Je n'ai produit aucun déchet en 2 ans. Voici à quoi ressemble ma vie. Je m’appelle Lauren, j’ai 23 ans et je vis à New York. Je ne produis aucun déchet. Pour de vrai. Aucune poubelle, aucune décharge. Rien. Je sais ce que vous pensez. Cette fille doit être une hippie. Je n’ai pas toujours vécu ce que certains appellent le mode de vie « zéro déchet ». Mais j’ai commencé à changer ma façon de vivre il y a environ trois ans, quand je faisais des études environnementales à l’Université de New York, que je protestais contre les grandes sociétés pétrolières, et que j’étais présidente d’un club qui proposait des discussions hebdomadaires sur des sujets environnementaux.
Faux. Quand j’étais en cours, il y a avait une autre étudiante qui apportait toujours un sac en plastique contenant une barquette en plastique pleine de nourriture, une bouteille d’eau en plastique, des couverts en plastique, et un paquet de chips. C’est la première fois de ma vie que j’ai senti que je pouvais me regarder et me dire « HYPOCRITE ».
Cliquez sur l’image pour l’agrandir 1. 2. 3. Faire son propre lombricomposteur. Compost ADEME. Ce n'est pas parce qu'un objet, un appareil ou un produit ne nous est plus utile qu'il est à jeter. Nous pouvons encore prolonger sa vie en le compostant ou en le donnant. Pratiquement tous les déchets organiques peuvent être valorisés par le compostage : épluchures de légumes, restes de repas, déchets de jardin…Vous pourrez ainsi réduire le volume de votre poubelle et produire un amendement naturel de qualité à utiliser directement dans votre jardin. Comment faire un compost ? Que peut-on composter ? Vous trouverez toutes les réponses à vos questions dans le guide « Faire son compost ».
Composter en habitat collectif, c'est possible et cela fonctionne bien ! Consultez 2 fiches présentant des opérations réussies en Rhône-Alpes :- Compostage collectif en milieu rural à Monestier-de-Clermont (38) (pdf - 280.49 Ko)- Compostage urbain en pied d'immeuble à Chambéry (73) (pdf - 280.96 Ko) Pensez à la réparation ! Faites appel à un cordonnier, couturier, retoucheur. Pour aller plus loin : Compost au pied des immeubles, jardins partagés. Compostage urbain. Les Johnson: un couple, deux enfants et zéro déchet depuis trois ans.
La famille Johnson – @ Thomas J. Story Béa Johnson et sa famille sont connus Outre Atlantique pour un défi qu’ils relèvent depuis trois ans : vivre sans générer de déchets. Pourquoi ce choix ? Comment s’organise leur quotidien ? Alors que la semaine de réduction des déchets se termine aujourd’hui, j’ai voulu en savoir plus. Une consommation vide de sens Béa Johnson est française. C’est alors qu’elle persuade son mari de déménager, d’aller vivre à l’extérieur de cette immense agglomération qu’est San Francisco : ils choisissent Mill Valley, dans la banlieue nord, à côté de Sausalito.
Avec le temps, Béa Johnson s’enrichit de ce dont elle s’allège. Un quotidien sans déchet Forts de cette prise de conscience, les Johnson commencent à s’informer et à se documenter sur l’écologie, le désencombrement, la sobriété heureuse. Au quotidien, ils revoient leurs habitudes, scrutant chaque détail, évaluant chaque besoin, raisonnant chaque envie. Refuser avant tout De quoi vous inspirer ? Une coopérative d’échange "déchets recyclables contre nourriture" aide les plus démunis. Thaïlande / / Asie Ouvert par des anciens éboueurs, le petit magasin ‘zéro cash’ permet à des Thaïlandais qui vivent en récupérant les déchets recyclables, de les échanger contre des produits de première nécessité.
Un système original qui va probablement faire des émules dans le monde entier. Une coopérative « gagnant-gagnant ». Car l’idée de Peerathorn Seniwong et de sa femme Buarin est très intéressante. Avec leur coopérative, tout le monde y gagne. Les ramasseurs d’ordures échangent tous les produits recyclables qu’ils ont collectés et triés contre des aliments, du savon, du dentifrice, des détergents, … Cela avec un meilleur rapport que s’ils avaient à vendre leur collecte à une usine de recyclage. Les créateurs de la coopérative, Seniwong et Buarin, ont connu la misère. Une initiative sociale et environnementale L’idée est bonne et elle a été réalisée avec conviction par le couple. En tous cas, l’intérêt dus système a été reconnu par nombre d’étrangers.
Pékin : le ticket de métro payable en bouteilles plastiquesUrbaNews.fr. A Pékin, une machine inédite mise en place dans le métro depuis 2012 offre la possibilité aux usagers de recharger leur titre de transport en recyclant des bouteilles en plastique. C’est la ligne 10 du métro de la capitale chinoise qui accueille ces distributeurs de tickets permettant aux voyageurs de payer leurs titres de transport en bouteilles en plastique. Concrètement, l’usager n’a qu’à insérer une bouteille en plastique dans la machine, qui se charge ensuite de l’écraser en moins de 20 secondes et de reverser une partie du coût du transport sur la carte du voyageur.
Pékin : Le ticket de métro payable en bouteilles plastique Chaque machine peut collecter jusqu’à 400 bouteilles avant d’être vidée. Notez qu’il faut tout de même 20 bouteilles pour payer l’intégralité d’un titre de transport.