6 mars 2021 SARKO + PRISON + FLAMANT ROSE. 5 mars 2021 Corporatisme oblige : l’on n’est jamais mieux jugé que par ses propres « amis » du sérail… Sauf que la justice ne fonctionne pas ainsi… par Louis SAISI. Corporatisme politique oblige … L’on n’est jamais mieux jugé que par ses propres « amis » du sérail… Sauf que la justice ne fonctionne pas ainsi… par Louis SAISI La condamnation, le 1er mars 2021, d’un ancien Président de la République à un an ferme d’emprisonnement par le Tribunal de Paris (32ème chambre correctionnelle) n’est pas une chose banale et elle constitue même une « grande première » dans les institutions de la 5ème République, et même au sein de nos trois dernières Républiques… Rien d’étonnant que cela trouble beaucoup de citoyens français mais encore davantage une partie de la classe politique qui ne donne pas dans la discrétion ni encore moins dans le genre « profil bas », surtout lorsqu’elle appartient à la famille politique de l’ancien Président et qu’elle correspond à la droite politique la plus « assumée » selon les vœux de celui qui fut son ancien et bouillant leader arrivé, de 2007 à 2012, au sommet de l’Etat…
5 mars 2021 Didier Porte ne vous dira pas ce qui va arriver à Sarkozy en prison. George Orwell et les travers de porc ont ceci en commun qu’on peut les accommoder à toutes les sauces.
Le Figaro, Marianne, L’Expansion, Causeur, Valeurs actuelles, chacun sa petite recette. Entre un numéro sur « le spectre Islamiste » et un autre nous apprenant « comment la CGT ruine la France », le magazine Le Point nous aguiche avec, en couverture : « Orwell, le penseur qui va vous libérer ». Jusque dans l’indispensable Journal de Béziers, le maire de la ville, le souriant Robert Ménard, qui se réclame de l’auteur de 1984. Sans parler d’un très souverainiste « comité Orwell », requalifié « orwellien » suite à la protestation des ayants droits. Si chacun tire la couverture à soi et dénonce les impostures des autres, toutes ces nuances de droite partagent une même certitude : Orwell se disait de gauche, en fait il était de droite mais il était obligé de le cacher. 1er mars 2021 Procès des écoutes : une décision déterminante pour Nicolas Sarkozy attendue lundi.
Une décision très attendue doit être rendue lundi 1er mars par la 32e chambre correctionnelle du tribunal de Paris : l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy sera-t-il relaxé ou condamné dans l’affaire des « écoutes » ?
Quelle est l’origine de l’affaire ? Nicolas Sarkozy est suspecté d’avoir tenté d’obtenir d’un magistrat à la Cour de cassation, Gilbert Azibert, des informations confidentielles le concernant, voire de faire annuler la saisie de ses agendas présidentiels après avoir obtenu un non-lieu dans l’affaire Bettencourt. Gilbert Azibert, avocat général dans une chambre civile, n’intervenait pas directement dans ce dossier mais il aurait joué de ses relations. En échange, M. Sarkozy aurait promis d’intervenir en faveur du magistrat pour qu’il obtienne un poste de prestige à Monaco. Affaire des "écoutes" : la justice rejette les recours de Nicolas Sarkozy. Affaire des écoutes : ce qui est reproché à Nicolas Sarkozy. Renvoyé devant un tribunal correctionnel, l’ancien chef de l’Etat est soupçonné d’avoir voulu influencer un haut magistrat pour obtenir une décision favorable de la Cour de cassation.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Les Décodeurs Nicolas Sarkozy sera jugé devant un tribunal correctionnel dans l’affaire des écoutes, révèle Le Monde jeudi 29 mars. Affaire des écoutes : Nicolas Sarkozy placé en garde à vue. Après dix-huit heures de garde à vue, Nicolas Sarkozy a été mis en examen, dans la nuit du mardi 1er au mercredi 2 juillet, pour « corruption active », « trafic d'influence » et « recel de violation du secret professionnel ».
Peu avant, son avocat, Me Thierry Herzog, et un haut magistrat de la Cour de cassation, Gilbert Azibert, avaient eux aussi été mis en examen. L'ex-chef de l'Etat s'exprimera, mercredi à 20 heures, sur TF1 et Europe 1, sa première interview depuis qu'il a quitté ses fonctions. Comme Le Monde l'avait révélé lundi, M. Sarkozy avait été convoqué à Nanterre (Hauts-de-Seine), au siège de l'office central de lutte contre la corruption les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) de la direction centrale de la police judiciaire. Il y avait rejoint son avocat, Gilbert Azibert ainsi qu'un autre haut magistrat, Patrick Sassoust, eux-mêmes placés en garde à vue dès lundi matin. Comment Sarkozy a essayé d'éviter les écoutes téléphoniques.
