Communs de la connaissance et enclosures : une réponse à l’historien Allan Greer. En mars dernier, un article de l’historien canadien Allan Greer a été publié sur le site de « La Vie des Idées » dans une traduction en français.
Intitulé « Confusion sur les communs », ce texte m’a rapidement paru important, car il émettait des critiques argumentées à propos d’un des points essentiels de la théorie des Communs : la pertinence de la notion d’enclosure pour désigner les menaces pouvant peser sur les ressources partagées sous la forme de biens communs. Plus précisément, Allan Greer considère que le terme « enclosures » renvoie à un phénomène historique bien déterminé (le mouvement des enclosures ayant frappé les terres en Angleterre en plusieurs vagues à partir du XIIème siècle) et qu’on ne peut l’employer sans tomber dans une métaphore trompeuse à propos de la connaissance et de l’information. La Vie des Idées a accepté de publier une réponse que j’ai écrite cet été à cet article d’Allan Greer. Field Dyke (Stone Wall).
Biens communs. 10 définitions. Thomas Landrain.
Si je devais parler du bien le plus commun qui puisse exister à mes yeux, pour les humains entre autres, ce serait la biologie, ce serait la vie. Tout simplement parce que l’on peut très facilement s’y relier, puisque l’on en fait partie. Nous sommes inscrits, en-soi, dans un système complexe que l’on ne maîtrise pas, mais dont on tire tous parti. Et je pense que notre appartenance à cet écosystème fait du vivant un bien commun. On considère la nature comme étant un objet gratuit, dans lequel tout le monde peut puiser. Frédéric Sultan. Il y a une définition que j’aime bien actuellement, c’est l’idée que les biens communs sont un laboratoire de gouvernance. L’auteur qui m’a inspiré cette phrase c’est Philippe Aigrain. Cela implique que c’est d’abord un processus, que c’est quelque chose de vivant et que cela nécessite des expérimentations.
Je pense également qu’il est important de préciser que cette définition est datée. Pour en savoir plus sur les biens communs · Bpi. Brest en Biens communs 2013 : 1ère réunion d'organisation le 21 mars à 17h30 à la cantine @AnDoalVras - @ Brest. Association des développeurs et utilisateurs de logiciels libres pour les administrations et les collectivités territoriales. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Association des Développeurs et Utilisateurs de Logiciels Libres pour les Administrations et les Collectivités Territoriales L’association ADULLACT a été créée en 2002 en France à l'initiative d'élus, de directeurs informatiques et de passionnés pour « constituer, développer et promouvoir un patrimoine commun de logiciels libres métiers » [ 1 ] . D'après le cabinet Gartner qui lui consacre une note en juillet 2005 , elle est la première initiative de ce genre [ réf. souhaitée] . Promouvoir et défendre le logiciel libre. AFUL: Logiciel libre et interoperabilite. REMIX THE COMMONS - REMIX BIENS COMMUNS - Remixtheremix. Portail:Rencontres 2011 - Brest en biens communs. Philippe Aigrain. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Aigrain. Philippe Aigrain Philippe Aigrain (né en 1949) est un informaticien, chercheur, ancien chef du secteur technique du logiciel à la Commission européenne. Ses idées sont devenues emblématiques dans le militantisme en faveur des biens communs et contre les abus de la propriété intellectuelle et de l'appropriation de l'information par quelques uns. Elles sont notamment développée dans son livre Cause commune : l'information entre bien commun et propriété (sous licence Creative Commons), devenu une référence dans la réflexion sur le sujet. Éléments de biographie[modifier | modifier le code] Philippe Aigrain obtient en 1980 un doctorat en informatique de l'université Paris VII-Denis-Diderot sur « L'interprétation globale des pressions APL ».
Soutien au logiciel libre et à l'Open data[modifier | modifier le code] Enfin, Philippe Agrain est cofondateur du webmedia Nonfiction. Œuvres[modifier | modifier le code] Communs / Commons. Hervé Le Crosnier. Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire (C.E.M.U.) Université de Caen Basse-Normandie - Les producteurs - Canal-U. SavoirsCom1. Elinor Ostrom. Pour analyser les dilemmes sociaux, Ostrom met au point un cadre d'analyse : l'IAD (Institutional Analysis and Developpment), qui est rapidement recommandé par les institutions internationales.
L'IAD repose sur la prise en compte des caractéristiques du monde physique environnant, sur celles de la communauté en proie au problème, sur les règles et normes en vigueur dans le champ de la situation d'action ainsi que sur les interactions entre les acteurs. Les notions de normes, de règles et de droit occupent une place centrale dans sa pensée. Les normes sont des attributs de la communauté, les règles au contraire sont fixées de façon beaucoup plus consciente pour résoudre un dilemme social et servent de cadre à l'établissement de droits.
Ostrom reprend la conception du droit de propriété en termes de faisceau de droits de John Rogers Commons et du réalisme juridique américain. Valérie Peugeot. Valérie PEUGEOT Chercheuse à Orange Labs, en charge des questions de prospective au sein du laboratoire de sciences humaines et sociales.