Saṃsāra. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Peinture tibétaine traditionnelle ou tanka figurant la roue de vie et les rayons du saṃsāra. Le saṃsāra (संसार terme sanskrit signifiant « ensemble de ce qui circule », d'où « transmigration » ; en tibétain : འཁོར་བ།, Wylie : khor ba, THL : Khorwa) signifie « transition » mais aussi « transmigration », « courant des renaissances successives »[1]. Rūpaloka. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dans le bouddhisme, Rūpaloka, ou rupadhatu le monde de la forme est l'un des trois mondes de la cosmologie bouddhiste et de la théorie sur la méditation[1]. Royaume divin où les êtres sont libérés du monde du désir, mais restent attachés à des sensations et à des formes plus subtiles. Il n'y a ni goût ni odorat dans le monde de la forme. Les êtres y ayant repris naissance ont développé diverses absorptions méditatives ; ils sont très grands et vivent extrêmement longtemps. Kāmaloka. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La roue de la vie, avec la représentation des six mondes. Dans le bouddhisme, kāmaloka, ou kāmadhatu est le monde du désir, un des trois mondes, le plus bas, dans la cosmologie bouddhiste et il est en grande partie le samsāra[1]. Il est lui-même constitué de six mondes, dont les trois premiers correspondent aux renaissances inférieures et les trois derniers aux renaissances plus fortunées. Les six mondes sont représentés dans l'image de la roue de la vie. Histoire du bouddhisme. Le bouddhisme, qu'il s'agisse d'une religion, d'une philosophie ou d'une pratique souvent centrée sur la méditation, fut fondé par Siddharta Gautama.
Il naît environ en -556 du calendrier julien en Inde et se diffusera plus largement deux siècles plus tard. C'est une des plus anciennes religions encore largement pratiquées de nos jours. S'étant développé en dehors de sa région d'origine, l'Inde du nord-est, il a touché à une époque ou à une autre la quasi-totalité du continent asiatique, s'enrichissant d'éléments issus des cultures d'Asie centrale, d'Extrême-Orient, d'Asie du Sud-Est, hellénistique et himalayenne. Malgré des premiers contacts à l'époque du gréco-bouddhisme, ce n'est qu'au XIXe siècle que les lettrés européens ont commencé à s'y intéresser sérieusement, transmettant une vision parfois biaisée du bouddhisme en Occident.
Chronologie générale[modifier | modifier le code] Bouddhisme. Le bouddhisme est, selon le point de vue, une religion, une philosophie, voire les deux, dont les origines se situent en Inde au Ve siècle av.
J. -C. à la suite de l'éveil de Siddhartha Gautama et de la diffusion de son enseignement. En 2018, on compte (mais le chiffre doit être pris avec prudence) quelque 623 millions de bouddhistes dans le monde[1], ce qui fait du bouddhisme la quatrième religion mondiale, derrière (dans l'ordre décroissant) le christianisme, l'islam et l'hindouisme. L'historien des religions Odon Vallet mentionne que c'est « la seule grande religion au monde à avoir régressé au XXe siècle », en raison, notamment, des persécutions menées contre le bouddhisme par les régimes communistes en Chine et en Indochine[2]. Arūpaloka. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dans le bouddhisme, arūpaloka ou arupadhatu: le monde du sans forme est un des trois mondes de la cosmologie bouddhiste, le domaine de l'immatériel[1]. C'est le royaume divin le plus élevé, où les êtres ont coupé tout attachement pour les objets des mondes du désir et de la forme, mais restent fixés au bonheur procuré par la méditation. Ils n'ont pas de corps, ayant transcendé la forme, ce qui les rend incapables d'entendre le Dharma et de parvenir à une libération[2]. Ce monde correspond aux états de conscience induits par les arūpajhana, à partir du quatrième dhyāna. On distingue quatre sphères différentes : la sphère de l'espace infini (ākāsanancâyatana) ;la sphère de la conscience infinie (viññanancâyatana) ;la sphère du Néant (akiñcaññâyatana) ;la sphère sans perception ni non-perception (nevasaññanasaññâyatana).
Arupajhana. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Arupajhana (IAST : arūpajjhāna[1]) signifie en pāli : jhāna sans forme (a-rūpa), par opposition aux quatre jhāna purs, mais avec forme. C'est la pratique de samatha bhavana qui mène à l'atteinte de jhāna. Ce concept bouddhique est celui d'un état de concentration extrême - c'est déjà la remarque qui est généralement faite à propos de jhāna (sanskrit : dhyāna). Quatre arupajhanas[modifier | modifier le code] Espace infini Le méditant n'a plus en lui que deux choses : upekkha ou équanimité, et ekaggata ou concentration - et ces deux facteurs resteront identiques pour les quatre arupajhanas, tandis qu'ils variaient dans les quatre premiers dhyanas. Conscience infinie. Bouddhisme : qu'est ce que c'est. Selon la légende, il s'agirait d'un fils de roi.
Son père le protège de toute peine et le fait vivre dans un cocon de plaisirs, d'oisiveté et de richesses. Il se marie alors qu'il a une 20aine d'années et sa femme donne naissance à un fils. Mais un jour, Siddhartha décide de visiter le monde. Le Bouddhisme. Le Bouddhisme Il n'existe pas de définition stricte du bouddhisme.
Le présent texte n'est qu'un reflet de ma compréhension du bouddhisme. Un "bouddhiste" est une personne qui adhère à l'enseignement de Siddharta Gautama, qui vécut 500 ans avant Jésus-Christ. Schématiquement, une personne atteint l'état de "Bouddha" quand elle a un peu tout compris des choses du monde et elle a appris à se maitriser. Siddharta Gautama est supposé avoir atteint cet état... Le plus utile est peut-être de commencer par brosser les différences entre le bouddhisme et la plupart des autres religions : C'est une religion de l'impermanence. Un bouddhiste est responsable de ses actes.
La théorie de la réincarnation est une idée religieuse qui était très présente en Inde, berceau du bouddhisme. Vous *êtes* l'ensemble de vos pensées, qui vous traversent l'esprit au fil de la journée et des événements. Beaucoup de problèmes émanent de personnes qui sont assaillies par leurs pensées.