Le coronavirus a repoussé le jour du dépassement au 22 août. Quel effet l’épidémie de Covid-19 a-t-elle eu sur la biodiversité ? Partager Le confinement a permis de redécouvrir le chant des oiseaux, et de voir des animaux sortir de leur tanière.
Mais, selon les experts, cette période n’a pas été si favorable à la biodiversité. Par endroits, il y a même eu davantage de pollution ! Si tu veux en savoir plus, écoute ce podcast. (© Alberto Pezzali / NurPhoto / AFP) Salut à tous ! « Allo, 1jour1actu ? Bien vu, Liv ! Pour vérifier, j'ai appelé François Gemenne. . « Allo, 1jour1actu ? En effet, Sasha, la biodiversité a pu temporairement profiter du confinement. Déforestation et pollution Pour François Gemenne, la crise du Covid-19 n'a globalement pas bénéficié à la biodiversité. Pendant qu'on se rassurait en se disant que cette crise était une bonne chose pour toute la biodiversité, parce qu'on pouvait observer des animaux depuis notre fenêtre, les pollueurs et certaines entreprises en ont profité pour polluer sans contraintes et détruire l'environnement. « Allo, 1jour1actu ?
30 juin 2020. Environnement: la planète respire pendant le confinement - Outre-mer la 1èr. La terre respire.
La nature a repris ses droits pendant cette pandémie du Covid-19. Plus de la moitié de la population mondiale est confinée. Les animaux se promènent dans les rues désertées. Les indicateurs de pollution sont en baisse. Tour d'horizon des changements apparus pendant le confinement. Confinement : bonne nouvelle pour le climat ? - Okapi 100% ADO – Le blog des années collège. Il a déjà assigné à résidence 4 milliards d'êtres humains, mis à l'arrêt des milliers d'usines et des millions de voitures : le Covid-19 peut-il être bon pour l'environnement ?
On fait le point ! C’est peut-être le seul bienfait de la pandémie mondiale : le coronavirus met les activités de la planète entière "en pause". Le temps de la laisser respirer et de redonner un peu plus de place à la nature... La pollution en baisse 80 % d'avions en moins dans le ciel, 50 % de camions qui restent au garage et 30 % de moins de navires dans les océans. Et c'est du ciel qu'on le voit le mieux : un satellite Sentinel mesure depuis plusieurs semaines la pollution de l'air. A lire: De nouvelles donnes, bases sur les observations du satellite #Sentinel5P du programme @CopernicusEU et prpares par @KNMI/@esa, montrent de fortes rductions dans les concentrations de dioxyde dazote au-dessus, notamment, de Paris. Les animaux reprennent du terrain Le savais-tu ? Un changement durable ?
Flora 23 avr. 2020 à 14h40. Quel impact du confinement sur la qualité de l'air ? Cet outil mis en ligne au mois d’avril 2020 a permis de constater une diminution des émissions des principaux polluants atmosphériques entraînant une amélioration de la qualité de l’air.
La visualisation des prévisions de concentrations journalières en dioxyde de carbone et en particules fines de l’air est réalisée en s'appuyant sur deux hypothèses : prise en compte des émissions, tous secteurs d’activités confondus, estimées en situation normale en 2020 (appelé cas de référence) ; prise en compte d'une réduction d’émissions associée au confinement (les données retenues sont une baisse de 80% du transport routier, de 95% du transport aérien et non routier et de 29% de l'activité industrielle). Des photos pour témoigner de l’état du monde. Cette photo a été prise par Bryan Denton, un photojournaliste américain.
Son reportage sur la sécheresse en Inde vient d’être récompensé par un Visa d’or, au festival Visa pour l’image. Chaque année, ce festival prestigieux expose des reportages photo du monde entier. En Inde, ces enfants jouent dans un point d’eau creusé pour lutter contre la sécheresse. (© B. Denton pour The New York Times) Des photos du monde entier Visa pour l'image est le plus grand festival de photojournalisme du monde. Beaucoup témoignent de sujets d'actualité graves, comme la guerre ou la pollution. Témoigner de ce qu'il se passe ailleurs Avec leurs images, les photojournalistes témoignent de ce qu'il se passe ailleurs, très loin ou tout près de chez nous.
Les photos exposées à Visa pour l'image sont souvent dures à regarder. Amel, 9 ans, retourne à Visa pour l'image avec sa classe Chaque année, des écoles vont voir Visa pour l'image, comme celle d'Amel, à Perpignan. Émilie Leturcq. Déconfinement: les recommandations de la LPO Paca pour respecter faune et flore sauvages. Quel effet l’épidémie de Covid-19 a-t-elle eu sur la biodiversité ? Le télétravail est-il bon pour l'environnement ? #AlertePollution Rivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter ! Les déplacements Aux États-Unis, 86 % des travailleurs se déplacent en voiture. Si un quart d'entre-eux télétravaillaient un jour par semaine, cela éliminerait l'équivalent des émissions annuelles de 7 millions de foyers. L'énergie. Le Jour du dépassement. Tous les ans, l’ONG Global Footprint Network calcule « le Jour du dépassement » (Overshoot Day, en anglais) sur la base de trois millions de données statistiques de 200 pays.
C’est la date à partir de laquelle l’empreinte écologique dépasse la biocapacité de la planète. Autrement dit, le jour à partir duquel nous avons pêché plus de poissons, abattu plus d’arbres, construit et cultivé sur plus de terres que ce que la nature peut nous procurer au cours d'une année. Cela marque également le moment où nos émissions de gaz à effet de serre par la combustion d’énergies fossiles auront été plus importantes que ce que nos océans et nos forêts peuvent absorber. Depuis les années 1970, la date du Jour du dépassement se dégrade. En 1998, elle avait lieu le 30 septembre.