Armes du peuple, armes du juste milieu. Contexte historique « La Caricature » contre la monarchie de Juillet « Nous cherchons à nous tenir dans le juste milieu, également éloigné des excès du pouvoir populaire et des abus du pouvoir royal », déclare Louis-Philippe en janvier 1831 ; cette formule excite la dérision de la presse d’opposition.
En accédant au trône, lors de la révolution de 1830, le roi a dû appeler au pouvoir de francs libéraux comme La Fayette, Laffitte, qui l’y ont porté. Ils veulent une politique hardie de réformes démocratiques à l’intérieur et d’interventions au-dehors en faveur des populations opprimées ; ils forment ce que l’on appelle le « parti du mouvement ». Louis-Philippe rompt avec eux dès qu’il le peut, en mars 1831, et ne gouverne plus qu’avec les conservateurs, le parti de la résistance. Les contemporains ressentent le style du nouveau pouvoir comme « une sorte de rapetissement universel » (Tocqueville). Les figures symboliques de la IIe République. L'utopisme républicain de 1848. Contexte historique La révolution parisienne de février 1848 renverse Louis-Philippe.
La IIe république est proclamée, le suffrage universel instauré. Connus dans les capitales européennes, les événements français réveillent les aspirations libérales et nationalistes. En mars 1848, à Vienne, à Berlin, à Rome et à Prague, des insurrections éclatent et contraignent les souverains autoritaires à la fuite ou aux concessions. L'ère des barricades, 1827-1851. Contexte historique Une époque révolutionnaire A l’époque où la barricade constitue un sujet nouveau dans la peinture et la littérature, son rôle devient systématique dans les événements politiques.
Des insurgés érigent des barricades en 1827, 1830, 1832, 1834, 1839, 1848 (février et juin), 1849, 1851, et c’est alors que le terme acquiert son sens moderne. Sur vingt-cinq ans, toute une génération de jeunes républicains tels que Louis-Auguste Blanqui (1805-1881) ou François-Vincent Raspail (1794-1878) a fait son éducation politique au sommet des barricades en luttant contre les Bourbons et les Orléans, a acquis une maturité dans les combats de la Deuxième République et a été écrasée par le coup d’État de 1851.
L'avènement de Louis-Philippe : l'histoire officielle. Contexte historique A l'issue de la révolution de 1830 provoquée par la publication d' ordonnances iniques[1], Charles X abdique.
Le duc d'Orléans accepte la lieutenance générale du royaume. Les images de cette accession au pouvoir sont abondantes car le futur Louis-Philippe va rapidement commander plusieurs tableaux consacrés aux « Trois Glorieuses »[2]. L'iconographie de Juillet s'exhibera aussi sur des objets du quotidien – jeux de cartes, blagues à tabac, bouteilles de liqueur, vaisselle – susceptibles de laisser une empreinte dans les consciences. Analyse des images Les quatre toiles forment une suite. Arrivée du Duc d'Orléans au Palais-Royal Le héros arrive nuitamment à son domicile parisien en entrant discrètement par une maison de la rue Saint-Honoré qui fait partie du Palais-Royal[4]. Attaque de l'Hôtel de Ville de Paris, le 28 juillet 1830. Scène de Juillet 1830, dit aussi Les Drapeaux. Contexte historique Le drapeau bleu-blanc-rouge Au cours de la Révolution, l’emblème tricolore devient le support d’un nombre croissant de souvenirs et de fidélités.
Le 13 juillet 1789, La Fayette unit le blanc de la monarchie aux couleurs de Paris pour donner une cocarde à la garde nationale qui vient d’être créée. Le 17 juillet, le roi accepte d’arborer les trois couleurs. Elles tiennent ensuite une place privilégiée dans la fête de la Fédération et symbolisent désormais l’unité de la nation.
Analyse de l'image « L’étendard brillant de notre liberté » Au lendemain des « Trois Glorieuses », les vainqueurs communient dans l’exaltation des couleurs retrouvées. L’esquisse évoque le remplacement du drapeau blanc et les « Trois Glorieuses ». Interprétation. L'avènement de la Monarchie de Juillet. Contexte historique La revue du 29 août 1830.
La Barricade, rue de la Mortellerie, juin 1848 – Ernest MEISSONIER (Lyon, 1815 - Poissy, 1891) – Peintures. Allez au contenu Allez au menu principal Allez à la recherche Change language Accessibilité Soutenez le Louvre Accueil>Œuvres & Palais>Les incontournables Les incontournables Vous venez au musée du Louvre et ne souhaitez pas passer à côté de ses chefs-d'oeuvre ?
Rechercher une sélection. La révolution de juillet 1830. Contexte historique Charles X, et son impopulaire ministre, le prince de Polignac, remettent en cause les acquis de la Révolution.
L’opposition libérale, par le biais du journal Le National, prépare son remplacement par le duc Louis-Philippe d’Orléans. A la session de la Chambre le 2 mars 1830, Charles X menace de sévir. Les députés, par l’“ adresse des 221 ”, refusent de collaborer. Le 28 Juillet : La Liberté guidant le peuple – Eugène DELACROIX (Charenton-Saint-Maurice, 1798 - Paris, 1863) – Peintures. Delacroix : La Liberté guidant le peuple - Icône malgré elle ? (27 min) Le drapeau tricolore. Contexte historique Le 30 juillet 1830, au lendemain des Trois Glorieuses, Philippe d’Orléans accepte la lieutenance générale du royaume que lui propose un petit groupe de parlementaires (quarante-sept sur sept cents !).
Il faut faire vite, la candidature orléaniste est poussée en avant par les libéraux (La Fayette, Thiers, Constant) et les milieux d’affaires (menés par Laffitte) pour battre en brèche tout à la fois un possible retour des Bourbons en la personne d’Henri V et une proclamation de la république que nombre d’insurgés de la veille, tenant quartiers à l’Hôtel de Ville, appellent de leurs vœux. 1848.pdf (Objet application/pdf)