Explosif. Les CHEMTRAILS abordés à l'ONU en 2007. Courbe petrole. La Relève et La Peste. Dans sa tribune « Faites passer la santé de nos enfants d’abord » publiée par Le Monde en novembre 2017, Baskut Tuncak, scientifique et rapporteur spécial des Nations unies sur les produits et déchets dangereux, tirait la sonnette d’alarme.
Un test permettant de détecter 1 800 polluants organiques et 40 métaux lourds à partir d’une analyse de cheveux apporte à présent une preuve à ses propos. ToxSeek vient d’être mis à la disposition du public, et parmi les personnes déjà examinées, le constat est sans appel. Les molécules toxiques sont extrêmement présentes dans l’organisme. L’inquiétude est particulièrement grande en ce qui concerne les enfants : entre 40 et 62 molécules chimiques ont été détectées chez chacun d’eux. « Ce n’est pas la dose qui fait le poison, mais la fréquence d’exposition à des polluants toxiques. » explique Matthieu Davoli, cofondateur de ToxSeek.
Mais il n’y a pas que les pesticides. . « Avant, c’était l’usine qui rejetait des métaux lourds », rappelle le Dr Sadeg. La quasi totalité des réserves d’eau françaises contaminées par les pesticides. ATLAS DE LA FRANCE TOXIQUE - Résistance verte. L’association Robin des bois répertorie les zones les plus toxiques de France Amiante, pollution atmosphérique et aquatique, déchets radioactifs, pesticides...
Une enquête dresse la carte des nombreuses zones à risques sur le territoire français dans un livre intitulé "Atlas de la France toxique" et publié ce mercredi 4 mai. "Notre but n'est absolument pas de faire un hit-parade des villes les plus polluées ou des zones les plus toxiques mais plutôt d'informer les lecteurs des risques qu'ils encourent afin qu'ils fassent pression sur les politiques et s'opposent aux industriels", explique Jacky Bonnemains, co-auteur et président de Robin des bois.
Marseille apparaît comme la ville la plus polluée, devant Lyon et Paris qui n’arrive qu’en troisième position. L'air de la cité phocéenne comporte la plus forte concentration de particules fines avec 31,8 µg/m3 selon l'Institut de veille sanitaire (InVS). Lyon détient quant à elle le titre de championne de sites pollués. Roundup info. Etude : 75% des échantillons de pluies et d’air sont positifs au Roundup de Monsanto. L'étude de la peur aux USA comme en France 75% des échantillons de pluies et d’air sont positifs au Roundup de Monsanto Oui, vous avez bien lu, du Roundup a été trouvé dans des échantillons d’air...
Il s’agit d’une étude menée par l’US Geological Survey (USGS), et effectuée au Mississipi. Avant de vous écrier qu’il s’agit des Etats-Unis et non de la France, ravisez-vous : la France n’est pas en reste concernant l’utilisation de Roundup, et surtout,... l’air et la pluie ne sont pas, par définition, quelque chose de figé. L’étude fut publiée dans le journal Environmental Toxicology and Chemistry, et fut menée entre 1995 et 2007. En résumé, voici ce que l’étude a révélé : 37 composés ont été détectés dans les échantillons d'air ou de pluie en 2007, 20 d'entre eux étaient présents à la fois dans l'air et de la pluie. Selon l’étude, 2 millions de kilos de glyphosate fut dispersés dans le Mississippi, ce qui représente 55% desherbicides utilisés. Monsanto empoisonne l’Argentine avec ses pesticides. Une enquête révèle la dangerosité des produits de Monsanto sur la population Argentine, fortement exposée depuis 20 ans aux pesticides.
Des révélations choquantes L’agence américaine Associated Press (AP) est allée enquêter sur l’utilisation des pesticides en Argentine, l’un des pays où les produits agrochimiques font le plus de ravages. Le reportage effectué révèle un manque de régulation dans l’utilisation des produits, en particulier pour l’épandage du Roundup de Monsanto, associé aux OGM. 93% des cours d’eau français contaminés par les pesticides. Les insecticides Gaucho, Cruiser et Poncho enfument la ruche. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart Triomphe pour certains, amère défaite pour d'autres.
L'annonce par Bruxelles d'une probable suspension, dès le 1er décembre et pour deux ans, de trois insecticides dits néonicotinoïdes, impliqués dans le déclin des abeilles domestiques (Apis mellifera) et des pollinisateurs sauvages (papillons, bourdons, abeilles solitaires, etc.), a été saluée, lundi 29 avril, comme une victoire par le monde apicole et les organisations de défense de l'environnement. Mais elle peut aussi, au contraire, être interprétée comme une cuisante défaite. Tardive et pusillanime, la décision de la Commission apparaît plutôt comme le symptôme d'une formidable faillite des systèmes d'évaluation des risques.
Et, plus généralement, d'un grave défaut de vigilance des pouvoirs publics sur les questions de risques environnementaux – ce même travers qui a conduit au scandale du chlordécone (Le Monde du 17 avril) dans les Antilles françaises. Arsenic, plomb, dioxines…: nos aliments contaminés! Fluor.