La Grande Guerre et son étrange fascination pour les insectes. « “Le soldat n’est plus un personnage noble”, observait le poète de guerre anglais Siegried Sassoon alors qu’il servait sur le front de l’Ouest.
“Il n’est plus qu’un insecte qui se tord de douleur dans cette épouvantable folie destructrice.” » Il est peu surprenant que Sassoon ait choisi le point de vue d’un insecte pour évoquer le sort des combattants de la Première Guerre mondiale. Il n’est pas le seul. Au Royaume-Uni, les bêtes à six pattes sont devenues le prisme par lequel les gens pensaient, et écrivaient, sur leur expérience de la guerre. L’intérêt pour les insectes en général s’en est vu renforcé. La Grande Guerre a été le premier conflit de longue durée, entièrement industrialisé, dans lequel l’ennemi pouvait être réduit à une vulgaire poussière.
Les guerres sont-elles des accélérateurs des mutations planétaires ? 14-18, des traumas de guerre en héritage. Il n’en avait plus parlé, ni à sa femme, ni à ses enfants… Cette grande guerre, Pierre Crocq l’avait vécue dès l’âge de 20 ans, alors jeune instituteur mobilisé en 1914, blessé à Verdun en mars 1917.
Les douleurs, physiques et surtout psychiques, les souvenirs obsédants…, il gardait tout cela en lui, jusqu’à ses confidences faites à son petit-fils au milieu des années 60 ! Poussé par ses trois fils, Henri, Claude, et Louis (devenu médecin psychiatre des armées, spécialistes es traumas de guerre), Pierre Crocq accepta alors de rédiger ses souvenirs plus de 50 ans après, avec une étonnante mémoire et ce thème du trauma psychique…
Grande Guerre : les Gueules cassées "faisaient tache dans la population" Bienvenue !
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Les sciences dans la grande guerre: Recherche et médecine du 05 juin 2014 - France Inter. Histoire des drogues 4/4 : L'usage des drogues pendant les guerres. Quatre femmes de science (4/4) : Marie Curie – Le radium à l’estomac. Toute l'existence de Marie Curie est sous le signe de la droiture, de l'humanisme, et du travail.
Quand elle était enfant à Varsovie, la résistance intellectuelle à l'occupation russe était obligatoire : l'occupant pouvait saisir ce qu'il voulait, sauf ce que les Polonais avaient dans la tête. Une série documentaire d'Olivier Chaumelle et Vincent Decque L’existence de Maria Skłodowska devenue Marie Curie est légendaire.
C’est un superbe conte à la fois triste et merveilleux. Non que ce qu’on en raconte soit erroné ou tant que ça embelli par l’histoire, mais tout de même, une telle conjonction de gloires, associées à une pareille accumulation de malheurs, ça force le respect. Sa grande sœur qui meurt du typhus, puis sa mère, de tuberculose. Les sciences dans la grande guerre: Recherche et médecine du 05 juin 2014 - France Inter. Guerre et sciences - Académie de Lille. À consulter Des sites Internet, des comptes-rendus, des documents d'archives pour s'informer sur le premier conflit mondial et les sciences...
Sur le Web. Portail officiel du centenaire de la Première Guerre mondiale. Médecins de la Grande Guerre - Bienvenue. Médecine - Progrès médicaux. Progrès médicaux Corps médical de l’armée canadienneBlessés du frontTraitements médicauxProgrès médicaux La pression et les défis imposés par la guerre ont été à l’origine de la création de nouvelles techniques médicales.
Transfusion sanguine Une des nouvelles techniques les plus importantes fut la transfusion sanguine. Le remplacement rapide du sang perdu contribuait à empêcher les blessés d’entrer en état de choc et de mourir. Autres progrès De nouvelles méthodes pour traiter les fractures, l’extraction du métal de parties du corps sensibles à l’aide d’aimants, le nettoyage des plaies pour éviter l’infection et le traitement des terribles effets des gaz toxiques firent tous progresser la médecine de combat. Poursuivez votre exploration avec ces sujets : Générique du site Web Droits Liens Avertissement. Guerre et médecine - 100 ans après la Grande guerre. On doit la citation de la présente édition de la Revue de l'OTAN au poète de guerre Siegfried Sassoon, qui a servi dans les tranchées durant la Première Guerre mondiale.
Malgré une multitude d’attaques et de batailles qui ont fait des millions de morts, la ligne de front n’a pratiquement pas bougé durant le conflit. Ayant été le témoin du carnage organisé et de l’absurdité de cette guerre, Sassoon, un patriote qui s’était engagé spontanément dans l’armée, est devenu objecteur de conscience pour ne pas retourner au front. Au lieu d’être traduit devant la cour martiale, il a alors été hospitalisé pour obusite, ce qui montre à quel point ce terme (qui faisait référence au choc causé par les explosions d'obus) était un concept fourre tout, couvrant de nombreuses pathologies.
Dans la vidéo de la présente édition, on apprend ainsi que certains médecins allaient, officiellement parfois, jusqu’à décrire l’obusite comme un signe de féminité. Lecture : le service de santé pendant la Première guerre mondiale. Le Service de santé aux armées pendant la première guerre mondiale, Pr Alain Larcan et Médecin en chef (CR) Jean-Jacques Ferrandis Par l’ampleur de ses combats et sa durée inattendue, le conflit de 14-18 a fait peser de nouvelles et redoutables exigences sur le Service de santé aux armées.
Quelques mois vont suffire aux équipes soignantes pour réorganiser entièrement et moderniser leurs moyens d’assistance et de secours auprès des combattants. De cette épreuve va naître l’un des meilleurs Service de santé des nations engagées. Le corps des médecins militaires va établir des principes d’intervention qui restent, aujourd’hui encore, valables. C’est l’histoire de cette adaptation des méthodes et des hommes, de la prise en compte d’un vaste champ d’intervention : médical, épidémiologique, chirurgical, psychiatrique, radiologique qui vous est proposé dans cet ouvrage.
Médecine & Armées tome 44 n° 1. HSMxx. Historix-Sources- Revue Rose 14-18. Historix-Sources- Académie des Sciences Guerre des 14-18. #MarieCurie a toute sa vie refusé la Légion d'honneur. À la fin de la Grande Guerre, elle l'aurait acceptée, mais elle fut oubliée.