Antoinette Fouque co fondatrice du MLF ....en 1968. C'est quand on connait bien un sujet qu'on peut se rendre compte du sérieux avec lequel certains journaux travaillent.
Ou pas. Toute la presse a repris dans un bel ensemble le communiqué annonçant le décès d'Antoinette Fouque, "cofondatrice du Mouvement de Libération des Femmes (MLF) en 1968" Biographies des femmes célèbres. Élisabeth Jacquet de la Guerre, première femme-compositeur. Du temps de Louis XIV seule une quarantaine de compositeurs a évité l’humiliation posthume d’un oubli total.
Parmi eux, quelques rares noms connus*, mal le plus souvent, mais de femme, point. Il a pourtant bel et bien existé une pionnière, fort talentueuse de surcroît et reconnue à la Cour du très exigeant Roi-Soleil : Élisabeth Claude Jacquet de la Guerre. Baptisée le 17 mars 1665 en l’église Saint-Louis-en-l’Isle, Élisabeth Claude Jacquet vient au monde dans une famille de musiciens et d’artistes, alliée notamment au célèbre peintre Philippe de Champaigne.
Sa mère, Anne de La Touche, est apparentée aux Daquin**, et son père, Claude Jacquet, est un facteur de clavecin réputé de l’Île Saint-Louis. Tout naturellement il enseigne à sa fille l’art de jouer de cet instrument. Une tutelle dont Élisabeth, jeune fille accomplie et brillante, s’émancipe pour épouser l’organiste Marin de la Guerre le 23 septembre 1684. Lien musicaux : Les femmes célèbres. A titre d'exemple détaillé, celui de la France : la quasi totalité des timbres représentant des femmes célèbres y est exposée.
En fonction des secteurs dans lesquels ladite personnalité s'est illustrée : histoire, société, arts et culture, ... Les figures historiques sont les plus nombreuses avec notamment les extraits -féminins- de séries consacrées aux héros de la Résistance. Les pionnières de l'aviation, avec 4 timbres sont très bien représentées : ceci tenant moins aux personnalités elles-mêmes qu'au thème de l'aviation qui est un classique de la philatélie (poste aérienne le plus souvent) et qui génère dans tous les pays beaucoup d'émissions.
Hubertine Auclert. Hubertine Auclert en 1910 Les femmes arabes en Algérie, 1900.
Biographie[modifier | modifier le code] Premières années[modifier | modifier le code] Sa mère lui fournit également un exemple de « révolte à l'autorité établie » en se consacrant aux filles-mères (alors rejetées par leurs familles) pour les aider à trouver du travail[3]. Placée dans une pension de religieuses à l'âge de neuf ans à Montmarault[4], elle y suit tout son cursus scolaire ; son père meurt quand elle a 13 ans. Très croyante, elle envisage de devenir religieuse chez les Filles de la charité de Saint-Vincent-de-Paul mais n'y est pas acceptée[5]. L'injuste destin de Fanny Mendelssohn. Femmes célèbres. Découvrez notre liste de 1804 femmes (toutes nationalités confondues) mortes et connues comme par exemple : Marie de Nazareth, Bernadette Soubirous, Marthe Mercadier, Karen Lancaume, Olivia Podmore, Françoise Bernard, Séraphine De Senlis, Thérèse De Lisieux, Cass Elliot, Markie Post...
10 femmes oubliées par les manuels scolaires qui ont pourtant révolutionné la science. Ces 10 femmes d’exception ont eu une incidence significative sur diverses avancées scientifiques dans des domaines tels que la paléontologie, la médecine, la physique… et pourtant elles sont encore méconnues. le DGS vous offre donc une chance de découvrir ces femmes qui ont grandement participé à l’évolution scientifique au cours de l’Histoire.
Lire aussi Ces batteries révolutionnaires pourraient fonctionner des milliers d’années sans être rechargées Elle n’avait que 12 ans lorsqu’elle et son petit frère ont découvert un squelette d’ichtyosaure près de leur ville natale en Angleterre, dès lors elle se passionne pour cette science qui étudie les fossiles. Le plus souvent elle attendait la fin d’une tempête pour partir fouiller espérant que le vent et l’eau aient ouvert l’accès à de nouveaux fossiles enfouis sous les couches calcaires. Ainsi, elle a pu découvrir les premiers squelettes complets de ptérodactyles. Lire aussi Des chercheurs parviennent à « déballer » des momies d’animaux en 3D. Susette La Flesche, l’écrivaine amérindienne qui a lutté toute sa vie pour les droits de son peuple. En 1879, l’une des figures militantes les plus populaires de la côte Est des États-Unis était une jeune amérindienne du nom de Susette La Flesche.
Une femme hors du commun qui passa sa vie à combattre les injustices dont son peuple était victime et lutta corps et âme pour la reconnaissance de ses droits. Susette La Flesche nait en 1954, à Bellevue, Nebraska. Quelques mois plus tôt, son père, Joseph La Flesche, considéré comme le dernier chef des indiens Omahas, a renoncé aux terres ancestrales de son peuple en signant un traité avec le gouvernement fédéral, et l’ensemble de sa tribu a été installée dans une réserve indienne située dans le nord-est de l’État, à proximité du territoire de la tribu des Poncas.
Lire aussi 15 chefs indiens emblématiques qui ont tout sacrifié pour défendre leurs tribus La jeune fille poursuit ensuite ses études à l’Elizabeth Institue for Young Ladies du New Jersey, où elle étudie l’art et se prend de passion pour l’écriture.