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#SaveLocalBees. Les données enregistrées sur ce formulaire font l’objet d’un traitement informatique réalisé par l’association POLLINIS, dans le respect du Règlement général (UE) 2016/679 sur la Protection des données. Vous pouvez à tout moment exercer vos droits d’accès, de modification, de rectification, d’opposition, de limitation ou d’effacement sur simple demande à l’adresse contact@pollinis.org. Les données vous concernant seront automatiquement effacées de nos serveurs à votre demande, ou en cas d’inactivité de votre part pendant plus de 48 mois. Si vous estimez que POLLINIS n'a pas correctement protégé vos données, vous pouvez exercer votre droit de réclamation auprès de la Commission nationale informatique et libertés, 3 Place de Fontenoy - TSA 80715 - 75334 PARIS CEDEX 07. POLLINIS - bulletin d'informations Automne 2018. Bulletin de liaison #11 / automne 2018 POLLINIS renforce son équipe ! Une pression inadmissible ► Grâce au réseau Apiformes, les agriculteurs de demain sont formés à reconnaître les abeilles sauvages et découvrent au passage l'importance de ces pollinisateurs pour les cultures.

Quelles abeilles sauvages pollinisent quelles fleurs et sur quel territoire ? La mission que s'est donnée le réseau Apiformes, coordonné par l'INRA et la Bergerie nationale, et financé grâce aux dons des sympathisants de POLLINIS, est de répondre à cette question. Alors que l'Europe fait face à un déclin massif des pollinisateurs, un document de la plus haute importance dort dans un tiroir depuis cinq ans. Etudiante en troisième année en communication visuelle, à MJM Graphic Design, Amel rejoint POLLINIS pour un an, en tant que graphiste en alternance. « Cela m'intéressait de traduire graphiquement des messages militants !

POLLINIS, c'est vous ! Pour mener tous ces combats de front, nous avons besoin de votre aide. Les abeilles au cœur des recherches scientifiques de l'INRA. Bee / Abeille. La disparition des abeilles dans le monde. La disparition des abeilles. Les insectes pollinisateurs vont très mal. Plus efficaces que les abeilles domestiques pour la pollinisation, les espèces sauvages disparaissent peu à peu. La crise des pollinisateurs est moins connue que la crise du subprime ou la crise économique, dont on parle tous les jours. Et pourtant, elle est bien réelle, elle est durable et semble inexorable. Elle pourrait coûter très cher à l'économie mondiale puisque la contribution des insectes pollinisateurs à la production agricole est évaluée entre 190 et 320 milliards de dollars par an et à 2,8 milliards par an pour l'agriculture française, selon une étude conduite par Bernard Vaissière, de l'Inra, et Fabrice Allier, de l'Institut de l'abeille (Itsap), à paraître prochainement.

L'expression «crise des pollinisateurs» est apparue dans les années 1990. Nombre de scientifiques l'attribuaient alors aux hécatombes que les abeilles domestiques (Apis mellifera) commençaient à subir à cette époque. Des tests de toxicité » Abeilles: deux insecticides sur la sellette. C’est officiel, certains pesticides sont à risque pour les abeilles. L'exploitation du Cruiser OSR, un pesticide utilisé dans l’enrobage des semis de colza, a été interdite en France le 29 juin 2012.

Son effet néfaste potentiel sur les populations d'abeilles a été reconnu par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) dans un rapport publié le 31 mai 2012. © Autan, Flickr, cc by nc nd 2.0 C’est officiel, certains pesticides sont à risque pour les abeilles - 2 Photos L'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) doit s’assurer de la qualité des denrées alimentaires vendues dans l’Union européenne.

Elle remplit en plus une autre fonction tout aussi importante depuis quelques années : assurer la protection et la survie des abeilles. Le lien entre ces deux missions n’est pas évident de prime abord, mais il le devient lorsqu’on sait que 80 % des espèces de plantes exploitées commercialement dans le monde ont besoin de pollinisateurs pour se reproduire. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. Alain Godard » Blog Archive » Abeilles et pesticides : quelques rappels à l’histoire.

Je viens de lire dans Le Monde de ce samedi 2 février 2013, la page que s’est payée la Société Syngenta pour défendre sa politique en matière d’environnement et en particulier l’impact des traitements de semences vis-à-vis des abeilles. J’ai commencé à travailler dans l’industrie phytosanitaire en 1970, jeune ingénieur technico-commercial sur le terrain, et suis donc le témoin de ce qu’étaient les pratiques agricoles à cette époque.

La décennie 70 a sans doute été la pire dans l’absence de prise de conscience des dirigeants de l’industrie sur les impacts de leur activité sur l’environnement : si les abeilles avaient dû disparaitre de par les effets des pesticides, c’est bien à cette époque que cela aurait dû avoir lieu. Or, il n’y a eu à cette époque aucune observation scientifique ou pratique sur une quelconque réduction des colonies d’abeilles. Domesticated honeybees are giving bumblebees their dirty diseases. What happens when many, many bees visit the same flower? Well, much like with humans, if one of the bees has a disease, and the flower doesn’t use protection, it can spread the disease to other bees that visit it. According to a new study, which looked at 750 bees in 26 places in England, this is happening around the country — domesticated honeybees are bringing “deadly diseases” with them to the flowers and wild bumblebees are catching them.

There’s a possibility it might not be the honeybees’ fault. But scientists suspect it is, because honeybees are more disease-ridden. The Associated Press reports: Study co-author Matthias Furst of the University of London said the team’s research does not definitively prove the diseases are passed from honeybees to bumblebees, rather than the other way round.

The moral of the story is very conservative-right moralistic: Don’t share flowers with bees that make excess honey. Apiculture.