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Assemblée Nationale

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Texte de la question M. Marc Le Fur attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social sur les risques santé au travail développés par des comportements numériques addictifs. « La position assise que nos ordinateurs ou tablettes nous entraînent à adopter [...] augmente de moitié le risque de mourir prématurément » résume l'étude menée sur 800 000 personnes par les universités de Leicester et Loughborough publiée par Huffingtonpost le 29 mai 2013). Elle précise que « pour les seules maladies cardiovasculaires les risques sont multipliés par 2 et pour le diabète de type 2 par 2,5 ». Selon le cancérologue français Thierry Bouillet, une activité physique adaptée nous « permet de diminuer de 50 % le risque de rechute chez des patients atteints du cancer du sein, du côlon et de la prostate ». Texte de la réponse

afjv I - Qu'est-ce que la cyberdépendance ? L'arrivée de l'Internet dans les foyers français a ouvert, il y a une dizaine d'années, une nouvelle dimension de l'outil informatique et, avec l'accélération progressive du débit des échanges, un espace de liberté sans limites. Aujourd'hui, la pratique du jeu électronique via l'informatique s'est considérablement accrue et a fait naître, avec elle, de nouvelles interrogations. Parmi celles-ci, celle des conséquences éventuelles sur la santé des joueurs apparaît, aux yeux de la représentation nationale, comme primordiale. L'objectif que se sont fixés les députés GROSSKOST et JEANNETEAU est donc d'étudier les mécanismes qui peuvent engendrer une dépendance, à certains types de jeux, affectant la santé des joueurs. En réalité, ces jeux MMORPG proposent au joueur d'évoluer dans un univers virtuel persistant. II - L’addiction sans substance : un phénomène naissant mais déjà très préoccupant Ages et Nature du jeu Voir la description de la signalétique PEGI

@ddict : le premier MOOC sur l'addiction au numérique L’université de Nantes, en collaboration avec le CHU de la ville, a lancé le 22 décembre 2014 le premier MOOC sur l’addiction au numérique. Explications avec Didier Acier, professeur de psychologie clinique et coordinateur du MOOC. Didier Acier Comment est née l’idée de lancer un MOOC sur l’addiction au numérique ? Il s’agit d’un travail commun du Laboratoire de Psychologie des Pays de la Loire et du CHU de Nantes, initié il y a deux ans, avec la participation de plusieurs chercheurs de sociologie, de psychiatrie, d’informatique et de psychologie. Quel est son objectif ? Il ne s’agit pas d’un MOOC traditionnel, dans le sens où ce n’est pas un cours donné par un professeur à des étudiants. A qui s’adresse le cours ? A partir de quand est-on considéré comme « drogué » du numérique ? Il est très difficile de répondre de manière affirmative. Quel est le bon usage d’Internet aujourd’hui ? Nous allons en débattre dans le cadre du MOOC justement. Charles Centofanti

Addiction Suisse – Cyberaddiction Dans le cadre professionnel et privé, le recours à Internet est fréquent. L’offre est quasi illimitée, l’accès est possible en tout temps et de manière anonyme. C'est incontestablement un outil aussi utile que divertissant. Cependant il devient toujours plus évident que certaines formes d’utilisation peuvent se révéler problématiques, et même conduire à l'addiction. Jeux et chats Ce sont avant tout les jeux en ligne, les chats et les sites de sexe et de pornographie qui sont connus pour être une source potentielle d’addiction. Prévention Comme Internet est un outil indispensable pour une majorité de professions et que son usage peut être très constructif dans le cadre des loisirs, la prévention a comme but une utilisation contrôlée.

Addiction au numérique : peut-on vivre déconnecté ? Il est parfois difficile de se détacher de la spirale infernale du numérique. En 2014, 28 millions de Français possédaient un smartphone et neuf millions avaient une tablette tactile. De plus, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter comptaient jusqu'à 32 millions d'inscrits. L'addiction au numérique frappe alors de nombreuses personnes. Celles-ci peuvent consulter leur smartphone 100 fois par jour et se précipiter à la moindre alerte ou notification. Le documentaire Digital Detox s'est inspiré de cette dépendance. Michel Lejoyeux, un professeur de psychiatrie et d'addictologie à l'université Paris 7, estime que le problème n'est pas de savoir s'il est possible de vivre déconnecté ou non. On peut avoir une relation complètement passionnelle et exagérée vis-à-vis du téléphone. Quant à l'écrivain Thierry Crouzet, il considère que la dépendance à Internet peut causer un trouble physique tel que des crises d'angoisse ou encore un trouble social. Lire la suite

L'Inserm publie une expertise collective sur les "Conduites addictives chez les adolescents" - Fédération Addiction A la demande de la MILDT, l’Inserm a réalisé un bilan des connaissances scientifiques sur les pratiques addictives des adolescents, aussi bien en matière de consommation de substances psychoactives (alcool, tabac, cannabis) qu’en matière d’addictions sans substance (jeux video, jeux de hasard et d’argent). Lors de nos journées de Nantes, un séminaire présentera certaines des conclusions et recommandations de cette expertise. L’expertise complète vient d’être publiée, un rapport intermédiaire ayant été rendu il y a quelques mois pour permettre la finalisation du plan gouvernemental présenté la semaine dernière. L’adolescence étant une période de construction du cerveau, la consommation de substances psychoactives a un impact sur celui-ci en fonction des quantités et de la fréquence de consommation.

