F-epcj-a1-e2-n2-1_0.pdf. Url. Agriculture vivrière. Une agriculture vivrière est un ensemble de productions agricoles (plantes ou animaux) qui sont destinées à l'alimentation quotidienne de l'agriculteur et de sa famille. Les surplus éventuels sont commercialisés, généralement au village ou à la ville la plus proche. L'agriculture vivrière s'oppose à l' agriculture commerciale. L'agriculture vivrière se fait dans le cadre familial.
Elle emploie une partie des membres de la famille. Généralement la surface cultivée est petite et le matériel agricole réduit. Aujourd'hui dans de très nombreux pays tropicaux les cultures vivrières reculent au profit ces cultures commerciales dont les produits sont exportés vers les pays riches. Contre la faim dans le monde, la FAO défend l'agriculture vivrière. Alors que la faim progresse dans le monde, les organisations spécialisées insistent, à l'occasion de la Journée mondiale de l'alimentation, jeudi, et en pleine crise financière, sur la nécessité d'investir massivement dans l'agriculture vivrière. Mi-septembre, le directeur général de la FAO Jacques Diouf a annoncé de nouveaux chiffres alarmants sur la faim dans le monde touchant aujourd'hui 923 millions de personnes contre 850 millions avant la flambée des prix et les émeutes qui l'ont suivie au printemps dernier.
Manque de volonté politique Dans la foulée, Jacques Diouf a accusé les dirigeants du monde d'avoir ignoré les avertissements lancés par son agence onusienne sur la crise alimentaire, estimant que ce qui avait manqué pour enrayer la crise était à la fois la volonté politique et les moyens. Selon la FAO, l'investissement dans l'agriculture entre 1980 et 2006 est tombé de 17% à 3% alors que la population mondiale a cru pendant ce temps de 78,9 millions chaque année.
(Source AFP) CDI - LYCEE GENERAL FRANCOIS MAGENDIE - Atlas de l'agriculture : Comment pourra-t-on nourrir le monde en 2050 ? Persée. Agriculture vivrière, troc et solidarité dans la Quebrada argentine. La revolution verte et l'agriculture vivrière: L'Agriculture vivrière. Histoire : C’est au début du Néolithique, alors que les hommes étaient nomades et vivaient de la cueillette, des produits de la chasse et de la pêche, que les premiers hommes se sont sédentarisés et ont commencé à cultiver des plantes et à élever des animaux. Mais c’est au VIIIème millénaire avant J-C que sont vraiment apparues les premières sociétés d’agriculteurs après une lente transformation. Au cours des millénaires, les formes d’agriculture se sont différenciées selon les mœurs, le climat… et ont continué à évoluer. Au début du XXème siècle, on a pu observer une grande diversification des cultures et de grands écarts entre les niveaux de production des paysans, écarts qui ont explosé au cours du XXème siècle.
En effet certains agriculteurs ont bénéficié des améliorations apportées par la révolution agricole récente et par la révolution verte alors que d’autres n’y ont pas eu accès et ne se sont pas développés. Définition de l’agriculture vivrière : La riziculture : Agriculture vivrière. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'agriculture vivrière est une agriculture essentiellement tournée vers l'auto-consommation et l'économie de subsistance.
La production n'est destinée ni à l'industrie agroalimentaire ni à être exportée. Elle est en grande partie auto-consommée par les paysans eux-mêmes et la population locale. Bien qu'essentiellement limité au « tiers monde » ou « pays du Sud », cette forme d'agriculture demeure très importante, représentant environ 20 % de la production alimentaire mondiale[1]. Par l'importance qu'elle accorde aux semences paysannes — on estime à environ 1,2 milliard d'agriculteurs ceux utilisant des procédés traditionnels de sélection[réf. nécessaire]. Elle favorise fortement la biodiversité[1]. §Une agriculture traditionnelle et centrale au niveau mondial[modifier | modifier le code] §Les espèces cultivées[modifier | modifier le code] §Agriculture vivrière et économie de subsistance[modifier | modifier le code] Sécurité alimentaire: priorité au financement de l'agriculture vivrière en Afrique. Il y a deux ans, nous étions en pleine crise alimentaire.
Les prix du riz avaient triplé en trois mois. Des émeutes de la faim éclataient dans les villes du Tiers-Monde. Deux ans après où en sommes-nous ? La sécurité alimentaire des pays pauvres ne s'est pas améliorée. Plus d'un milliard de personnes souffrent de la faim dans le monde. Certes le sujet est devenu une priorité des réunions internationales, conférence de la FAO en juin 2008, G8 de L'Aquila en juillet 2009, Sommet de Pittsburgh en septembre 2009, Sommet Mondial de l'Alimentation en novembre 2009. La création d'un Programme Mondial pour l'Agriculture et la Sécurité Alimentaire par les États-Unis, le Canada, l'Espagne, la Corée du Sud et la Fondation Bill & Melinda Gates annoncé le 22 avril à Washington, est peut-être un signe positif. L'enjeu : relancer l'investissement au profit des organisations agricoles La priorité : les productions alimentaires pour les marchés régionaux Or, l'Afrique s'urbanise de plus en plus vite.