L'ingestion des microplastiques sous l'océan. Best Home Water Distiller UK. Peut-on encore dépolluer les océans ? Plastiques, produits chimiques, marées noires… À ces pollutions qui mettent en péril l’ensemble des écosystèmes marins s’ajoutent la surpêche et les effets du changement climatique.
Comment peut-on enrayer la machine ? Et si la solution venait de la terre et d’une réduction drastique de nos déchets ? (Cet article a été publié dans le n° 8 de la revue Carnets de science en vente en librairies.) Des décennies durant, les activités humaines ont entraîné le rejet dans les océans de substances dangereuses et de déchets en tout genre, sans que personne ne s’en émeuve. Couvrant plus des deux tiers de la surface du globe, l’océan est tellement immense, pensait-on, qu’il resterait insensible à notre irresponsabilité. Mollusques et poissons sauce plastique De toutes les pollutions d’origine anthropique, une d’entre elles est devenue, par son ampleur, emblématique de notre impact sur l’environnement : la pollution plastique.
Image composite/Paulo de Oliveira/ Biosphoto Mais ce n’est pas tout. Sans titre. 65 % des Français boivent de l'eau du robinet tous les jours ou presque, ce taux variant de 47 % dans les Hauts-de-France à 76 % en Auvergne-Rhône-Alpes. 125 litres d'eau en bouteilles ont été consommés en moyenne par chaque Français en 2016 (70 litres d'eau minérale naturelle et 55 litres d'eau de source). 94% de la population française est desservie en permanence par de l'eau respectant les limites de qualité pour les pesticides, et 99 % par de l'eau respectant également la limite de qualité pour les nitrates.
L'eau du robinet présente-t-elle un risque microbien ? Selon le Centre d'information sur l'eau, 38 % des eaux du robinet sont issues d'eaux superficielles (rivières, lacs, fleuves… ), plus à risque de contamination et de pollution que les eaux de source et minérales. Sans titre. Bienvenue à Accra, au Ghana □□ - L'oeil médiatique. Les nanoparticules : quels effets pour l'environnement ? Comment choisir son poisson sans... - Mr Mondialisation. Biology Plastic in Oceans. Pollution plastique des océans : les images terribles de l'Odyssée Race for Water. Les communautés philippines de l'île de Gaya (Malaisie) brûlent ou jettent dans l'océan tous leurs déchets, faute de système de collecte.
(Crédit : Peter Charaf) Plus de 58 190 miles parcourus, 39 escales dans 34 pays et près de 192 250 microplastiques récoltés. C'est le bilan de Race for Water après 10 ans d’existence. Une fondation crée en 2010 par l’entrepreneur suisse Marco Simeoni, qui décide en 2015 de lancer une première expédition scientifique et environnementale, la Race for Water Odyssée. Objectif : dresser un bilan global de la pollution plastique de nos océans. République dominicaine droit devant, 2017. La République dominicaine, et particulièrement sa capitale Saint-Domingue, sont envahies par les déchets de toutes sortes. Cap sur l'Asie, 2019. Camille Rollin, membre de la Fondation Race for Water, sur une plage devenue invisible, vers Pasuruan à l'est de Java, en Indonésie.
Le village plastique de Bangun, 2019. Bornéo, la vie sur les décharges, 2019. À lire aussi À lire aussi. Very cool animation models the movement and size of the Great Pacific Garbage Patch. Source. Pollution plastique des océans : les terribles images de l'Odyssée Race for Water. Les communautés philippines de l'île de Gaya (Malaisie) brûlent ou jettent dans l'océan tous leurs déchets, faute de système de collecte.
(Crédit : Peter Charaf) Plus de 58 190 miles parcourus, 39 escales dans 34 pays et près de 192 250 microplastiques récoltés. C'est le bilan de Race for Water après 10 ans d’existence. A 10 927 mètres au fond du Pacifique, un sac plastique et des emballages de bonbons. Au fond de la fosse des Mariannes, l’explorateur Victor Vescovo, qui a réalisé la plongée la plus profonde de l’histoire, a constaté « une contamination humaine ». Si le capitaine Nemo était né au XXIe siècle, ses aventures aux confins de l’Atlantide auraient-elles ressemblé à un trash tag challenge ? Le héros de Jules Vernes aurait, en tout cas, dû équiper son Nautilus d’une poubelle de tri, à en croire la découverte de Victor Vescovo, révélée dans un communiqué de presse lundi 13 mai. Ce gros bonnet de Wall Street, qui a fait fortune dans les fonds d’investissement, a réalisé le 1er mai la plongée la plus profonde de l’histoire, en descendant avec son sous-marin DSV-Limiting-Factor à 10 927 mètres sous la surface de l’eau, au fond de la fosse des Mariannes – le point le plus profond connu à ce jour sur la planète Terre.
Tribune : « L’avenir de la vie sur Terre est en jeu. Nous vous exhortons à agir sans attendre » Hundreds of Offshore Fracking Wells Dump Billions of Gallons of Oil Waste Into Gulf. By Andy Rowell As the U.S. shale industry comes under increasing scrutiny for its environmental and health impact, it has emerged that the U.S. has approved fracking offshore leading to billions of gallons of wastewater to be dumped at sea.
The Center for Biological Diversity has released federal documents that reveal that officials approved more than 1,200 offshore fracks in 630 different wells in the four years from 2010 to 2014 in the Gulf of Mexico. The Gulf of Mexico has already been suffering from decades of conventional oil and gas drilling as well as the aftermath of the devastating Deepwater Horizon blowout in 2010, when millions of gallons of oil were spilt. Plastic Pollution.