GREA - Groupement Romand d'Etudes des Addictions. Introduction Le présent document présente la vision du GREA sur l’hyperconnectitivé (usage excessif des médias électroniques).
Il fait suite à de nombreux échanges professionnels et s’appuie sur les résultats de la recherche en la matière. Les médias électroniques ont intégré le champ des addictions sans substance, appelé aussi «nouvelles addictions» ou «addictions comportementales». Au cours de ces dernières années sont apparues des offres de prévention et de traitement, et des spécialistes ont développé des compétences solides sur la question. C’est notamment le cas en Suisse romande, où se trouvent plusieurs centres spécialisés. Par le positionnement représenté dans ce document, les professionnels des addictions entendent participer à ce débat.
Terminologie et définition Le GREA recommande d’utiliser les termes suivants: Hyperconnectivité pour aborder la problématique dans son ensemble. Compréhension de la problématique Le domaine des médias électroniques est en évolution constante. 32169 de M. Marc Le Fur (UMP - Côtes-d'Armor) Texte de la question M.
Marc Le Fur attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social sur les risques santé au travail développés par des comportements numériques addictifs. « La position assise que nos ordinateurs ou tablettes nous entraînent à adopter [...] augmente de moitié le risque de mourir prématurément » résume l'étude menée sur 800 000 personnes par les universités de Leicester et Loughborough publiée par Huffingtonpost le 29 mai 2013). Elle précise que « pour les seules maladies cardiovasculaires les risques sont multipliés par 2 et pour le diabète de type 2 par 2,5 ». Selon le cancérologue français Thierry Bouillet, une activité physique adaptée nous « permet de diminuer de 50 % le risque de rechute chez des patients atteints du cancer du sein, du côlon et de la prostate ». Texte de la réponse. Addiction au numérique : peut-on vivre déconnecté ?
Il est parfois difficile de se détacher de la spirale infernale du numérique.
En 2014, 28 millions de Français possédaient un smartphone et neuf millions avaient une tablette tactile. De plus, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter comptaient jusqu'à 32 millions d'inscrits. L'addiction au numérique frappe alors de nombreuses personnes. Celles-ci peuvent consulter leur smartphone 100 fois par jour et se précipiter à la moindre alerte ou notification.
Le documentaire Digital Detox s'est inspiré de cette dépendance. Michel Lejoyeux, un professeur de psychiatrie et d'addictologie à l'université Paris 7, estime que le problème n'est pas de savoir s'il est possible de vivre déconnecté ou non. On peut avoir une relation complètement passionnelle et exagérée vis-à-vis du téléphone. Quant à l'écrivain Thierry Crouzet, il considère que la dépendance à Internet peut causer un trouble physique tel que des crises d'angoisse ou encore un trouble social.
Lire la suite. Comment arrêter l’addiction de l’internet ? Bonsoir, c'est déjà reconnue comme une addiction si : ADDICT A INTERNET : la France compte aujourd’hui près de 30 millions d’internautes qui surfent en moyenne une heure par jour, de part sa facilité d’accès et sa richesse en informations en tout genre, Internet à tout pour plaire.
Mais il peut aussi se transformer en piège et certains vont y consacrer de plus en plus de temps et s’enfermer dans un monde virtuel. Surfer n’est plus un plaisir mais devient une dépendance. On parle d’addiction à Internet quand on retrouve ses trois signes de dépendance : La perte de contrôle : l’internaute ne résiste pas à la tentation de se connecter en permanence et n’arrive plus à se maîtriser, par exemple, impossible pour lui d’éteindre son ordinateur au bout d’un quart d’heure. Partage d'expérience - Ma vie numérique. 0 votes1 vote0 vote0 votes1 vote0 voteVoir l'image en grandMais de quel bois le succès de 50 Nuances de Grey est-il donc fait ?
Du film, de l’intrigue, du jeu des acteurs, il y a peu à dire. Et pour peu que dès les premières secondes du générique, on ne trouve pas Jamie Dornan à son goût, alors on peut s'inquiéter des heures à suivre. Mais l’histoire se joue ailleurs. Les addictions sans drogue, une nouvelle forme de dépendance. Jeux vidéo, Internet, portable... faut-il limiter leur usage ?