Révolution numérique. 8343.pdf. Note 1. Les addictions comportementales. Aspects cliniques et psychopathologiques. Addiction - le comportement addictif (voir aussi : Alexithymie) Retour L’addiction, terme d’origine anglaise signifiant un attachement excessif à quelque chose, désigne une relation de forte dépendance psychique à l’égard d’un produit dont la consommation excessive entraîne des troubles physiques et psychiques importants.
L’addiction autrefois représentait un asservissement au seigneur du fait de dettes impayées. Cet état d’esclavage, où le « self devient serf », est en fait une conduite de fuite dans laquelle le corps est soumis à une contrainte irrésistible. Une telle conduite devient pathologique lorsqu’elle représente le seul refuge vers lequel le sujet se précipite avidement au point de s’y abîmer, afin de surseoir à une souffrance psychique.Le terme d’addiction, auparavant équivalent de l’assuétude qui définissait l’état de dépendance caractéristique du drogué, a aujourd’hui une acception beaucoup plus étendue.
Pour une définition du « numérique » - PUM - Collection en libre accès. Questions de mots Le mot « numérique » est de plus en plus présent dans notre vocabulaire.
Il est en train de devenir un mot passe-partout qui sert à définir un ensemble de pratiques qui caractérisent notre quotidien et dont nous avons peut-être encore du mal à saisir la spécificité. Mais qu’est-ce que le numérique précisément ? Que dit ce mot à propos de nos usages ? De nos vies ? Chacune de ces expressions privilégie et met en valeur un aspect particulier de ces expériences et pratiques et l’on peut dire que plusieurs de ces formulations, après avoir eu leur moment de gloire, sont devenues plutôt désuètes. L’adjectif « virtuel » [réf1] aussi a fait son temps. Pourquoi alors parler de numérique ? Numérique et analogique Le mot « numérique » est initialement utilisé pour caractériser le mode d’enregistrement de sons, d’images ou de vidéos en opposition à l’analogique [vidéo1].
Internet et le web Voilà expliqué le sens strict et l’emploi premier du mot « numérique ». Cyberdependance. Le portrait type de la personne cyberdépendante a évolué depuis quelques années.
Autrefois on pouvait reconnaître majoritairement des hommes âgés de 25 à 35 ans, scolarisés, financièrement capables de se doter d'un ordinateur assez dispendieux et qui passaient un nombre incalculable d'heures devant l'écran de leur appareil. Maintenant, il semble y avoir une certaine parité entre les hommes et les femmes. La démarche des deux sexes, vis-à-vis d'Internet et de son utilisation, est cependant très différente.
Les hommes cyberdépendants recherchent beaucoup de site reliés à la pornographie, à l'érotisme, aux rencontres affectives avec un aboutissement dans la sexualité. Les femmes s'informent davantage et recherchent des relations vraies. La dépendance affective et la compulsion dans le sexe semblent être les deux principaux moteurs qui nourrissent la cyberdépendance. Il n’est pas rare de constater que le dépendant d’Internet nourrit d’autres dépendances. Nomophobie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La nomophobie est une phobie liée à la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot a été inventé au cours d'une étude menée en février 2008 par la UK Post Office qui accrédita YouGov, une organisation de recherche basée au Royaume-Uni, pour observer les angoisses subies par les utilisateurs de téléphones mobiles[1]. Le terme est un mot-valise construit par contraction de l'expression anglaise « no mobile-phone phobia »[2] et désigne alors la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile[3],[4],[5]. Michael Quinion (en) décrit ce néologisme comme une « affreuse chimère étymologique partiellement construite sur le grec ancien », et observe que le sens le plus logique à associer au terme « nomophobie » devrait être celui de « peur excessive des lois », considérant que le grec ancien nomos signifie « loi »[6].
Épidémiologie[modifier | modifier le code] Êtes-vous nomophobe ? CatherineRichard.pdf. Panorama des médias sociaux 2014. If you are looking for the english version of this article, you can find it here: Social Media Landscape 2014.
Comme chaque année, je vous propose une version révisée de mon panorama des médias sociaux. Publié pour la première fois en 2008, vous conviendrez que ce schéma à quand même beaucoup évolué : il a été à la fois simplifié (16 catégories en 2009, 7 en 2011, 6 en 2012 et finalement 4 en 2013 ) et densifié (plus de services par catégorie), preuve de l’évolution du marché vers une configuration plus mûre. La très large majorité des services présents sur ce schéma étaient déjà là l’année dernière. Les changements ne sont pas donc à chercher du côté de nouveaux acteurs, mais plutôt de la taille de ces acteurs et la façon dont les internautes s’en servent. Bienvenu dans le web social (et mobile) (et mondial) Quand j’ai créé la première version de ce panorama, les médias sociaux étaient considérés comme une catégorie à part, un sous ensemble du web.
Près de trois milliards d’êtres humains connectés à Internet.