Le numérique n'est pas le gouffre énergétique qu'on croit. Les technologies d’information et de communication (TIC), un gouffre énergétique et environnemental ?
C’est ce que laissaient penser la plupart des analystes jusqu’ici. Le rapport de l’Académie des Technologies sur l’impact des TIC sur la consommation d’énergie à travers le monde vient balayer ces craintes. Oui, les usages numériques, du fait de leur banalisation croissante, vont continuer à accroitre de façon soutenue leur consommation d’électricité d’ici 2020. Le numérique n'est pas le gouffre énergétique qu'on croit. Guide pratique internet courriels reduire impacts. Livre blanc tic. Guide pour un système d'information éco-responsable. Première de couverture Comprendre et agir sur les impacts environnementaux des Technologies de l’Information et de la Communication.
Les technologies de l’information et de la communication (TIC), qui regroupent les domaines de l’informatique, des télécommunications, et de l’électronique ont pris une place considérable dans notre quotidien et sont désormais incontournables. L’idée que ces technologies pourraient avoir un apport positif pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre est actuellement très répandue : représentant 2% des émissions mondiales, elles pourraient contribuer à réduire les 98% d’émissions restantes. La pollution numérique c'est quoi - MEETYOURGREENSIDE. David Bihanic. This map (that renews the choropleth model) depicts France’s digital pollution — what I mean by digital pollution is the combination of several forms of pollution linked to the digital revolution: the particulate matter pollution from silicon production and processing, the adverse effects of electromagnetic fields (GSM, UMTS, WiFi, WiMAX, etc.) on health and the environment, the excessive carbon dioxide emissions of datacenters (caused by, among other things, their massive electrical energy consumption), as well as the high greenhouse-effect gases emissions from the incineration of toxic e-waste (almost 2 million tons of WEEE every year).
Few key figures below which help to grasp the current situation: (Click to enlarge image) This infographics was designed by David Bihanic (2015). In french (Cliquez pour agrandir l’image) Infographie conçue et réalisée par David Bihanic (2015). Copyright ©2016 David Bihanic - All rights reserved. Cliquer, c’est polluer. C’est une pollution invisible à laquelle nous participons chaque jour sans en avoir conscience.
En utilisant notre ordinateur ou notre smartphone pour aller sur Internet, écouter de la musique ou regarder des vidéos en streaming, ou en multipliant les objets connectés (de l'ampoule à la voiture). L’activité numérique pollue déjà aujourd’hui autant que toute l’activité aérienne dans le monde. Les centres de données, ces usines géantes qui abritent les serveurs, génèrent des dépenses électriques considérables. A tel point que l’on réfléchit aux moyens de récupérer une partie de la chaleur générée par ces millions de serveurs chauffés à blanc par notre frénésie numérique. Fonctionnement et impact écologique d'Internet
10 bonnes pratiques numériques pour la planète. Rue89.nouvelobs. Pollution numérique : l'impact sur l’environnement n'est pas virtuel. Chaque année, un salarié français émet l’équivalent de 514 kg de gaz à effet de serre, rien que par son activité numérique.
Les ageekculteurs ont leur terrain de test dans la Somme. Un drone-hélicoptère qui reconnaît les différents types de plants, un drone doté d’un système de pulvérisation intégré, un automoteur qui transfère des données à distance, un robot ressemblant à s’y méprendre à ceux utilisés dans l’espace… Toutes ces technologies ne sont pas regroupées dans la Silicon Valley mais au cœur d’une exploitation agricole située en plein cœur de la Somme, à Aizecourt-le-Haut, destinée à devenir un lieu d’expérimentation d’innovations au service des professionnels des grandes cultures.
"Nous avons une convention de sept ans pour le développement d’expérimentations afin de tester les nouvelles technologies, les objets connectés, la robotique… et de les diffuser dans la grande région et en France. Nous opérons en grandeur nature, sur une vraie ferme, ce qui ne se pratique pas beaucoup. Decision-Making Dashboards. La nomophobie: le mal de la génération Z, accro au smartphone ! Pour certains sociologues, le smartphone est devenu une sorte de « doudou numérique » qui comble le manque affectif quand le Z est séparé de ses parents !
La génération Z, encore nommée « digital natives », regroupe les individus nés après 1995 qui sont immergés avec l’environnement numérique. Le smartphone fait partie intégrale de la vie des Z. Il a même plutôt envahi leur vie, je dirais. Plus de 80% des jeunes âgés de 12 à 18 ans sont équipés d’un smartphone. Et plus on avance avec l’âge, plus les chances de posséder un téléphone portable augmentent (49% 12-13 ans ; 95% 17-18 ans) [1]. DATACENTER Internet, la pollution cachée FR 2014. Trop de pollution numérique ? J’ai testé le Web écolo.
La machine a été la première à tirer le signal d’alarme :
La face cachée du numérique. Trop de pollution numérique ? J’ai testé le Web écolo. « Internet, la pollution cachée » Mardi 17 juin à 21 h 35 sur France 5 : les travers insoupçonnés des nouvelles technologies numériques.