A-new-analysis-shows-a-compelling-link-between-roundup-and-cancer. Pesticide et santé : l’équation sans solution. Au milieu des années 1990, des milliers de bovins meurent dans les étables.
Malformations des veaux, fausses couches des vaches et problèmes de stérilité déciment les troupeaux. Les agriculteurs eux-mêmes ne sont pas épargnés et rencontrent divers graves problèmes de santé. Un éleveur de porcs danois a comparé sur plusieurs années les taux de pesticide dans l'alimentation de ses animaux et ceux de malformation des porcelets. Des chercheurs français, eux, ont mené une étude méthodique sur le problème. ACTION: Demandons le retrait du marché, et notamment des jardineries, des pesticides à base de glyphosate.
ACTION: Demandons le retrait du marché, et notamment des jardineries, des pesticides à base de glyphosate Le Centre International de recherche sur le Cancer (CIRC) vient de classer comme cancérigène probable le glyphosate, substance active notamment du fameux herbicide RoundUp (désherbant le plus utilisé au monde et associé à la culture des OGM).
Herbicide cancérogène probable: La France doit prendre des mesures immédiates de retrait des pesticides à base de glyphosate Lire la pétition Cette classification valide les études menées notamment sur le sujet par l’équipe de GE Séralini. Générations Futures se félicite de cette classification qui reconnait la dangerosité avérée du glyphosate. 4 autres substances actives sont concernées dont les fameux malathion et le diazinon qui ont été également classés cancérogènes « probables chez l’homme » (voir / ). Si le Règlement 1107/2009 (cf.
Look who’s squealing now: GMO lovers freak over new study of sick pigs. OK, everyone have a seat and take a few deep breaths.
Go to your calming place. Ready? Good. Because I’m about to talk about a new study that suggests that eating genetically modified crops might not be the best thing for us. OK, another deep breath. You’ll remember, I’m sure, the recent brouhaha over a French study by scientist Gilles-Eric Séralini that purported to find evidence that a GMO-based diet caused tumors in rats. So is this new study [PDF], as the critics are already asserting, “L’affaire Seralini” redux? Australian scientists, working with an Iowa farmer and U.S. veterinarians, studied 168 “commercial” piglets as they were raised and fattened for slaughter.
Mr CaPue - S1E32 - Oui, les OGM sont des poisons ! OGM: L'agence de sécurité sanitaire réfute les conclusions de l'étude Séralini. Le Haut Conseil des biotechnologies (HCB) et l'Agence de sécurité sanitaire (Anses) ont réfuté tour à tour ce lundi les conclusions de l'étude du Pr Séralini sur la toxicité d'un maïs transgénique, très critiquée mais qui a aussi relancé le débat sur les procédures d'homologation des OGM.
Le HCB a estimé dans son avis qu'il n'y avait «pas de causalité entre les événements observés et la consommation de maïs NK603, traité ou non avec l'herbicide Roundup». «Le dispositif expérimental mis en oeuvre [sur des rats] est inadapté aux objectifs de l'étude», juge également le HCB. De son côté, l'Anses a estimé que ces recherches «ne permettent pas de remettre en cause les évaluations réglementaires précédentes sur le maïs NK603 et le Round-up», produits par la firme américaine Monsanto. Besoin d'études à long terme L'Anses et le HCB ont pris un mois pour examiner les travaux du Pr Gilles-Eric Séralini, un biologiste de l'université de Caen, qu'elles ont auditionné. Critiques.
Controverse (pierre dans la mare) G.E. Séralini, lanceur d'alertes. De gros dégâts chez les rats. Conséquences. L'étude de G.E. Séralini en questions. Les OGM sont nos amis. Les animaux nourris aux OGM se portent bien. Les animaux durablement nourris avec du maïs, du soja, du riz, des pommes de terre et du triticale génétiquement modifiés se portent bien.
Aussi bien en tout cas que ceux qui ont reçu une alimentation non OGM. Même au bout de deux ans, et même lorsque ce régime transgénique leur est administré sur deux à cinq générations successives. Telle est la conclusion, somme toute rassurante, d'une vaste étude dirigée par la généticienne Agnès Ricroch (AgroParisTech, université Paris-Sud-Orsay) à paraître dans la revueFood and Chemical Toxicology, considérée comme «la» référence en la matière. Pour aboutir à ce résultat, les chercheurs ont passé au crible 24 études américaines, japonaises, brésiliennes, italiennes et norvégiennes récentes, exclusivement réalisées par des laboratoires publics financés par des fonds publics, ce qui exclut a priori tout risque de conflit d'intérêts.
L'impact de la transgenèse insignifiant » OGM: quels aliments sont concernés? » Qu'est-ce que l'agriculture biologique?