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Une enquête sur les loisirs devant écran (Internet, jeux vidéo et télévision) a été menée auprès de 444 élèves de 3e scolarisés dans l'ensemble des collèges publics et privés d'une grande ville du Nord de la France53(*). En bref, s'il existe bien une cyberaddiction, plus puissante que la dépendance à la télévision, qui commence à prendre des proportions inquiétantes, la solution est connue : il s'agit du contrôle des parents, qui disposent des moyens pour couper la connexion ou pour maîtriser les horaires de navigation. Les raisons de cette addiction ne sont pas forcément bien décryptées. Selon M. Par ailleurs, la dépendance aux jeux vidéo est bien analysée par l'ouvrage de Mme Christine Kerdellant et M.

Definition - La Dépendance Numérique Il faut différencier deux types de dépendances : celle liée à l’outil lui-même, qui est la cause de l’addiction à travers les chats, les blogs, les réseaux sociaux (Facebook, Twitter…), les jeux vidéos en ligne, les jeux de rôle, et la recherche d’information. Et celle qui est liée aux opportunités offertes par internet, le support de la dépendance: sites sexuels et pornographiques, sites d’achats et d’enchères, et sites de jeux de hasard et d’argent (casinos en ligne, Française des jeux…). Décomposons cette expression en deux: Dépendance : qui repose sur une envie répétée et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire.

Internet addiction: hours spent ... [Gen Hosp Psychiatry. 2012 Jan-Feb La cyberdépendence, un mal silencieux. Ressources et liens utiles Sites généraux sur les addictions Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA) : page sur les addictions sans produit Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) Association nationale de prévention en alcoologie et addictologie (ANPAA) Fédération Addiction Page sur le site de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) AAPFR : Association addictions prévention formation recherche (Nantes) Belgique Commission des jeux de hasard Prospective jeunesse (Belgique : page sur les addictions comportementales) Québec Centre de réadaptation en dépendance de Montréal – Institut universitaire (CRDM-IU) Centre québécois de documentation en toxicomanie (CDDT) Centre québécois d’excellence pour la prévention et le traitement du jeu (CQEPTJ) Suisse Centre du jeu excessif de Lausanne Addiction Suisse Groupement romand d'études des addictions (GREA) Infoset : portail suisse sur les addictions Addictions Valais Carrefour des addictions

L'addiction au web modifie le cerveau, affirme une étude chinoise Le cerveau des accros à internet subit des modifications comparables à celui des toxicomanes et des alcooliques, avancent des experts chinois dans les résultats préliminaires d'une étude publiée dans la revue Plos One. Si les travaux portant sur l'addiction à internet sont souvent peu appréciés par les technophiles, au motif qu'ils diabolisent le web en tant que média, il est intéressant de se pencher sur les recherches effectuées par l'Académie chinoise des Sciences de Wuhan, qui a passé au scanner le cerveau de 17 jeunes individus souffrant de cyberdépendance, et découvert que leur substance blanche (partie du cerveau responsable de la propagation des informations dans le système nerveux) s'en trouvait affectée. Chacun des groupes a ensuite passé une IRM, et les résultats ont été comparés. Ce qui a permis de constater que le cerveau des addicts au net avait subi des modifications au niveau de sa substance blanche. Lire aussi : Par Edouard

Stress numérique Le stress numérique est la conséquence de l’amplification des mécanismes de stress chez les personnes par un environnement où les technologies numériques sont omniprésentes. Par exemple, en France, le nombre de cartes SIM actives, soit 80 millions[1], dépasse le nombre de Français, soit 66 millions. De plus, au moins trois réseaux sont simultanément disponibles pour plus de 99 % de la population. Cette expression identifie des conséquences du nouveau paradigme psychosocial amené par les technologies numériques, auquel est associé le caractère addictif du numérique[2]. En France, le stress numérique concerne près d'un salarié sur trois[3]. Du stress au syndrome d'épuisement professionnel[4] et d'usages libres aux dépendances numériques, les enjeux sont multiples. Numérique : nouveau paradigme et nouvelles dimensions, nouveaux risques[modifier | modifier le code] Un nouveau paradigme et de nouvelles dimensions[modifier | modifier le code] Stress et numérique[modifier | modifier le code]

Bonjour l'equipe rapports,

Merci de m'avoir fait penser aux pouvoirs publics. Cordialement, Myriam LG by macaud_groupe2_psy Apr 4

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