Primaires américaines : Cruz bat Trump dans le Wisconsin. Avec 49%, il domine largement Donalt Trump et ses 34%.
John Kasich a lui obtenu 14%. Grâce à une prime au vainqueur, Ted Cruz devrait remporter la quasi-totalité des délégués en jeu. Malgré cette défaite, Donald Trump garde une large avance dans la primaire pour désigner le candidat républicain mais ce faux pas compromet son projet de rafler l'investiture avant la convention républicaine de juillet. L'objectif de l'appareil républicain est de priver l'homme d'affaires de la majorité absolue de 1.237 délégués qui lui permettrait de décrocher l'investiture avant la convention nationale de Cleveland, en juillet. Le suspense devrait durer jusqu'aux derniers scrutins du 7 juin, notamment dans la grande Californie. Dans ce cas, l'investiture serait décidée par un vote imprévisible des délégués à Cleveland, dont la plupart seraient libres de voter selon leur préférence personnelle au lieu de respecter le résultat des primaires.
«Cette soirée est un tournant», a déclaré Ted Cruz à Milwaukee. La victoire de Cruz dans le Wisconsin galvanise les anti-Trump. La large victoire mardi du sénateur ultra-conservateur texan Ted Cruz dans l'État du nord des États-Unis lui permet de combler une partie de son retard en termes de délégués, mais l'écart demeure quasi insurmontable: il en a 510 contre 743 pour Donald Trump, plus proche de la majorité absolue de 1237.
> Réagissez sur le blogue de Richard Hétu Reste que cette aspiration du héros du Tea Party, soutenu par l'élite du parti républicain et le camp anti-Trump, pourrait empêcher le magnat de l'immobilier de cumuler la majorité absolue des délégués nécessaire pour une investiture incontestée lors de la convention républicaine du 18 au 21 juillet à Cleveland, Ohio. Le prochain enjeu de taille, c'est l'État de New York dont la primaire est prévue le 19 avril. Suivra un dernier «super mardi» le 26 avril avec en jeu la Pennsylvanie et quatre autres États. Donald Trump était jusqu'à présent grand favori de ces consultations. Vote imprévisible Vote imprévisible - Donald Trump: 743 délégués, 20 victoires. Présidentielle américaine 2016 : Ted Cruz bat Donald Trump et Bernie Sanders devant Hillary Clinton dans le Wisconsin. Par Nicolas Ledain Cette soirée électorale américaine ne sera pas (encore) celle de la consécration pour Donald Trump.
Le milliardaire a été assez largement battu par Ted Cruz lors de la primaire du Wisconsin mardi 5 avril. Selon les estimations du Washington Post, le sénateur du Texas obtient plus de 52 % des suffrages dans le camp républicain et devance son principal adversaire qui n'obtient qu'un peu plus de 30 % des voix. John Kasich est le troisième homme de ce scrutin avec entre 14 % et 15 %, selon les premiers résultats. Avant les deux derniers "Super Tuesday" des 26 avril et 7 juin, un peu plus de 200 délégués séparent encore Trump (737) et Cruz (505) dans la course à l'investiture, mais il n'est pas certain que l'homme d'affaires arrivera à la majorité absolue de 1.237 délégués avant la convention du Grand Old Party qui désignera le candidat pour l'élection présidentielle.
Elections américaines. 2016 : la compétition des impopulaires ? 02/05/2016 – 05h00 New York (Breizh-info.com) – Tout au long des élections américaines de 2016, retrouvez chaque vendredi l’analyse de Pierre Toullec, spécialiste de la politique américaine, en exclusivité pour Breizh Info !
L’occasion de mieux comprendre les enjeux et les contours d’élections américaines finalement assez mal expliquées par la majorité de la presse subventionnée – sponsor démocrate de longue date. L’occasion également d’apprendre ce qui pourrait changer pour nous, Européens, suite à l’élection d’un nouveau président de l’autre côté de l’Atlantique. 2016 : la compétition des impopulaires ? Cette année 2016 a déjà été riche en surprises sur de nombreux plans au cours des derniers mois. Pour ce qui est de l’élection présidentielle américaine, un phénomène particulièrement étrange est observable : la quasi-totalité des candidats à l’élection présidentielle ont une image très négative aux yeux des électeurs américains.
Cette donne est relativement nouvelle. Élection présidentielle américaine 2016: Actualités, photos et vidéos - Le Huffington Post. Une troisième guerre mondiale? Le premier ministre russe, Dmitri Medvedev, évoque le danger d’une troisième guerre mondiale.
Selon lui, ce risque est réel si des troupes proaméricaines se présentent au sol en Syrie. Et si ce n’est pas une guerre mondiale, alors il pourrait s’agir d’une guerre extrêmement longue. L’avertissement de Medvedev n’est-il qu’un argument de négociation destiné à faire reculer les Américains et leurs alliés ou bien cette possibilité est-elle bien réelle? 1. Pourquoi les Russes disent-ils que la guerre serait très longue? Les arguments de Medvedev sont fondés sur une comparaison avec la situation en Afghanistan et en Libye. 2. Une guerre mondiale ne peut survenir que si les grandes puissances se regroupent dans des camps différents.