Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1.
Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Si selon les psychanalystes, aucune technologie ne porte en elle-même d'effet addictogène, l'addiction ne pouvant être générée que par une pratique particulière de l'objet en cause, liée à d'autres facteurs complexes (situation du sujet, environnement familial, contexte social...), la cyberdépendance semble prendre de l'importance. 6 à 8 % des internautes seraient ainsi dans l'usage excessif ou dépendant du réseau informatique.
Addiction à Internet. VIDEO. «L’addiction au numérique se mesure à la perte de liberté» SANTE A l'occasion de la sortie du MOOC de l'université de Nantes sur l'addiction numérique, Didier Acier, professeur de psychologie clinique fait le point sur ce phénomène...
Propos recueillis par Delphine Bancaud Publié le Mis à jour le Un phénomène de société qui est devenu un sujet d’étude. C’est ce lundi que l’université de Nantes lance un Mooc sur l’addiction au numérique. L’occasion pour 20 minutes de faire le point sur ce fléau avec Didier Acier, professeur de psychologie clinique à l’université de Nantes. Qu’entend-on par addiction au numérique? Beaucoup de Français ont un usage excessif des nouvelles technologies et peuvent passer une trentaine d’heures sur les écrans. Quelle est l’ampleur du phénomène en France? Il reste rare, puisqu’il concerne 2% de la population française, mais il risque fort de progresser dans les années à venir avec la multiplication des objets connectés.
Addiction à Internet - Il a vécu 6 mois sans le net. Un jour, Thierry Crouzet a coupé Internet.
Victime d’un burn-out, d’une overdose numérique. Blogueur influent, geek connecté jour et nuit sur les réseaux sociaux, expert des nouvelles technologies, il a quitté la toile pendant six mois, pour se sevrer. Aujourd’hui, l’ancien addict est devenu un internaute modéré. Il revient sur sa vie de « débranché ». INTERNET ADDICTION: Quand technologie rime avec pathologie – DSM. Une pathologie à part entière, c’est ce que devrait officialiser dès sa prochaine édition de mai 2013, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), réalisé et édité par l’Association Américaine de Psychiatrie (AAP).
Sous l’appellation d’ «Internet-use disorder» et rangée au chapitre des addictions, cette inscription au Manuel viendra combler pour grand nombre de psychiatres et psychologues la lacune de critères diagnostiques et cliniques d’un trouble déjà largement prévalent en pratique clinique. Un trouble qui sera classé dans la catégorie des Toxicomanies et des troubles addictifs, qui accueille dans cette 5ème édition, au même titre que les troubles de toxicomanie, des addictions non induites par substances, comme l’addiction au jeu –auparavant au nombre des troubles compulsifs et qui rejoint la catégorie-. Un trouble lié à l’utilisation d’Internet (Section II), qui va précéder un trouble lié à la consommation de caféine… (section III). Accueil.
Une étude sur l'addiction aux médias numériques. 1 - Jeux vidéo : pratiques excessives - Pour en savoir plus. Jeux vidéo : pratiques excessives La ligne 0 800 23 13 13 pour être orienté en fonction de ses besoins (appel gratuit depuis un poste fixe, appel depuis un portable au coût d’un appel ordinaire au 01 70 23 13 13, de 8h à 2h, 7 jours sur 7) et le site drogues-info-service.fr qui comporte une page spécifique qui permet d’orienter les publics concernés vers les quelques 400 consultations jeunes consommateurs.
Le site propose un annuaire (de plus de 3 000 structures) doté d’un outil de recherche simplifié et de proximité. Études et enquêtes sur la pratique des écrans Écrans et jeux vidéo à l’adolescence. Tendances n° 97, OFDT, 6 p. 1- Addiction aux réseaux sociaux: Pourquoi Facebook et Instagram font-ils de nous des losers? RÉSEAUX SOCIAUX - Sur Facebook et Instagram, on ne montre que les bons côtés de la vie, des morceaux choisis par nos soins.
À quel point cette mise en scène peut-elle impacter négativement ceux qui en sont à la fois les spectateurs et les acteurs? Plages paradisiaques, hamburgers alléchants et soirées déjantées, voilà que ce l’on voit passer en quasi-permanence sur nos timelines Facebook et Instagram. Et pour cause, sur les réseaux sociaux, armes fatales du personal branding, on ne dévoile que ce l’on veut bien et en particulier ce qui est susceptible de faire saliver nos voisins virtuels. Ces mises en scène incessantes, celles des autres mais aussi les nôtres, peuvent-elles nous impacter négativement et nous rendre, au final, malheureux?
Si ça se trouve, cette jeune femme s’emmerde profondément Instagram/sinsuco Le sentiment de solitude du spectateur accentué. Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique.