CharlesJoseph Bonaparte fondeLeBOI 1908. 1924-1972 John Edgar Hoover Pdt BOI/FBI. 1990 CODIS Fichier ADN. JohnO’Neill un destin funeste 11/09/2001. Hauer et le maire de New York Giuliani Après l’attentat contre le destroyer USS Cole du 12 octobre 2000, John O’Neill s’était rendu au Yémen.
Il dénonça l’obstruction à son enquête causée par les diplomates américains soucieux de ménager leurs relations avec le régime yéménite. Barbara Bodine, Ambassadrice US au Yemen Ce fut Barbara Bodine, Ambassadrice américaine au Yemen qui ordonna la fin des visas délivrés auprès de l’équipe d’investigation du FBI de John O’Neill. Dépité, il quitta le FBI en août 2001 et fut nommé directeur de la sécurité du World Trade Center peu de jours avant la date fatidique du 11 Septembre. Mais avant de revenir sur les circonstances de sa fin tragique, intéressons-nous à un autre personnage, du nom de Jerôme Hauer qui semble étroitement lié au destin de John O’Neill. Le 11 septembre 2001, Hauer occupait le poste de directeur général de Kroll Associates, l’entreprise qui gérait la sécurité du World Trade Center.
2013 John Kiriakou ex-CIAàPropos du FBI. John Kiriakou, l’ancien agent de la CIA qui a dénoncé le programme de torture de Bush et qui est maintenant en prison, a envoyé une lettre ouverte à Edward Snowden la semaine dernière, l’avertissant de ne pas faire confiance au FBI. « NE PAS », a écrit Kiriakou, « et en aucun cas, coopérer avec le FBI.
Les agents du FBI vont vous mentir, vous tromper et vous manipuler. Ils vont tordre les mots et jouer sur votre patriotisme pour vous piéger. Ils feront semblant d’être des gens qu’ils ne sont pas - partisans, sympathisants et amis - tout en portant des fils pour enregistrer vos déclarations hors contexte pour les utiliser contre vous. Le FBI est l’ennemi, il fait partie du problème, pas de la solution ». Kiriakou est le premier vétéran de la CIA à être emprisonné. Le FBI a perquisitionné sa maison dans le processus. Ce fut aussi l’interview dans laquelle Kiriakou a sérieusement contrarié le Pouvoir, devenant ainsi le dénonciateur qu’il n’avait jamais cherché à être. Thomas Hedges. FBI docs déclassifiés Index. The FBI’s Reading Room contains many files of public interest and historical value.
In compliance with the National Archives and Records Administration (NARA) requirements, some of these records are no longer in the physical possession of the FBI, eliminating the FBI’s capability to re-review and/or re-process this material. Please note, that the information found in these files may no longer reflect the current beliefs, positions, opinions, or policies currently held by the FBI. “Everyone is Corrupt, I’ve Come to Learn” He had said in an ABC interview with Brian Ross that al-Qaida members “hate us more than they love life,” that they wanted to kill every American and every Jew because, he said, it’s just who they are.
That was also the interview in which Kiriakou pissed off the power establishment, becoming the whistle-blower he had never set out to be. He was on Ross’ show defending himself against allegations that he, personally, had tortured Zubaydah. But what he didn’t know was that torture as a state policy had never been confirmed in any official capacity, even though everyone in Washington knew about it. Five years before, in 2002, Kiriakou had never heard of “enhanced interrogation techniques.” VousDoutez du 11/09? Vous êtes 1terroriste. Le FBI envisagerait de considérer ces Américains adeptes de la « théories du complot » concernant les attentats du 11 Septembre 2001 comme des terroristes potentiels.
Le FBI a envoyé des instructions aux départements de police locale au sujet d’une circulaire, rapporte Digital Journal. Selon ce rapport, « la note ajoute ainsi les sceptiques de l’histoire-officielle- du 9/11 à la liste qui ne cesse de s’allonger des cibles décrites par la loi fédérale comme des menaces pour la sécurité, telles que ceux qui expriment« des philosophies libertaires », ceux qui se basent sur « le Second Amendement », ceux qui s’intéressent à « l’autosuffisance », ou qui manifestent « leurs craintes de Big Brother ou du big government », et ceux qui invoquent la « Déclaration des droits constitutionnels et des libertés civiles »’’.