En images : dans l'intimité des Parisiens. Après New York, la photographe américaine Gail Albert Halaban s’est intéressée à l’intimité des Parisiens.
En les prenant en photo… via la fenêtre de leurs maisons. Crédit Image : Gail Albert Halaba. Courtesy éditions de la Martinière Si Gail Albert Halaban pouvait être comparée à une figure du cinéma, l’image de James Stewart en Jeff Jefferies dans Fenêtre sur cour nous apparaitrait comme une évidence. Bien qu’elle soit une femme et qu’elle n’a pas eu d’accident de voiture l’obligeant à camper sur une chaise roulante, les deux partagent le plaisir de s’enquérir des faits et gestes de leurs voisins new yorkais, l’oeil vif et l’appareil photo toujours vissé à la main. Dans une série intitulée Vis-à-vis, la photographe américaine a capturé le quotidien des Parisiens en volant une part de leur intimité.
Hopper, un célèbre inconnu au Grand Palais. Par Pierre Morestin Mis à jour le , publié le EXPOS - Calendriers, agendas, puzzles, mugs… Edward Hopper (1882-1967) est partout, et l'on croit le connaître.
Pour le grand public français, il reste ce peintre de l'Amérique de l'entre-deux guerres qui montre des personnages déprimés, perdus dans des décors froids. L'expo événement présenté au Grand Palais à Paris du 10 octobre au 28 janvier balaie les poncifs. Prenons sa toile la plus célèbre, Nighthawks (les oiseaux de nuit). Jeune, Hopper se forme d'abord à l'illustration publicitaire. Si vous êtes un fanatique du musée d'Orsay, la construction de cette toile, ou de cette autre peinture (à observer via ce lien) vous rappelle peut-être quelque chose.
Hopper connaissait Degas ? Car cette peinture qui nous semble si américaine avec ses buildings, ses stations-services, ses femmes fatales, s'appuie en réalité sur des recettes développées depuis longtemps sur le vieux continent. Informations pratiques : Edward Hopper Entrée : Square Jean Perrin. La Femme au miroir. Peintures Peinture italienne Auteur(s) : Aline François Dans ce chef-d'oeuvre du classicisme chromatique de la jeunesse de Titien, l'harmonie de la composition et des couleurs exalte la beauté de la femme.
Titien donne ici le prototype de l'idéal féminin caractéristique de la peinture vénitienne. Les deux miroirs, dont l'un est tendu par l'homme, permettent à la jeune femme de se voir de face et de dos : ce thème du reflet, inventé par Giorgione, met en valeur l'habileté technique de l'artiste. Sélections d'oeuvres : Gastronomie. Sélections d'oeuvres : Gastronomie. Grotte de Lascaux. La grotte de Lascaux, en Dordogne, est un ensemble composé de salles et de galeries souterraines dont plusieurs secteurs sont ornés de peintures murales que l’on situe généralement entre 20 000 et 17 000 av.
J. -C. Sa découverte est l’une des plus déterminantes pour la connaissance de l’art pariétal de la période du Paléolithique. Quatre adolescents projetés dans la légende Le 8 septembre 1940, des adolescents se promènent dans les bois de Lascaux quand leur chien disparaît dans un trou. Un art animalier, typique de la Préhistoire La salle des Taureaux doit son nom aux quatre immenses aurochs (sorte de taureau sauvage) qui s’y trouvent peints. Chacune des deux parois de cette salle exceptionnelle a été dénommée en fonction des animaux représentés. Par leur sujet, les peintures de Lascaux sont particulièrement représentatives de l’art préhistorique, car il s’agit d’un art essentiellement animalier, où l’homme et la végétation sont rarement représentés. Des chasseurs ingénieux. Ecrire la ville : un atelier d'écriture avec François Bon.
La Dame à la licorne. Découverte en 1841 par Prosper Mérimée dans le château de Boussac, la tenture de la Dame à la licorne suscite encore aujourd’hui l’admiration.
Elle se compose de six tapisseries [ image principale ] : chacune met en scène, dans un jardin idyllique, une jeune femme de la haute société accompagnée d’une suivante. Elles sont entourées d’une licorne et d’un lion qui présentent les armoiries du commanditaire, un membre de la famille Le Viste, peut-être Jean, qui occupe une charge importante sous le règne de Charles VIII, après 1483.
Un précieux décor À la fin du Moyen Âge, les tapisseries sont des éléments importants dans la décoration des riches demeures. Elles sont utiles pour isoler les murs, mais elles participent aussi de la manière dont un propriétaire peut faire étalage de sa fortune. Un univers merveilleux Ces tapisseries nous entraînent dans l’imaginaire des classes aisées de la fin du Moyen Âge.
La licorne, une créature imaginaire Plus qu’une dame, une allégorie « À mon seul désir » Fenêtre sur cour INTRO. Allégories des cinq sens. Musique_mBA. Site officiel du musée du Louvre. Résultats Google Recherche d'images correspondant à. Portrait d'un vieillard et d'un jeune garçon.