NASA. Boeing. ULA - United Launch Alliance. SpaceX. Stratolaunch Systems. Projet X-37B. Aevum. Projet DRACO. Le Pentagone lance "Rocket Cargo", une fusée de transport logistique fondée sur un lanceur réutilisable. Un drone géant pour envoyer des satellites dans l'espace.
Plus besoin de faire partir les fusées du plancher des vaches, pour lancer des satellites dans l'espace.
Ce gigantesque drone autonome de 24 mètres de long à l'allure futuriste, pourra lancer sa charge entre 10 et 20 kilomètres d'altitude. C'est sans doute la solution la plus économique du moment. Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Comment mettre un satellite en orbite autour de la Terre ? Sans même que nous en ayons conscience, les satellites sont devenus indispensables à notre quotidien. L'époque est au recyclage avec la réutilisation des lanceurs chez SpaceX et leur retour sur Terre toujours spectaculaire. Avec une flotte d'aéronefs, Aevum explique qu'il serait possible de réaliser des lancements toutes les 180 minutes. Sur cette vidéo promotionnelle, on peut voir l’aspect du RavnX. Autre atout, le Ravn X sera capable de se poser sur une piste de seulement 1,6 kilomètre et son atterrissage sera également court.
Intéressé par ce que vous venez de lire ? Why NASA and China don't work together. Note: Spoilers ahead if you haven't seen or read "The Martian.
" In the "The Martian," a hit sci-fi novel and recent blockbuster movie, there's a moment where NASA launches a rocket full of supplies to Mark Watney, an astronaut stranded on Mars. Unfortunately for Watney, the rocket blows up and NASA doesn't have a backup — and without new supplies Watney will slowly starve to death on the red planet. China's space agency sees the tragic news, however, and offers its Taiyang Shen space probe rocket to NASA. They do this through a gentleman's agreement between scientists to bypasses lawmaker and red tape.
That way, the US space agency can get another shot at saving Watney's life. This collaboration between supposedly bitter national rivals sounds great in theory, but is it possible? As astrophysicist and StarTalk Radio host Neil deGrasse Tyson put it on Twitter: @neiltyson/Twitter Tyson is correct to think this strategy would never work, at least not today. NASA may need to buy even more Russian rocket tickets. NASA/Joel Kowsky NASA, in dealing with Russia's monopoly on human spaceflight, is hoping Boeing can help — that is, by buying tickets the company owns for rides aboard Russian rockets.
When NASA retired its last space shuttle in July 2011, it expected commercial carriers like SpaceX and Boeing to launch its astronauts into space by 2015. But both companies hit snags with the development of their rockets and spaceships, causing the first planned launches to slip to 2018, according to a September 2016 audit by NASA's Office of Inspector General (OIG). This left NASA with one option for getting astronauts to and from the International Space Station (ISS) for the next 3 years: a Russian spacecraft called the Soyuz. VIDEOS. Explosion d'une fusée Space X : Cap Canaveral en a vu d'autres - Le Parisien.
Son nom claque comme le «Stars and Stripes» dans le vent de Floride.
Cap Canaveral, la légendaire base de lancement de fusées américaine, d'où sont partis plus de 3000 engins depuis le premier tir d'un prototype de fusée en 1950, a connu des heures de gloire, et des heures plus sombres. Véritable épicentre de la conquête spatiale américaine, cette presqu'ile où plus de 40 aires de lancement se sont succédé, a en effet été le théâtre d'accidents parfois dramatiques, même si le dernier en date, l'explosion d'une fusée Falcon 9 de Spaxe X ce jeudi, n'a pas fait de blessé. Créée dans l'immédiat après-guerre pour effectuer des tirs de fusées longue-portée - à une époque ou les fusées avaient une vocation bien moins pacifique aujourd'hui - la base militaire de Cap Canaveral est mise à disposition de la Nasa au milieu des années 50, alors que l'astronautique n'en est à ses balbutiements.
Le 17 janvier 1997, la base de Cap Canaveral est le théâtre d'un véritable scénario catastrophe. Le Pentagone a besoin de nouveaux moteurs de fusée russes. WASHINGTON (Reuters) - Le Pentagone aura besoin de jusqu'à 18 moteurs de fusée RD-180, de fabrication russe, dans les six années à venir pour mettre sur orbite des satellites militaires, a déclaré vendredi à Reuters Robert Work, secrétaire adjoint à la Défense.
Le Congrès a interdit l'usage militaire de ces moteurs russes après 2019 dans le sillage de l'annexion de la Crimée par la Russie en 2014. Les parlementaires ont assoupli cette interdiction fin 2015, de crainte qu'elle n'aboutisse à la disparition d'United Launch Alliance, coentreprise de Boeing et Lockheed Martin, laissant SpaceX, la société du milliardaire Elon Musk, en situation de monopole pour envoyer des satellites dans l'espace.
NASA demonstrates laser-powered aircraft first. Le cascadeur Mike Hughes meurt après le crash de sa fusée artisanale. NOTS-EV : l'étrange histoire du missile-fusée américain qui a presque réussi.