Granola fait revivre les animaux avec sa nouvelle pub WTF ! Jeudi 22 Mai, Dans Ta Pub était cordialement invité par Marcel à découvrir la nouvelle copy de la campagne Granola, qui poursuit sa conquête de notoriété chez les français.
Un an après avoir lancé avec succès sa plateforme de marque : « Granola, ça cache toujours quelque chose d’extra ! », la marque revient en télé avec un nouveau film encore plus inattendu. Cette plateforme de communication au ton absurde et inédit a été couronnée de succès puisque la marque a gagné 6 points de notoriété et affiche une progression des ventes de plus de 20% en 2013 ! Toujours accompagnée de l’agence Marcel, la marque de biscuits extra lance donc, le 26 mai, le troisième opus de la saga.
Ce film surprenant et décalé succède aux 2 premiers films : « Bouches » et « Futur ». Le nouveau film extra Le film nous emmène cette fois-ci à la rencontre d’un jeune artisan, dans l’univers étrange et mystérieux de la taxidermie. Et pendant ce temps sur Twitter… Share 1 Gabriel Teisson. Avis animaux société publicité. Partager Jusqu’à une période très récente, le regard porté sur les animaux était très empreint de considérations héritées de la théologie judéo-chrétienne renforcée par le cartésianisme, posant une césure claire entre l’animal et l’être humain.
D’où des comportements aisément – au sens de « sans problème » -, défavorables à l’animal, envisagé comme un être sans âme et sans émotions. Ce point de vue est en train d’évoluer fortement, sous la poussée, notamment, du mouvement écologiste ou de l’attitude des citoyens des pays industrialisés qui, au cours des 50 dernières années, se sont pris de passion pour les animaux qui ont en commun de ne servir à rien d’autre qu’à la compagnie de leurs maîtres et dont le statut est proche de celui des enfants. Reflet de la société par excellence, la publicité n’échappe pas à l’évolution d’une telle conception.
En outre, en publicité, on est plus efficace quand on transpose que quand on impose. 1. 2. L’homme est un animal « animalissime ». 3. 4. Animaux, marketing et publicité : une histoire d’amour bien réelle ! - TastyMarcomTastyMarcom. Animaux, marketing et publicité : une histoire d’amour bien réelle !
Nous connaissons tous au moins une marque utilisant les animaux dans sa stratégie marketing et de communication, en tant qu’ambassadeurs et/ou symboles. Les marques y ont en effet souvent recours, et depuis longtemps, pour faire passer leurs messages et transmettre certaines valeurs. Des singes Omo au lapin Nesquik, de La vache qui rit ou de l’écureuil de la Caisse d’épargne aux pulpeuses girafes d’Orangina, les sagas publicitaires animalières se sont multipliées avec succès. Mais pourquoi donc les marques utilisent-elles les animaux de la sorte ? La profusion de logos-animaux dans nos cultures contemporaines est un héritage de la place prépondérante des bêtes au Moyen-Âge dans toute l’Europe, entre origine, signifiant, rituel et légende.
Publicité : pourquoi les animaux font vendre. Les créatifs des agences publicitaires reviennent souvent aux basiques.
La mise en scène d’animaux en est un. Aussi efficace qu’économique. Dans ce spot publicitaire d’Audi, une fois n’est pas coutume, l’animal n’a pas le beau rôle. Pour vanter le design «sans compromis» de sa dernière A3, le constructeur allemand l’oppose à un chien monstrueux, croisé improbable de doberman et de chihuahua. La bête provoque la terreur en ville, l’Audi A3 la jalousie. Le phénomène n’est certes pas nouveau : La Vache qui rit a presque 100 ans, celle de Milka à peu près autant, et chacun se souvient des singes d’Omo, des lapins Duracell… «L’utilisation des animaux fonctionnera toujours, assure Hélène Sagné, fondatrice de l’agence de création Bug. Les animaux dans la pub en 70 exemples - mascottes publicitaires. Partagez-moi !
Les animaux sont régulièrement utilisés depuis les débuts de la publicité au XIXème siècle pour leur capital sympathie et leur charme. Ils permettent également aux marques de s’associer à leur symbolique. Beaucoup de ces animaux sont humanisés, ils se comportent comme des Hommes, ont des émotions et des expressions humaines, ceci afin que le consommateur puisse s’identifier à l’animal, en plus de le trouver mignon ou puissant. Dans ce dossier, nous allons volontairement ignorer les cas Félix, Shéba et autres Miel Pops, dont l’utilisation de l’animal est implicite, pour nous concentrer sur… tout le reste ! Au sommaire : 1. Energizer VS Duracell : la guerre des lapins ! C’est en 1973 qu’apparut pour la première fois le lapin rose au tambour de Duracell. Afin de réagir face à ce coriace concurrent, le lapin Duracell abandonna petit à petit son tambour, et se mit au sport (course et escalade), comme vous pouvez le voir ci-dessous.
Playboy : le chaud lapin ! 2. L’ourson (ours ?)