Mark Lombardi - Artiste conspirateur. David Harvey et la géographie radicale, Corinne Luxembourg* David Harvey est le principal représentant de la géographie radicale nord-américaine.
Dans l’ensemble de ses travaux, il entend mettre au cœur de la géographie la question sociale fortement inspirée des travaux marxistes. Le contexte de cette œuvre est double. La géographie radicale ou géographie critique trouve son origine dans la contestation d’une géographie dominante fondée sur la modélisation quantitative des phénomènes sociaux mettant en évidence des invariants dans l’organisation de l’espace. La géographie radicale des années 1960-1970 aux États-Unis s’y oppose en mobilisant les structures économiques, sociales, culturelles, politiques, mettant en œuvre des jeux d’acteurs. C’est notamment la racine des travaux de géographie engagée, anticolonialiste, autour de thématiques centrées sur les rapports sociaux et spatiaux de domination.
Géographie et capital traduit et publié en français en 2010 réunit une dizaine d’articles parus entre 1984 et 2009. #david_harvey. Publié pour la première fois dans la défunte RiLi en novembre 2008, ce texte est proposé ici à nouveau à la lecture en accompagnement de « Gentrification et droit à la ville.
La lutte des classes dans l’espace urbain », un entretien avec Anne Clerval qui figure au sommaire de la RdL n° 5, actuellement en kiosque (mai-juin 2012).Retraçant deux cent ans d’histoire de l’urbanisme, David Harvey* met au jour le lien fondamental existant entre ville et capitalisme : de Haussmann à la crise des subprimes, de Robert Moses aux expropriations de Mumbai, la ville a toujours été le lieu naturel de réinvestissement du surproduit, et, par conséquent, le premier terrain des luttes politiques entre le capital et les classes laborieuses, avec pour enjeu le « droit à la ville » et à ses ressources.Un droit précieux et négligéLes idéaux des droits humains sont aujourd’hui passés au centre de la scène éthique et politique.
David Harvey. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
David Harvey Œuvres principales Une brève histoire du néolibéralisme (2005)Géographie de la domination (2008)Le Nouvel impérialisme (2010)Paris, capitale de la modernité (2010)Pour lire Le Capital (2012) Date de publication dans sa version française. David Harvey et le matérialisme historico-géographique. Notes D.
Harvey, Géographie de la domination, Paris, Les Prairies ordinaires, 2008, 123 p. Voir le compte-rendu qu’en a fait J. -P. Garnier dans le numéro 138 d’Espaces et Sociétés (n° 3/2009). David Harvey (@profdavidharvey) Géographie radicale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'émergence de la géographie radicale[modifier | modifier le code] La géographie radicale est un mouvement qui prend place aux Etats-Unis dans les années 1960, dans un contexte de lutte pour les droits civiques et de contestation de la Guerre du Vietnam[1]. William Bunge, le géographe révolutionnaire de Detroit. Qui connaît William Bunge ?
Bien rares sont ceux qui, en France, ont eu vent de ce géographe américain dont les travaux, aux Etats-Unis, marquèrent la discipline géographique de leur empreinte. Son œuvre, d’une grande richesse et d’une grande originalité, mérite pourtant l’attention (1). Le marxisme en arrière-plan. Recensions d'ouvrages. David Harvey, Géographie de la domination, Paris, Les prairies ordinaires, 2008, 118 p.
Les écrits publiés en France de D. Carnets de géographes et de recherches. Six géographes en quête d’engagement : du communisme à l’aménagement du territoire. Essai sur une génération. 1 Une première version de ce texte, sous le titre « Autour de Bernard Kayser : Une génération 2 "Table ronde imaginaire sur la géographie universitaire française, 1930-1940", textes recueillis, (...) 1Mon propos est de réunir1 divers souvenirs, divers documents, pour mettre en situation la vie de quelques géographes en partant de ce qu’ils ont eu en commun. Une génération? Oui, mes six collègues sont nés entre 1923 et 1929. Mais, pour être intéressante, une génération n’est pas une tranche démographique "scientifiquement" établie.
C’est un réseau de relations. Références marxistes, empreintes marxiennes, géographie française. 1Dans l’article "Marxisme", des Mots de la Géographie (Brunet, 1993), est effectuée une distinction entre le rapport de la pensée de Marx et l’espace des sociétés d’une part, et les géographes s’affirmant marxistes d’autre part.
Cette affirmation se trouve limitée à la proclamation d’une allégeance dans le domaine idéologique, sans effet sur la pratique, ou au contraire "s’extériorise" par les préférences de recherche, notamment sur les questions sociales. L’article poursuit en signalant les emprunts à certains éléments du corpus marxiste effectués par des géographes qui ne se proclament pas marxistes.
Le propos semble paradoxal. N° 156 – 157 (1-2/2014) : Où est passé le peuple ? Compte rendu thématique Anne Clerval, « Rapports sociaux de race et racialisation de la ville » Didier Fassin et Éric Fassin (sous la dir. de), De la question sociale à la question raciale ?
