« Famille en transition » : trois impacts cachés de notre empreinte écologique. Famille en transition écologique, c’est le nom du nouveau livre publié en mars 2019 par l’auteur Jérémie Pichon et l’illustratrice Bénédicte Moret.
Parents de deux enfants, ils ont identifié les principales sources d’émissions carbone de leur famille et proposent des solutions pour les diminuer. La croissance verte est un mythe : c’est la ligne que défend Jérémie Pichon dans son nouveau livre Famille en transition écologique (Thierry Souccar éditions, 2019).
Depuis une dizaine d’années, ce père de famille installé dans les Landes est devenu militant écologiste, persuadé que la transition se fera d’abord par les individus. Alors que chaque Français émet chaque année 12 tonnes de CO₂, l’auteur appelle chacun d’entre nous à adopter des modes de vie durables. Famille Zero Dechet. Adopter le zéro déchet. Un premier pas vers le zéro déchet Depuis 2012, auteurs, blogueurs ou documentaristes se penchent sur ce mode de vie, souvent en l’expérimentant eux-mêmes.
On compte en 2018 plusieurs dizaines de groupes de discussions francophones sur ce sujet, des milliers de contributeurs, une vingtaine de blogs de référence, et une offre de consommation qui s’adapte peu à peu à cette nouvelle demande : l’essor des boutiques spécialisées dans la vente en vrac, ou des fabricants proposant des produits lavables/réutilisables est bien sûr étroitement lié à l’émergence du mode de vie zéro déchet. Le mode de vie zéro déchet est-il généralisable ? Zéro déchet : 13 astuces très simples. #1 Remplacez vos sacs en plastique par des sacs réutilisables, un caddie ou des paniers Malgré son interdiction, vous trouverez encore des sacs plastiques chez certains commerçants.
Ne plus les utiliser évitera que vos sacs plastiques s’envolent et se retrouvent ensuite dans les océans ou qu’ils se décomposent dans l’environnement. Tri des déchets : suivez le guide ! Est-il vraiment possible de recycler les mégots ? #PlanB #épisode2. Comment San Francisco s'approche du « zéro déchet » Le soleil n'est pas encore levé qu'un étrange ballet commence.
Chacun à leur tour, des dizaines de camions viennent déverser des tonnes et des tonnes de restes de nourriture, d'herbe coupée, de branchages. Un mois plus tard, ces déchets organiques ressortiront sous la forme d'un riche compost aussi fin que du sable. Ici, à Vacaville, à une heure de route au nord de San Francisco, se joue quotidiennement une partie essentielle de l'objectif que s'est fixé la ville californienne : parvenir, d'ici à 2020, à zéro déchet non recyclé ou composté, évitant ainsi d'utiliser des décharges ou des incinérateurs, très polluants. Pour parvenir à ce but jamais atteint par une aussi grande ville dans le monde, San Francisco fait preuve de volontarisme politique et multiplie les initiatives législatives. Lire le détail : L'arsenal législatif de San Francisco pour arriver au « zéro déchet »
Le zéro déchet, un projet politique à part entière. TRIBUNE.
Qu’ils endossent leur casquette d’élu, de salarié, de parent ou de citoyen, les praticiens du « Zero Waste » sont avant tout des individus qui ont opéré une remise en cause, souvent à la fois personnelle et collective. Ils ont commencé à observer leur environnement, à poser un regard nouveau sur le contenu de leur poubelle, à poser des questions et opérer des choix concernant les restes, les traces qu’ils veulent laisser derrière eux. L’hygiénisme d’Eugène Poubelle, qui devait permettre une meilleure gestion des déchets à Paris (le tri de trois flux était déjà au programme en 1884 !)
N’en jetez plus ! Trois pistes pour parvenir au zéro déchet. Les boîtes à kebab en polystyrène sont désormais interdites en France. De la viande cuite à la broche, de la salade, des rondelles de tomate, des oignons, le tout dans du pain : il s’en mange 11 par seconde, il s’en vend chaque année en France 350 millions.
Le kebab, qui est devenu l’emblème de la culture populaire et de la restauration rapide, doit entamer sa transition écologique. Les emballages en polystyrène pour kebab utilisés dans la restauration rapide ne peuvent plus être proposés à partir du 1er juillet, comme le prévoit la loi antigaspillage de 2020 visant la fin progressive des plastiques à usage unique. Ecole F.Buisson Limay. Comprendre les symboles. Ressourcerie AptiPrix. Les mesures sanitaires mises en place Face aux enjeux sanitaires et environnementaux actuels, nous pensons que le réemploi est une valeur sûre du « monde d’après ».
C’est pourquoi nous mettons tout en œuvre pour proposer une alternative de consommation plus responsable et pour garantir la sécurité de nos visiteur-se-s et de notre équipe.