Un exemple de translittératie : l'évaluation de l'information sur internet / E-dossier de l'audiovisuel : L'éducation aux cultures de l'information / E-dossiers de l'audiovisuel / Publications / INA Expert - Accueil - Ina. Titulaire du Capes de Documentation en 1992, enseignant dans les filières documentaires à l’Université Rennes 2, docteur en Sciences de l’information et de la communication en 2000,Alexandre Serres est depuis 2002 maître de conférences et coresponsable de l’Unité régionale de formation à l'information scientifique et technique (Urfist) de Bretagne-Pays de la Loire.
Membre de l’Équipe d’accueil 3207 PREFics (Plurilinguismes, représentations, expressions francophones, information, communication, sociolinguistique) à l’Université Rennes 2, il consacre l’essentiel de ses travaux à la culture informationnelle, la didactique de l’information, l’évaluation de l’information sur Internet et la formation des étudiants et des doctorants à l’information scientifique. Il a été membre du Comité éditorial et scientifique de Formist, et a participé aux travaux de l’ERTé (Équipe de recherche en technologie éducative) « Culture informationnelle et curriculum documentaire » de Lille 3. 1. 4. 10. 11. 13.
Les Nouveaux Chiens de Garde. [APDEN] Alexandre Serres Enseignant-chercheur, co-responsable de lʼURFIST de Rennes Article paru dans le Mediadoc N°8 en Juin 2012 Evaluation de l’information et veille : il n’y a pas si longtemps, ces deux activités étaient l’apanage des professionnels de l’information et restaient assez clairement distinctes, tant dans les modèles théoriques que dans les pratiques réelles. L’évaluation des ressources était considérée comme une étape de la recherche d’information et comme une composante de la veille, et la distinction entre les deux paraissait encore évidente. Aujourd’hui, non seulement ces deux activités sont devenues l’affaire de (presque) tous, mais elles sont si entremêlées qu’il devient parfois difficile de distinguer ce qui ressort de l’une ou de l’autre. Dès lors, face à l’hybridation, voire à la confusion des pratiques informationnelles, il devient indispensable, notamment pour les professeurs documentalistes, de s’interroger sur ce qui distingue encore ces activités et ces pratiques.
Faut-il mettre les archives à l'abri du changement politique ? C’est une course contre la montre qui s’est engagée aux États-Unis. D’un côté, la nouvelle administration, soupçonnée de vouloir purger d’une partie de leurs données les sites internet gouvernementaux : ainsi a-t-on vu disparaître (entre autres exemples) les références au changement climatique. De l’autre, des chercheurs qui entendent mettre à l’abri un maximum de données publiques, de peur que celles-ci ne finissent par être effacées par la présidence Trump. Nom de code de l’opération : Data Refuge Project. A LIRE : États-Unis : des scientifiques se mobilisent face à Trump Une telle confrontation a de quoi surprendre.
. ‘’Faut-il mettre les archives à l’abri des changements politiques ? Les entretiens du CELSA : "Le public jeune" - Introduction du débat. Faut il avoir peur de Google ? Xerfi Canal Françoise Benhamou Le livre : marier numérique et papier. Jean-Michel Salaün, Vu, lu, su. Les architectes de l'information face à l'oligopole du Web. 1Le dernier ouvrage de Jean-Michel Salaün, professeur à l’Ecole normale supérieure (ENS) de Lyon, anciennement directeur de l’Ecole de bibliothéconomie et des sciences de l’information à l’université de Montréal (2005-2010), est divisé en cinq grandes parties et présente une approche originale, dans la mesure où le réseau des réseaux, Internet ou le Web, est analysé comme un document.
En effet, Jean-Michel Salaün se base sur les travaux de la théorie du document1 qui nous intéressent au premier chef en tant que professeur documentaliste. Les documents sont tellement omniprésents dans nos vies que nous ne les voyons plus… Dans le premier chapitre consacré à la bibliothèque, Jean-Michel Salaün la considère comme un média à l’instar de la radio, la télévision, la presse et l’édition. 3 Paul Otlet, Traité de documentation : le livre sur le livre. Théorie et pratique, Editiones Mundan (...) 4 Roger T. 3Jean-Michel Salaün construit sa thèse autour de « trois participes passés : vu, lu, su.
Universalis : INDEXATION. L'indexation consiste à identifier dans un document certains éléments significatifs qui serviront de clé pour retrouver ce document au sein d'une collection. Ces éléments comprennent le nom de l'auteur, le titre de l'ouvrage, le nom de l'éditeur, la date de publication et l'intitulé du sujet traité. Des règles d'usage régissent le choix et la forme des noms, les listes de vedettes matières, les plans de classification et d'analyse documentaire. La programmation et l'impression des index par ordinateur ont accru l'importance de ces codes. La complexité des documents modernes et la variété des formes sous lesquelles ils se présentent exigent qu'on aborde de façon systématique la construction des index et leur emploi.
Étymologiquement, indexer signifie montrer du doigt quelque chose qu'on veut identifier à telle ou telle fin. On caractérise le plus clairement et le plus évidemment un texte par le nom de l'auteur (ou des auteurs) . + sur internetLes règles catalographiques – J 381 riz – Kéfir. Folksonomies. Le terme de folksonomie est apparu récemment sur le web pour désigner le phénomène d’indexation des documents numériques par l’usager. On rencontre également fréquemment le mot tag qui désigne en quelque sorte un mot-clé. Le terme de folknologie est aussi employé, mais plus rarement. L’usage du mot folksonomie semble donc plus opportun. L’architecte de l’information Thomas Vander Wal a forgé ce terme en combinant la taxinomie (règles de classification, taxonomy en anglais) et les usagers (folk).