Représenter la société français Félix Boggio Éwanjé-Épée et Stella Magliani-Belkacem (coord.), Race et capitalisme Recensions d’ouvrages. Pour la promotion de la Géographie appliquée. P. Ginet - F. LA GÉOGRAPHIE appliquée est une orientation transversale à tous les secteurs de la discipline.
Les intérêts technocratiques et mono-disciplinaires l’emportent encore. Cette géographie interventionniste est d’autant plus d’actualité que l’habitabilité de la planète est en cause et ne peut être qu’un objet de préoccupation pour notre discipline. La lettre d'Orion: blog de Philippe Pelletier. La question n’est pas nouvelle, la réponse non plus : Pierre-Joseph Proudhon proposait 12 provinces (1846), Auguste Comte 17 intendances (1854), Frédéric Le Play 13 provinces (1864), Ferdinand Lepelletier 27 provinces (1896), Pierre Foncin 32 régions (1898), si on s’en tient au seul XIXe siècle… Se focaliser sur le nombre est malheureusement un moyen d’esquiver la problématique de fond : des régions pourquoi faire ? La régionalisation en France est historiquement liée à la question du territoire politique mais aussi économique. C’est cette seconde fonction qui l’emporte de nos jours, mais sous des modalités nouvelles.
En outre, la question des régions passe par celle des départements (et des communes). En septembre 1789, l’abbé Sieyès propose à l’Assemblée nationale de nommer un comité pour préparer « un plan de municipalités et de provinces tel qu’on puisse espérer de ne pas voir le royaume se déchirer en une multitude de petits États sous forme républicaine ». Justice spatiale. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(juillet 2010).
Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. La notion de justice spatiale articule la justice sociale avec l’espace. Dimension fondamentale des sociétés humaines, l'organisation de l'espace est la traduction géographique des faits de société et rétroagit elle-même sur les relations sociales (Henri Lefebvre, 1968, 1972).
Arnaud Brennetot : Un combat pour la justice spatiale. Arnaud Brennetot Dans son dernier livre, Seeking Spatial Justice , Edward W. Soja dessine les contours d’une géographie volontaire et progressiste. Conscient que tout savoir sur l’espace est aussi un pouvoir, il invite les scientifiques impliqués dans l’aménagement et l’urbanisme à s’engager aux côtés des acteurs du mouvement social dans le combat pour la « justice spatiale » . Dossier thématique. « Votre vision du monde, votre idéologie, c'était faux, ça ne marchait pas ? » « C'est précisément pourquoi je suis abasourdi, parce que depuis quarante ans ou plus il me semblait évident que cela marchait exceptionnellement bien ». [Henry Waxman, membre du Congrès américain, interrogeant l'ancien président de la réserve fédérale américaine, Alan Greenspan, octobre 2008.] Le Wall Street Journal déclare la mort de Wall Street ; un prix Nobel d'économie fait le parallèle entre le fonctionnement du capitalisme financier et celui d'une chaîne de Ponzi [1] dans les pages du New York Times ; Alan Greenspan, ancien directeur de la Banque fédérale américaine, tel un fidèle qui a perdu la foi, ne croit plus aux principes fondamentaux du néolibéralisme - à savoir que les marchés s'autorégulent et que l'intérêt privé œuvre au bien commun public [2] .
Anti-démocratie. De l’usage contestataire des cartes. Ce billet fait suite au séminaire GRANIT du 12 décembre 2014 (lien) pour lequel j’ai présenté avec Olivier Clochard une communication intitulée “des données de l’enfermement à la cartographie radicale”. Carnet de recherche du Réseau des Géographes Libertaires (RGL) Conquête coloniale et concentration de terres. Lab’Utopie – Un atelier avec le Laboratoire d’Imagination Insurrectionnelle. Serial mapper (@nico_lambert) Sarah Mekdjian : plaidoyer pour une géographie hospitalière et « indisciplinée » À propos de Visionscarto.
Bienvenue sur « Visionscarto », nouvel espace d’expression de nos recherches et de nos enthousiasmes. Cartographie radicale, par Philippe Rekacewicz. Aéroports, de l'espace public à l'espace privé, par Philippe Rekacewicz. Philippe Rekacewicz : la cartographie entre art, politique et manipulation. La cartographie radicale selon Philippe Rekacewicz. J’ai pu assister hier soir à la conférence de Philippe Rekacewicz qui a essayé de donner une approche de définition de ce qu’est la cartographie radicale.
Cette conférence était organisée par l’association Echelle Inconnue que je ne connaissais pas. Je donne ci-dessous l’enregistrement de l’intervention de monsieur Rekacewicz mais je me propose ici d’en résumer la teneur. [BILLET] Cartographie radicale. RadicalMap (@RadicalMap) Visions carto (@visionscarto) @visionscarto/Cartographie-radicale on Twitter. Cristina Del Biaggio (@CDB_77) Saskia Sassen (SaskiaSassen) David Harvey (@profdavidharvey) MHH (@MHoussayH) Elisabeth Vallet (@Geopolitics2020)