Quelles tendances sur le marché du chocolat en 2016 ? Alors que le "tout" chocolat avait rendez-vous pour la Toussaint à Paris à l'occasion du salon du chocolat, les derniers chiffres ont été divulgués sur un marché en mouvement.
Détails. Chaque année, en marge du très médiatique salon du chocolat de Paris, le syndicat national du chocolat tire le bilan des ventes de l'année précédente et de l'année en cours. Pour 2015, les chiffres sont en demi-teinte avec une baisse de 1,5% des volumes vendus, tout juste compensée par des ventes mieux valorisées (+1%). Et pour 2016 ? Le marché français, estimé à 3,5 milliards d'euros retrouve le sourire. La montée en gamme s'accélère Tous les professionnels du secteur le constatent : la tendance actuelle en France va vers une montée en gamme des produits. La franchise profite de la montée en gamme Dominique André-Chaigneau, Toute la Franchise © Partager : Créer une surveillance par email.
Chiffres du chocolats 2018. Consommation de chocolat en France. Les ventes de chocolat en France 312.309.000 tonnes Selon le syndicat du chocolat, 312.309 tonnes ont été vendues en 2014 et 476.061 tonnes de ventes à l'export en 2014.
Les Français consacrent en moyenne 110 euros par an au chocolat. Le chocolat s'est toujours bien porté en temps de crise car même s'il n'appartient pas aux produits de première nécessité, il reste un petit plaisir abordable. Syndicat du Chocolat. Les produits de cacao et de chocolat sont régis par la directive européenne 2000/36/CE, qui a modifié le décret français « cacao-chocolat » du 13 juillet 1976.
La règlementation définit à la fois la composition (notamment les teneurs minimales en cacao et en beurre de cacao), et les règles en matière d’étiquetage. La réglementation définit 10 grandes catégories de produits de cacao et de chocolat ainsi que les conditions d’emploi des mentions de qualité. Cacao en poudre : il doit contenir au minimum 20% de beurre de cacao, mais, lorsqu’il est dit « maigre », le taux ne doit pas excéder 20%.Chocolat en poudre : il doit contenir des sucres et au minimum 32% de cacao en poudre, ou 25% de cacao en poudre lorsqu’il est appelé « cacao sucré ». *% de matière sèche L’utilisation des dénominations « chocolat de couverture », « chocolat fourré», « chocolate a la taza » et « chocolate familiar a la taza » est aussi réglementée.
Après le soja et l’huile de palme… Le cacao, l’autre culture qui grignote la forêt. La production de cacao a été particulièrement soutenue depuis les années 1970, passant de 4 à plus de 10 millions d’hectares à travers le monde, rappelle l’Iddri, un think-tank sur les questions de développement durable, dans une étude publiée ce mardi, à l’occasion de la Journée mondiale du chocolat.
Une extension des cultures qui se fait sur la forêt, essentiellement en Afrique de l’Ouest, où se concentrent les principaux pays producteurs. « Mais demain aussi en Afrique Centrale », craint l’Iddri, qui s’inquiète d’une nouvelle vague d’extension des cultures. La filière cacao – qui inclut les acteurs qui transforment et vendent le chocolat – a pris tardivement en compte cet « enjeu déforestation », mais multiplie aujourd’hui les labels et engagements volontaires. Avec quelle efficacité ? Une hausse de la consommation, notamment en Chine, alliée au réchauffement climatique, pourrait amener à une pénurie mondiale du cacao. Focus Clientèle chocolatiers.
Le marché du chocolat sort de la crise. Les barres Mars, les rochers Suchard et autres tablettes Milka ont repris leur place dans le panier de courses des ménages.
Après s'être serré la ceinture pendant la crise, les Français se laissent de nouveau aller à la gourmandise. Le marché du chocolat, qui pèse 2,6 milliards d'euros, en a été l'un des bénéficiaires l'an passé. Après avoir reculé pendant deux ans, il a progressé de 2,8% en valeur (+2,4% en volume), selon AC Nielsen. «Les consommateurs veulent de nouveau se faire du bien», se félicite Alexander von Maillot de la Treille, patron de Nestlé Chocolat en France. «Ils s'autorisent à nouveau ce type de petit plaisir.» Les confiseries de chocolat sortent enfin la tête de l'eau (+5%). Sur le marché des pralines et chocolats saisonniers, qui progresse plus timidement (+1,3%), les lapins, œufs et coffrets Milka font figure de grands vainqueurs (+47%). Si la reprise du marché profite à tous les fabricants, il leur reste un boulevard devant eux. Le chocolat bio : un marché en pleine croissance.
Neuf Français sur dix ont consommé du bio en 2016, dont 15 % quotidiennement.
Le phénomène ne se cantonne plus à un marché de niche et l’offre de produits bio s’élargit sans cesse. • Qu’est-ce qu’un chocolat bio ? Le chocolat labellisé AB respecte la Directive européenne CE 2092/91 concernant le mode de production biologique de produits agricoles, garanti sans recours aux produits chimiques (pesticides notamment). Tous les ingrédients qui entrent dans la composition du chocolat labellisé AB doivent être issus à 95 % de l’agriculture biologique (cacao, beurre de cacao, sucre de canne, produits laitiers…). • Le marché des tablettes bio en France En France, le marché des tablettes bio représentait 2 633 tonnes en 2016. . • L’Europe, premier marché pour le chocolat bio Si le premier chocolat bio a été commercialisé en 1989, l’offre ne cesse de se diversifier depuis quelques années, et pas seulement dans les circuits spécialisés. Retour aux articles.