Des méthodes tout droit sorties de la série The Wire.
Les écoutes judiciaires de conversations téléphoniques entre Nicolas Sarkozy et son avocat Thierry Herzog montrent que les deux hommes ont rivalisé d'habileté pour tenter d'échapper à la surveillance des juges. Passage en revue des vaines astuces utilisées. Les TOC Dans le cadre de l'enquête sur le financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, les juges placent la ligne officielle de l'ancien chef de l'État sur écoute. Ce dernier, alerté, prend ses dispositions. Son avocat ouvre à Nice deux lignes téléphoniques prépayées (appelés "TOC" pour "telephon out of control") sous le nom d'emprunt "Paul Bismuth". Les magistrats instructeurs parviennent cependant à traquer ces deux lignes officieuses sans que leurs propriétaires soient mis au parfum.
Ecoutes : le complot de Sarkozy contre ces «bâtards» de juges - Page 1. Ce sont les mots d’un ancien président de la République pris la main dans le sac.
Parlant sur des téléphones portables qu’ils croyaient sûrs, Nicolas Sarkozy et son avocat, Me Thierry Herzog, ont orchestré en ce début d’année un véritable complot contre l’institution judiciaire pour échapper aux juges et en tromper d’autres. Le nouveau procureur financier n’avait pas d’autre choix que d’ouvrir une information judicaire pour « trafic d’influence », mais les faits vont bien au-delà. C’est un nouveau scandale d’État dont il s’agit.
Ecoutes de Sarkozy : qui sont les acteurs de l'affaire ? Trois mois après la révélation de la mise sur écoute de Nicolas Sarkozy, son avocat, Me Thierry Herzog, et les magistrats Gilbert Azibert et Thierry Sassoust ont été placés lundi 30 juin en garde à vue.
L'ancien président l'a été vingt-quatre heures plus tard. Tous quatre doivent être interrogés dans le cadre de l'enquête pour « trafic d'influence » et « violation du secret de l'instruction » menée par le pôle financier du TGI de Paris. Thierry Herzog, l'avocat Qui est-il ? Ecoutes de Sarkozy: Des enregistrements accablants pour l'ex-Président.
SCANDALE Des extraits de conversations entre Nicolas Sarkozy et son avocat Thierry Herzog, publiés par Mediapart, prouvent que l'ex-Président a essayé d'entraver le déroulement de l'enquête...
Publié le Mis à jour le Mediapart publie ce mardi soir sur son site des extraits des conversations privées entre Nicolas Sarkozy et son avocat, Thierry Herzog. Les échanges, réalisés sur une ligne privée que l’ex-président a ouverte sous une fausse identité -celle de «Paul Bismuth»-, prouvent que les deux hommes ont tenté d’entraver le déroulement de l’enquête dans l’affaire Bettencourt et celle des financements libyens. On y apprend également que Nicolas Sarkozy est allé jusqu’à mettre en scène de fausses conversations avec son conseil sur sa ligne officielle pour «pour qu’on ait l’impression d’avoir une conversation». Pourquoi les écoutes « témoignent du système Sarkozy » Si vous n'avez rien suivi à l'affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy.
Dix-huit heures après le début de sa garde à vue dans les locaux de la police judiciaire à Nanterre, Nicolas Sarkozy a été mis en examen dans la nuit du mardi 1er au mercredi 2 juillet pour « corruption active », « trafic d'influence » et « recel de violation du secret professionnel ».
La veille, deux hommes, dont l'avocat de M. Sarkozy, soupçonnés d'avoir aidé l'ex-président à obtenir des informations liées au dossier Bettencourt, avaient eux aussi été mis en examen. Le point sur l'affaire. 1. Pourquoi Nicolas Sarkozy a-t-il été mis sur écoute ? Écoutes de Sarkozy : les retranscriptions qui renforcent les soupçons. Mediapart révèle, mardi 18 mars, une partie des conversations enregistrées par la justice sur le téléphone confidentiel de Nicolas Sarkozy, soupçonné de trafic d'influence dans plusieurs affaires. Ces conversations, entre Nicolas Sarkozy et son avocat, Thierry Herzog, confirment les informations révélées par Le Monde, le 7 mars. Tous deux étaient bien en lien avec Gilbert Azibert, haut magistrat à la Cour de cassation auprès de qui ils se tenaient informés de la procédure concernant les agendas de M. Sarkozy. Ces agendas, saisis dans l'affaire Bettencourt, contiennent des éléments qui peuvent alimenter d'autres enquêtes visant l'ancien président de la République, notamment l'affaire des financements libyens et dont Nicolas Sarkozy veut faire interdire l'utilisation.
Pour cela, il a besoin que la Cour de cassation invalide les actes d'instruction de l'affaire Bettencourt qui l'utilisent.