Discrimination et déportation des homosexuels sous l'Allemagne nazie. Pendant l'entre-deux-guerres, les homosexuels, en Allemagne, particulièrement à Berlin, bénéficiaient d'une plus grande liberté et acceptation qu'ailleurs dans le monde.
Toutefois, après l'accession au pouvoir d'Hitler, les homosexuels masculins, et dans une moindre mesure, les lesbiennes, constituèrent deux des groupes persécutés par les nazis et comptèrent finalement parmi les victimes de la politique de déportation du régime nazi[1],[2],[3],[4]. À partir de 1933, les organisations homosexuelles furent interdites. Les livres portant sur l'homosexualité, et sur la sexualité en général, furent brûlés. Les homosexuels au sein du Parti nazi furent eux-mêmes exécutés. La Gestapo constitua des listes d'homosexuels, et les contraignit de respecter la « normalité sexuelle allemande ». Durant la période du Troisième Reich, entre 1933 et 1945, on estime que 100 000 hommes ont été fichés comme homosexuels. Il est difficile d'établir combien parmi ces derniers y périrent. Histoire de l'homosexualité de l'antiquité à nos jours. Une dépénalisation progressive.
Violence contre la communauté LGBT. Les violences contre la communauté LGBT sont des actes motivés par la haine de l'orientation sexuelle, de l'orientation affective ou de l'identité de genre des personnes qui en sont victimes[1].
Cette violence peut être infligée par l'État, par le biais de lois prescrivant des châtiments corporels pour des actes homosexuels (voir lois LGBT), ou par des personnes se livrant à de l'intimidation, du harcèlement moral, des voies de faits ou du lynchage. Ce genre de violence, ciblée sur des personnes en raison de leur sexualité, peut être psychologique ou physique et peut aller jusqu'à l’assassinat. Ces actions peuvent être motivées par de l'homophobie, de la lesbophobie, de la biphobie ou de la transphobie. Elles peuvent être influencées par des préjugés culturels, religieux ou moraux. Historiquement, les persécutions par l'État ont été principalement limitées aux rapports homosexuels masculins, souvent désignés par le terme « sodomie ».
Histoire[modifier | modifier le code] Afrique Asie. Arguments contre "le mariage pour tous" - Observatoire du Mariage pour tous. Explication : C’est se tromper sur la nature et la définition du mariage que de le considérer comme la reconnaissance sociale de l’amour, à laquelle pourraient aspirer tous ceux qui s’aiment sincèrement.
On ne voit pas bien d’ailleurs l’utilité et la légitimité de la reconnaissance par les pouvoirs publics d’une relation amoureuse, la réalité la plus intime qui soit. Le mariage est en fait l’inscription de la filiation dans une institution stable, notamment pour protéger la mère (matri-monium) : il est en effet présumé que l’enfant d’une femme mariée a son mari pour père, avec les droits et les devoirs qui en découlent. Contre analyse : Le mariage n'existe pas exclusivement pour encadrer les modalités liées à une famille avec enfants. Et vous, qu'en pensez-vous ? Plus d'éléments pour en savoir plus sur cet argument... L’adoption consiste fondamentalement à donner des parents à des enfants qui en sont dépourvus et non l’inverse. Il y a deux poids deux mesures.
Discrimination envers les homosexuel-le-s. La haine homophobe est multiforme.
Ici : insultes, exclusions à l’embauche, agressions, refus de logement… Là : harcèlement policier, répression étatique, condamnation à mort… Homophobie Attitude, sentiment, malaise ou aversion envers les personnes homosexuelles ou envers l’homosexualité en général. Cette attitude se traduit souvent par des réactions de rejet, d’exclusion et d’hostilité (parfois agressives). Les victimes en sont les homosexuel-le-s, mais plus largement, les personnes dont l’apparence ou le comportement déroge aux représentations traditionnelles de la féminité et de la masculinité. L’origine de la discrimination L’homophobie (comme le sexisme) est une discrimination qui découle d’une logique d’oppression machiste et patriarcale cautionnée par les religions. 17 mai Le 17 mai est la Journée mondiale de Lutte contre l’Homophobie. Autocensure Les gays et les lesbiennes sont partout, mais ils sont souvent invisibles.
Suicide. Eglise et homosexualité - Homosexuel - Vie chrétienne - Définitions - Croire.com. La Bible n'est pas tendre avec l'homosexualité, et dans le Nouveau Testament saint Paul ne l'est pas davantage.
Que faut-il en penser ? En fait, la Bible parle peu de l'homosexualité. Le passage, bien connu, sur Sodome et Gomorrhe semble porter condamnation de la violence sexuelle, du viol et de la trahison de l'hospitalité plus que de l'homosexualité elle-même. Le Lévitique est plus explicite. Saint Paul également. Précisément, comment en parle-t-elle ? Le message biblique repose sur la différenciation sexuelle et la place de la parole. Que dit l'Eglise catholique aujourd'hui ? L'Eglise ne condamne pas l'homosexualité en tant que telle. N'est-ce pas irréaliste et même un peu "sadique" de demander à des personnes dont ce n'est pas le choix une continence absolue en matière sexuelle ?