- La SIAT doit revoir sa copie en Côte d'Ivoire. Sans consentement, c’est un accaparement de terres Pour couper court aux protestations, la SIAT prétend que le projet de plantation d’hévéas a reçu le soutien unanime des habitant·e·s.
C’est ce que prétend l’étude d’impact environnemental et social de juin 2016 mais dans un droit de réponse publié en septembre 2018 par l'entreprise, suite à des informations sur le conflit dans la presse, la SIAT déplore l’opposition d’une partie de la communauté au projet et notamment des Andohs qui habitent la région. La SIAT ne peut affirmer avoir obtenu le consentement des communautés alors qu’elle reconnaît qu’une partie de la population et de ses représentant·e·s coutumier·ère·s s’y est toujours opposée. Sur les 8000 emplois directs annoncés, seuls 43 postes permanents ont été créés, ainsi que 980 emplois précaires et temporaires.
Sénégal : soutenez les 37 villages de Ndiaël privés de leurs terres. L’Agence française de développement est accusée d’accaparement foncier en RDC. Stop land grabs and deforestation in Uganda - Grrrowd. Stop aux accaparements de terres au Sénégal ! L'ouverture d'une mine de diamants sur le territoire des Bushmen lève le voile sur l'hypocrisie du gouvernement botswanais. En 2004, un ministre botswanais a déclaré qu'il n'y avait aucune exploitation minière ni aucun projet d'exploitation futur dans la Réserve du Kalahari central.
En 2014, une mine de diamants estimée à 4,9 milliards de dollars a été ouverte. Une mine de diamants estimée à 4,9 milliards de dollars doit ouvrir le 5 septembre dans la réserve du Kalahari central, le territoire ancestral des derniers chasseurs bushmen, tout juste dix ans après que le gouvernement ait affirmé qu’aucun projet d’exploitation minière n’était prévu à l’intérieur de la réserve. Stop selling off African land - invest in farmers instead. Millions of hectares of land have been leased in some of Africa's poorest countries to grow fruit and vegetables for rich countries - while Africans go hungry.
Photograph: Gianluigi Guercia/AFP/Getty Images The international year of family farming is now underway, and never before have family farmers in Africa been more under threat. Large land deals between African governments and usually foreign (and sometimes domestic) investors have seen swathes of the countryside leased or concessioned, often for as much as 50 to 99 years. From Senegal in West Africa to Ethiopia in the Horn, and down to Mozambique in the South, land considered idle and available has changed hands, with profound implications for local people and the environment. With estimates ranging from 56 to 227 million hectares globally (with 60-70% of this in Africa), what is clear is a rapid transformation of landholding and agricultural systems has taken place in the past five to 10 years.
Vol des terres pour l’huile de palme: NON c’est NON. Aux dirigeants d'Equatorial Palm Oil et de son principal actionnaire Kuala Lumpur Kepong Monsieur Brown, Monsieur Lee Oi Hian,
"Land Grabbing" : razzia sur les terres d’Afrique. Article issu du magazine Globo n°29 "Quelles solutions à la crise alimentaire ?
", mars 2010. Un « nouveau colonialisme agraire » : c’est en ces termes que de nombreux experts et leaders paysans décrivent la tendance actuelle à l’accaparement des terres dans le monde. Du Japon à la Suède, des pays du Golfe à la Chine, un nombre croissant de pays concluent des accords avec des gouvernements d’Afrique, d’Asie, d’Amérique latine et d’Europe de l’Est afin d’y louer ou acheter des terres et réexporter la production agricole vers leur marché intérieur.
Qui rachète l'Afrique ? Cent hectares par ici, quelques milliers par là.
Chaque semaine, des acteurs publics ou privés achètent des parcelles de terres en dehors de leurs frontières. Le plus souvent pour produire de la nourriture sur des sols plus fertiles. Le plus souvent aussi sans consultation, voire au détriment des habitants sur place. Bolloré, Crédit agricole, Louis Dreyfus : ces groupes français, champions de l'accaparement de terres - Pillage ? Au Brésil, le groupe français Louis Dreyfus, spécialisé dans le négoce des matières premières, a pris possession de près de 400 000 hectares de terres : l’équivalent de la moitié de l’Alsace, la région qui a vu naître l’empire Dreyfus, avec le commerce du blé au 19ème siècle.
Ces terres sont destinées aux cultures de canne à sucre et de soja. Outre le Brésil, le discret empire commercial s’est accaparé, via ses filiales Calyx Agro ou LDC Bioenergia [1], des terres en Uruguay, en Argentine ou au Paraguay. Si Robert Louis Dreyfus, décédé en 2009, n’avait gagné quasiment aucun titre avec l’Olympique de Marseille, club dont il était propriétaire, il a fait de son groupe le champion français toute catégorie dans l’accaparement des terres.
Course effrénée à l’accaparement de terres L’exemple de Louis Dreyfus n’est pas isolé. Deux autres journalistes de Basta ! mis en examen suite à une plainte du groupe Bolloré. Soutien aux victimes du Groupe Bolloré en Afrique. Non à l’intimidation des habitants faisant valoir leurs droits contre l’accaparement de leurs terres !
En Sierra Léone, le groupe Socfin implante des cultures d'huile de palme destinée à l'export. Les habitants s'opposant à la destruction de la nature et à l‘accaparement de leurs terres sont intimidés et emprisonnés. Soutenez la pétition adressée au groupe Bolloré, principal actionnaire de Socfin, et aux autorités locales. En Ethiopie, avec les paysans expropriés. Au Sénégal, un gigantesque projet de biocarburant dégénère en piège mortel. Cyberaction SÉNÉGAL : SOUTENEZ LES 37 VILLAGES DE NDIAËL PRIVÉS DE LEURS TERRES. Stop aux accaparements de terres au Sénégal !
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