent les pavés de nos villes… par des fleurs !
Sur le même principe, un collectif baptisé « Les Guérilla Greffeurs » s’engage pour lutter contre la faim. Alors que la plupart des arbres plantés en ville ne produisent pas de fruits, les greffeurs ajoutent des branches « nourricières ». Les arbres des villes ont perdu leur sens originel, ils ne produisent plus de fruits mais sont uniquement décoratifs… Les Guérilla Greffeurs veulent changer le monde et faire des arbres de vraies sources de nourriture… Ils agissent donc… dans l’illégalité !
Le mouvement nous vient de San Francisco et existe depuis 2012. La plus grande ferme urbaine en toiture du monde ouvre cet été à Paris ! Aussi monumentaux et attendus soient-ils, tous les projets censés voir le jour ces dernières semaines ont clairement été éclipsés par le virus au nom de boisson houblonnée.
Tandis que la Bourse du commerce et la Samaritaine ont reporté leurs (ré)ouvertures à 2021, la ferme urbaine de 14 000 m2 planquée sur le toit du Parc des expositions de la porte Versailles a de son côté commencé le mois dernier à récolter ses premiers fruits et légumes. Avant une ouverture au public annoncée pour le 1er juillet ! Aux manettes de la plus grande ferme en toiture du monde, on retrouve Viparis, gestionnaire du Parc des expos, ainsi que les sociétés Agripolis et Nature Urbaine, chargés de mettre en plants tout cela. Avec pour objectif de récolter à l'horizon 2022 – un tiers du lieu est actuellement exploité – plusieurs centaines de kilos de fruits et légumes de saison par jour, tous produits en hydro et aéroponie. «Guérilla greffeurs» Greffe secrètement des branches fruitières sur des arbres de ville stériles - Go Jardin. Un groupe de combattants de la liberté alimentaire se faufile au milieu de la nuit (et parfois en plein jour); greffant des membres producteurs de fruits sur des arbres urbains stériles.
Connus sous le nom de « Guérilla Grafters », leur mission est de fournir des aliments sains et gratuits là où ils sont le plus nécessaires – les déserts alimentaires urbains. Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi aucun des arbres des grandes villes ne produit quelque chose d’utile, comme des noix ou des fruits? L’agriculture urbaine productive : un modèle économique encore incertain. Avec 2 500 m² de maraîchage, entre deux points de vue sur la Tour Eiffel et Montmartre, les toits de l’Opéra Bastille accueillent des rangées de laitues, radis, fraisiers et autres comestibles.
Cette ferme urbaine existe depuis juillet 2018, née de l’appel à projets « Parisculteurs » remporté par l’entreprise Topager. Celle-ci a fait le choix de cultiver des fruits et légumes de saison, selon les principes de l’agro-écologie, à partir d’un substrat nutritif agrémenté de compost. Les eaux de pluie sont drainées et contribuent à irriguer les cultures. Coût de l’installation : 50 000 euros pour Topager et 300 000 euros de la part de l’Opéra Bastille, afin de refaire l’étanchéité du toit. Marie Carcenac, cheffe maraîchère à Topager, explique l'autre différence par rapport à du maraîchage en pleine terre : Tout le travail est exclusivement manuel. Une rentabilité à terme qui pose question Pour Topager, cette micro-ferme doit permettre d’expérimenter un modèle productif rentable. Écouter 45 sec. Une gigantesque ferme urbaine va voir le jour à Paris. Des légumes dans une ferme urbaine expérimentale en octobre 2016 à Lyon © AFP/Archives JEFF PACHOUD Sur le toit d'un hall du parc des Expositions de Paris, une énorme ferme urbaine sort peu à peu du béton.
Un test pour jauger la capacité des villes à se nourrir elles-mêmes un jour, au moins partiellement. Lorsqu'elle sera terminée en 2022, la "plus grande ferme urbaine sur un toit en Europe", selon ses promoteurs, devrait compter 14 000 mètres carrés cultivés par une vingtaine de maraîchers produisant au moins une tonne de fruits et légumes par jour. Coût total de l'investissement : 700 000 euros que Nature Urbaine, la société chargée de mettre le projet en œuvre, espère rentabiliser via la vente de légumes frais dans des restaurants du voisinage, mais surtout des animations, événements privés ou publics, séminaires et activités sur le site.
A terme, les exploitants aimeraient aussi alimenter en produits frais des cantines scolaires aux alentours. 100 pieds sous terre: à Londres, un abri anti-aérien devient potager.