Plate-forme de Pittsburgh de 1885. La plate-forme de Pittsburgh de 1885 est le texte fondamental de la réforme classique du judaïsme aux États-Unis.
Appelant les Juifs à adopter une approche moderne dans la pratique de leur foi, elle énonce en huit points la primauté de la croyance et de l’éthique sur la pratique et la tradition ainsi que le rejet de toute définition nationaliste de la communauté juive. Cette plate-forme a été adoptée par l'UAHC (Union of American Hebrew Congregations) en 1885. Aux origines de la plate-forme[modifier | modifier le code] Au plus fort de sa controverse avec Alexander Kohut, opposant au radicalisme, le rabbin réformé Kaufmann Kohler, proche de David Einhorn, convoque une convention au Concordia Club à Pittsburgh, Pennsylvanie, laquelle se tient du 16 novembre au 19 novembre 1885. Les huit points de la plate-forme[modifier | modifier le code] Ce document fondateur définit l'idéologie de la réforme classique en huit points[1].
File:ReginaJonas1.jpg — Wikimedia Commons. Fichier:Abraham Geiger by Lesser Ury.jpg. File:Haskalah Colage.jpg. La Maison Sublime de Rouen - Le quartier juif de Rouen. À l’époque romaine, le quartier juif - terra judaeorum - s’étend sur trois hectares, soit le douzième du Ratomagus qu’occupe alors la tribu gauloise des Véliocasses.
Situé dans le secteur nord-ouest de la ville romaine, il forme un rectangle de 300 mètres de long par 100 mètres de large. Délimité au sud par le decumanus - l’actuelle rue du Gros-Horloge - et à l’est par le cardo - l’actuelle rue des Carmes - , ce quartier s’étend, à l’époque romaine, sur trois hectares. Les juifs à Rouen au Moyen – Age. L’historien Norman Golb fait remonter l’installation des juifs en Normandie et à Rouen à la colonisation romaine, aux tous premiers siècles de notre ère.
Cette installation a été encouragée par le pouvoir romain qui voulait conforter la conquête militaire de la Gaule par une implantation démographique. La présence à Rouen de cette communitas judaeorum s’est maintenue jusqu’à l’expulsion des juifs de France ordonnée par Philippe le Bel en 1306. Au début du Moyen – Age, la cohabitation des juifs et des chrétiens en France ne posait pas véritablement de problème. Reconnue et protégée par le pouvoir, la communauté juive disposait de droits économiques étendus, y compris celui de posséder des terres (ce que la carte des implantations juives en Normandie laissent supposer).
En 1007 toutefois, les relations se dégradèrent. L’antisémitisme des Rouennais, visible dans les attaques du quartier juifs au XIe siècle, était sans doute réel et a dû croitre avec le temps. WordPress: J'aime chargement… Map – oshpitzin.pl. Les Juifs dans la Grande Guerre, 1914-1918 (5675-5679) Inspirée du livre de l’historien Philippe-E.
Fondation pour la Mémoire de la Shoah. Accueil > Soutien FMS > Culture juive Le projet e-learning offre la possibilité de suivre les cours en direct via un ordinateur ou une tablette, équipé(e) d’une connexion Internet.
Le système permet également de participer au cours en direct, oralement ou par « chat », de répondre à des quizz, et donc d’interagir avec le professeur et les autres élèves, dans des conditions proches de celles d’une classe traditionnelle. Les cours étant stockés dans une bibliothèque numérique, les élèves, tout comme leurs parents, pourront visionner le cours en replay (s’ils ne sont pas disponibles au moment du cours, ou pour réviser), ce qui permet également aux parents de jouer pleinement leur rôle pédagogique auprès de leurs enfants.
Une histoire des Juifs de Pologne. ... Une réédition bienvenue d’un titre paru en 2006 mais qui n’avait pas été traité dans le cadre de la Cliothèque.
Comme l’écrit Henri Minczeles dans son introduction, il existe beaucoup d’ouvrages sur les Juifs en Pologne, mais ils traitent essentiellement de la Shoah ( on peut se référer cependant à l’Histoire des Juifs en Pologne, de Daniel Tollet, parue en 1992 aux PUF). Henri Minczeles se propose ici de tracer l’histoire complète des Juifs de Pologne, du Xème siècle à nos jours (une postface inédite de 2010 a été adjointe), en évitant « autant que possible le misérabilisme ou la sacralisation » (p.7). Fils d’un couple qui a fui la Pologne dans les années 1920, né à Paris en 1926 et élévé à la républicaine, Henri Minczeles « découvre » sa judaïté sur le tard et adhère au Bund (mouvement ouvrier juif) après la guerre. Retracer l’histoire des Juifs de Pologne, c’est forcément retracer l’histoire de la Pologne, un Etat qui fut alternativement puissant, soumis ou dépecé.
Galicie 1772 à 1918 : Allemands, Polonais, Ukrainiens et Juifs. ASHP. 1Mme Isabel Röskau-Rydel a présenté quatre conférences : Les Allemands d’Autriche : « élites d’État » en Galicie ; La situation des Polonais en Galicie habsbourgeoise ; La population ukrainienne de Galicie ; L’acculturation et l’assimilation des Juifs de Galicie à la société allemande et à la société polonaise.
Inauguration du Musée Polin - Mille ans d'histoire juive en Pologne. Juifs en Pologne. Retour d’histoire. Pour trouver l’unique rescapée des 300 synagogues que comptait Varsovie avant l’occupation allemande, il faut s’enfoncer, au 6 de la rue Twarda, dans l’un de ces chaos urbanistiques qui animent aujourd’hui le centre de la capitale polonaise comme autant de récits de sa reconstruction.
Traverser un parking, contourner un immeuble d’affaires de quarante étages, longer une barre des années 50. Dans le bruit étouffé de la circulation monte un chant d’hommes psalmodiant ; elle est là, en travers du chemin, la synagogue Nozyk que les nazis avaient transformée en écurie. Crème et ocre, pimpante. On entre. The World Society of CZĘSTOCHOWA JEWS and Their Descendants (Home Page) B'NAI B'RITH FRANCE. Comment devient-on français quand on est juif et polonais ? 1Une part importante des rescapés de la Shoah qui vivent aujourd’hui en France est d’origine polonaise.
Certains sont nés dans l’Hexagone, d’autres ont suivi leurs parents, d’autres ont été accueillis en France à la fin de la Seconde Guerre mondiale, d’autres enfin ont quitté la Pologne après 1945. Toutes ces personnes ont suivi des trajectoires différentes. Certaines parlent polonais, d’autres pas, mais toutes partagent les mêmes racines. Aucune pourtant, loin s’en faut, ne s’identifie au fait national polonais. À mesure que les années passent, leur terre natale (sinon la leur du moins celle de leurs parents) ne représente plus qu’un point brumeux alors qu’ils vivent, à l’inverse, leur appartenance à la nation française comme une évidence parfaite, un fait acquis, une réalité qui n’a pas lieu d’être interrogée. Culture juive. Le plus grand centre européen d'enseignement et de diffusion de la culture yiddish.