Ce phénomène ne cesse de prendre de l’ampleur avec l’avènement des nouvelles technologies du web, dites « web 2.0 », qui donnent plus de possibilités d’expression à l’internaute. Le phénomène est-il durable ou n’est-ce qu’un effet de mode ? Caractéristiques Les folksonomies constituent la possibilité pour l’usager d’indexer des documents afin qu’il puisse plus aisément les retrouver grâce à un système de mots-clés. L’ouverture d’esprit caractérise la folksonomie, comme le web 2.0.
Conclusion. Retrouver le bien commun est-il possible ? Chronologie des supports, des dispositifs spatiaux, des outils de repérage de l'information. Sylvie Fayet-Scribe. Chronologie des supports, des dispositifs spatiaux, des outils de repérage de l'information Sylvie FAYET-SCRIBE Maître de conférences, Université Paris 1 Septembre 1997 [Introduction] - [Tableau] - [Commentaires] - [Bibliographie] Cet article présente un tableau chronologique compris entre la préhistoire et le XXe siècle, accompagné d'un commentaire sur l'histoire des "techniques intellectuelles" d'accès à l'information.
Les "techniques intellectuelles" sont des méthodes et des outils ayant la capacité de repérer et de retrouver l'information. Ce travail se situe d'emblée à deux niveaux : sur l'unité, le livre (par exemple l'index d'un livre) et sur des ensembles : indexation de plusieurs unités (par exemple, le fonds documentaire, la bibliothèque, le réseau électronique).
L'accès à l'information écrite est dans cet article privilégié, l'image fixe puis animée n'est pas prise en compte. Définitions Utiliser un document, y puiser une information est un acte fondamental. Méthode. Sylvie Fayet-Scribe, historienne de la documentation. La transcription de l'entretien est disponible aux formats : pdf, epub, mobi Savoirs CDI clôture, avec cet entretien, la rubrique le Personnage du mois.
Sylvie Fayet-Scribe est Maître de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'Université Paris 1, UFR 9, (habilitée à diriger les recherches et qualifiée en histoire et sciences de l'information).Son ouvrage "Histoire de la documentation en France" a largement inspiré tous nos contributeurs à cette rubrique quant au choix des personnes.Sylvie Fayet-Scribe nous donne des pistes de travail et nous fait quelques révélations sur la fragilité de ce domaine de recherche. Pouvez-vous vous présenter ? Sylvie Fayet-Scribe : Voici mes dates principales Comment avez-vous choisi votre sujet d'HDR sur l'histoire des outils de médiation du savoir, et de la naissance d'une culture de l'information, où vous traitez aussi l'histoire de la documentation ?
Comment et quand s’est produite la rupture entre bibliothèque et documentation ? Broadcast Yourself. L'École numérique » 3 questions à... André Tricot André Tricot, professeur à l’IUFM de Midi-Pyrénées et chercheur au laboratoire Travail et Cognition du CNRS à Toulouse, André Tricot travaille sur les apprentissages et la recherche d’information via les documents hypermédias. L’école numérique est allée à sa rencontre. L’Ecole numérique : « Que les élèves apprennent-ils dans le monde numérique hors de l’école ? Et comment ? » André Tricot : « Bien avant l’arrivée des technologies numériques, les enfants et les adolescents apprenaient hors de l’école, selon deux modalités : Une modalité relativement passive, qui correspond à ce que les psychologues appellent les apprentissages implicites : par exemple, apprendre sa langue maternelle ; Une modalité plutôt active, qui correspond aux apprentissages par exploration (du monde physique par exemple), par le jeu et par les relations sociales.
Concernant plus précisément l’image, on observe son utilisation dans plusieurs phases du processus : A. A. Anne Cordier - Grandir Connectés. Dans le labyrinthe : l'évaluation de l'information sur internet. Entretien avec Anne Cordier : culture de l'information et enseignement de l'incertitude. Cet article est une lecture "augmentée" du texte d’Anne Cordier « Et si on enseignait l’incertitude pour construire une culture de l’information ? » paru en mars 2013.
Anne Cordier est Maître de Conférences en Sciences de l’Information et de la Communication - Université de Rouen Laboratoire GRHIS. Ce texte, « Et si on enseignait l’incertitude pour construire une culture de l’information ? », beaucoup lu dans la profession et beaucoup partagé sur les réseaux sociaux, à quelle occasion l’avez vous rédigé ? En fait, ce texte est à la fois une synthèse d’une partie des observations empiriques réalisées lors de mon doctorat et le prolongement de mes réflexions sur ce sujet. Il a été écrit pour répondre à un appel à communications, lancé dans le cadre du Colloque Spécialisé en Sciences de l’Information, COSSI. La thématique du colloque m’a de suite interpelée : « Information, intelligences, incertitudes ». Mais ces collègues ont-ils le sentiment d’atteindre leurs objectifs ? Mais bien sûr ! Quand internet change la donne - de Hervé LE CROSNIER.
Besoin d'information. Caractéristiques Niveau débutant Vient du constat d’un manque de connaissance Est relatif à un individu Donne lieu à un questionnement Permet la formulation de mots-clés Constitue une étape de la recherche d’information Est lié à une situation de résolution de problème Niveau avancé Naît d'une impulsion cognitive Permet la formulation d’une problématique Suppose une interaction avec un système d’information Suppose un processus de planification Suppose un processus de contrôle Suppose un processus de régulation Est une connaissance métacognitive Définitions Niveau de formulation débutant Le besoin d'information vient du constat d'un manque de connaissances, sur un sujet particulier, et donne lieu à un questionnement de l'individu sur les moyens et les méthodes pour trouver des informations.
Niveau de formulation avancé Exemples et contre-exemples Exemples Quelle était la monnaie en vigueur en Allemagne avant la création de l’Euro ? Contre-exemples Séquences pédagogiques Collège.