Qu’est-ce que l’addiction aux achats sur Internet ? On peut devenir totalement dépendant aux sites e-commerçants tels que eBay(1) ou Leboncoin(2), pour rechercher des promotion en rapport avec les prix en magasin.
Ces addicts de l’achat, en majorité des femmes sont souvent très jeunes (moins de 25 ans). La première explication d’achat sur Internet pour les jeunes est le prix, qui est beaucoup plus faible sur la toile. Les jeunes, pour uine majorité n’ont pas forcément les moyens d’acheté des produits ; ils vont donc sur Internet pour essayer de toruver les même produits avec un coûts beaucoup plus faible., ce qui en général se révèle être payant puisqu’ils trouvent les produits concernés. (1) : eBay est une entreprise de vente (www.ebay.com) fondée le 3 Septembre 1995 par Pierre Omidyar et ayant pour activité la vente de bien sur internet. Son siège social se situe à San José, Californie. . (2) : Leboncoin est un site internet (www.leboncoin.fr) fondé le 28 avril 2006 par Spir Communation. Like this: J'aime chargement… Jeux d'argent en ligne: «Une addiction proche de la drogue»
LE FIGARO.- À quoi reconnaît-on un joueur pathologique?
Dr Marc VALLEUR .- Il existe deux profils de joueurs. Le poker serait le plus addictif des jeux en ligne. 01net le 12/02/14 à 15h49 © Karen Bleier AFP Différents pays commencent à se préoccuper de l'addiction aux jeux en ligne.
En avril 2013, l’Autorité de régulation des jeux en ligne (Arjel) avait publié 33 propositions pour lutter contre l’addiction aux jeux en ligne en soulignant que « le jeu problématique ne touchait qu’une minorité de joueurs ». Une minorité au sein de laquelle on trouve visiblement des joueurs de poker. Dossier - L'addiction aux jeux vidéo - Passion, pratique excessive et addiction - page 2 sur JeuxVideo. Lorsque l'on évoque la possibilité d'une addiction aux jeux vidéo, de nombreux passionnés se sentent immédiatement visés et réagissent parfois vivement.
Il faut dire que les préjugés, relayés par une partie des médias, selon lesquels les fans de jeux vidéo seraient tous des "no-life" sont encore très ancrés dans les mentalités. Or, quand on se réfère à la description de l'addiction donnée dans le précédent chapitre, il apparaît clairement que si une passion, quelle qu'elle soit, présente quelques similitudes avec l'addiction, elle s'en distingue clairement au niveau du contrôle qu'en a l'individu et pas forcément au niveau du temps qui lui est consacré. Cyberramassage. Le Cybersexe... Une drogue dangeureuse. .Le cybersexe : une drogue dangereuse L’explosion de l’Internet au début des années 1990 est un phénomène sans précédent dans le monde des communications.
Toutefois, malgré les nouvelles possibilités que nous offre ce médium, son utilisation quotidienne fait naître de nouvelles problématiques psychologiques. Par exemple, la toile a ses « accros ». Si l’on en croit les chiffres du Dr David Greenfield, psychologue américain auteur du livre : Virtual Addiction, 6 % des utilisateurs souffrent d’une forme quelconque de dépendance à Internet. Comme il y a environ 250 millions d’utilisateurs d’Internet à travers le monde, le calcul est simple : plus de 13 millions de personnes souffrent d’une forme de dépendance à l’Internet qui se manifeste à travers le clavardage, le courrier électronique, le cybersexe, les achats en ligne, la navigation complusive, etc.). Virtual-Addiction - Site du Dr David Greenfield, psychologue, États-Unis (site en anglais). Aux États-Unis, le Dr. Cybersee_Thèse_pour_le_doctorat_en_médecine_Audrey_Ramat_2011. Thèse de médecine d'Audrey Ramat sur le cybersexe. “Les réseaux sociaux étaient ma drogue dure” Cyrille de Lasteyrie.
Entendons-nous bien, je ne parle pas de l’Internet pratique, celui qui permet de s’informer, de se cultiver rapidement, de réserver un billet de train, d’agir à distance sur ses comptes ou d’acheter ses cadeaux de Noël.
Cet Internet-là est aussi salutaire et révolutionnaire que l’invention de l’imprimerie ou de l’eau courante. Non, je parle de l’Internet social, ce monstre difforme et suceur de temps. Ce terrain vague de l’ennui. J’ai 42 ans. Je suis marié. Mais non, malgré ce tableau, je pense passer plus de six heures par jour sur le Net. Depuis l’avènement des outils de publication facile (blogs, Facebook, etc), les adeptes des médias sociaux partagent tout. Moi, moi, moi Pendant ce temps-là, ma fille réalise un coloriage ; je crois qu’elle m’a parlé. En réalité, cela ne l’est pas tant que ça. Ma pensée fragmentée. Un nouveau syndrome: le Fomo, ou Fear Of Missing Out. Eprouvez-vous la crainte d’être passé à côté de quelque chose d’important?
Les réseaux sociaux seraient à l’origine de ce syndrome Fomo. Et si vous étiez concerné? Elle est longue, la liste des options à prendre au fil d’une journée. FOMO.