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Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer Hervé Biausser, directeur général de l’Ecole centrale – A voix haute Ce passionné d’industrie qui a forgé ses compétences dans les plus fines recherches en métallurgie se retrouve aujourd’hui à la tête de l’une des plus brillantes écoles d’ingénieurs à un moment crucial. Première implantation à Pékin, bientôt une autre à Casablanca. L’innovation, donc la recherche, sont évidemment les clés d’un futur qui se forge déjà sur le campus de cette école, grâce à l’alliage réalisé avec une poignée de grands groupes finançant l’activité de quelques laboratoires.
Or dix ans, c’est le temps de trois thèses. La stratégie Celle de Centrale est limpide. C’est ce que l’on est en train de construire. Une école de commerce et de management, avec ou sans prépa ? Très élitistes, les "très grandes écoles" comme HEC ou l'EM Lyon restent difficilement accessibles au commun des bacheliers.
Mais des centaines d'autres ouvrent leurs portes aux bons élèves. Avec 11 ou 12 de moyenne en terminale S ou ES, il est tout à fait possible d'intégrer une classe prépa et ensuite une grande école. Avec le bac seul, vous pouvez entrer dans d'excellentes écoles postbac. Par le biais des admissions parallèles (ou "sur titre"), plus de la moitié des élèves des écoles de commerce dites "postprépa" sont passés par une licence universitaire, un DUT ou un BTS.
Un vaste choix de stratégies est donc possible pour tous les profils d'élèves. Pourquoi faire deux ans de prépa quand des écoles postbac, telles l'Ieseg ou l'Essca, viennent tailler des croupières aux grandes dans les différents classements publiés par la presse, tout en délivrant le grade de master ? Avantage à la prépa si vous voulez intégrer une "très" grande école.
APRES UN BAC+2, +3 ou +4. Aux Etats-Unis, l'enseignement des maths est totalement obsolète ! LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sol Garfunkel, directeur du Consortium for Mathematics and its Applications et David Mumford, Médaille Fields, professeur émérite, Brown University Il existe actuellement aux Etats-Unis une inquiétude largement partagée concernant l'état de notre enseignement des mathématiques.
Elle prend sa source dans l'analyse des mauvais résultats des étudiants américains dans les compétitions et les tests internationaux (PISA), et l'on retrouve ces inquiétudes dans la loi dite "No Child Left Behind" ("Aucun enfant laissé de côté") de George W. Bush, qui exige que les étudiants passent des tests standardisés en 2014 et que des sanctions soient prises à l'encontre des écoles et des professeurs qui ne permettraient pas à leurs élèves d'atteindre ces objectifs. Toute cette inquiétude est fondée sur l'hypothèse qu'il existe un unique corpus bien déterminé de connaissances mathématiques que tout un chacun se doit de maîtriser pour se préparer aux métiers du XXIe siècle.
Review Sessions. Les ingénieurs et scientifiques de France préparent un livre blanc en vue des élections présidentielles. Actu | Politique SL | Publié le Le lobbying auprès des candidats ou futurs candidats à l’élection présidentielle de 2012 va s’intensifier de mois en mois.
Les Ingénieurs et scientifiques de France (CNISF), qui fédèrent des associations d’anciens diplômés des écoles d’ingénieurs, se mettent sur les rangs et préparent un livre blanc à leur intention. Baptisé « Pour une France ambitieuse, pleinement confiante dans ses ressources et ses talents », le document abordera « avec pragmatisme » des débats chers aux ingénieurs : la relance de l’industrialisation, les défis énergétiques, l’image de la science dans la société… Et relaiera, après une consultation collective, les préoccupations d’ « une population qui s’exprime peu », selon les mots du président de l’association, Julien Roitman. Promouvoir la diversité des talents Les questions de formations et de recherche ne seront bien évidemment pas absentes de ce livre blanc.
Les 5 atouts des écoles de demain. Christophe Romaro (professeur à l'INSA de Toulouse) : "L'apprentissage par projets développe chez les étudiants un esprit à la fois créatif et critique" Propos recueillis par Frédéric Dessort Publié le L'INSA de Toulouse et l'université de Louvain publient un « Guide pratique pour une pédagogie active : les apprentissages par problèmes et par projets » (1).
Christophe Romano, professeur à l’INSA de Toulouse et coauteur de l’ouvrage, nous en explique les principes et la manière de mettre en œuvre cette pédagogie innovante. Comment l'apprentissage par problèmes et par projets (APP) fonctionne-t-il ? C'est une approche intuitive de l'apprentissage. Il s'agit de plonger l'apprenant dans le sujet au travers d'un problème à résoudre en quelques heures ou d'un projet à mener sur plusieurs jours, voire plusieurs mois.