Prendre une décision stratégique de manière structurée avec le modèle MAP. Vous souhaitez questionner collectivement le rachat d’une nouvelle boîte ? Vous pensez à investir dans une entreprise ? Vous devez choisir entre différents partenaires pour une mission importante ? En tant que dirigeants, votre rôle est bien souvent de prendre des décisions.
Et de prendre les bonnes, surtout lorsque celles-ci sont stratégiques, c’est-à-dire qu’elles impactent le futur de votre organisation. Alors comment faites-vous pour vous assurer de la qualité de vos décisions ? Daniel Kahneman, "prix Nobel" d'économie en 2002, auteur d'un livre à succès sur les biais cognitifs (Thinking Fast and Slow) et ses deux co-auteurs, Dan Lovallo et Olivier Sibony proposent, dans un article publié en 2019 dans la MIT Sloan Management Review, une méthode pour s’assurer de la qualité des décisions stratégiques : Mediating Assessments Protocol (MAP). 10 conseils d'experts pour aider à prendre de bonnes décisions. Parlez à des gens qui ont fait des choix similaires Parlez à diverses personnes qui ont pris les différents chemins que vous envisagez et qui sont prêtes à en parler honnêtement.
Bien que personne ne sera dans une situation exactement comme la vôtre, il devrait y avoir beaucoup à apprendre. Les recherches suggèrent que cette approche peut aider à faire des prévisions plus précises concernant vos propres réactions à des événements futurs. Le jeu de la survie. Fiche technique – Le jeu de la survie Introduction.
Kitchen Prioritization : priorisez avec vos parties prenantes – Le Blog Goood! Début 2018, je créais un jeu pour des top managers chez Engie afin de discuter du sujet de la priorisation.
Etant donné la population, je souhaitais orienter le sujet sur la priorisation avec les clients, les autres services, les autres managers… Ainsi est né Kitchen Prioritization Le jeu est un dérivé du jeu Celebrity Prioritization, créé en 2012 par Geoff Watts et Paul Goddard, coachs agiles londoniens.J’aime beaucoup cet atelier mais j’avais deux limites par rapport à lui : il demande de prioriser des personnes et je m’étais déjà retrouvé face au mur par un groupe qui m’avait dit “on a pas priorisé car ce sont des personnes”, c’était bien pour débriefer sur la non décision mais ça jette un froid…La priorisation dans ce jeu est lié à une urgence pas à une vision, je souhaitais parler de la vision, l’objectif. J’en avais d’ailleurs fait une traduction en français en 2013. 12 énigmes qui testeront ton type de personnalité.
Survie dans le désert. Des activités de : Technologie, Physique Des activités de type : Jeu de rôle dans la peau d’une équipe d’experts en mission d’urgence Des activités sur le thème de : Survie, Désert, Résolution de problèmes, Ressources en eau Activité 1 : Trouver de l’eau dans le désert Clés pour la mise en œuvre Dans la vie quotidienne comme en sciences, on est souvent amené à faire face à une situation nouvelle et problématique.
Si nous ne trouvons pas spontanément la solution, notre capacité à finalement résoudre le problème dépend fondamentalement de notre aptitude à structurer notre démarche et à mobiliser des stratégies efficaces : cadrer le problème, identifier les contraintes, mobiliser les connaissances, travailler en équipe en s’appuyant sur des outils pertinents comme les cartes mentales ou le brainstorming… Cette activité vise à présenter une démarche possible de résolution de problèmes dans un cadre fictif de « survie en milieu difficile ».
Déroulé possible de l’activité. C'EST (VRAIMENT?) MOI QUI DECIDE, Dan Ariely. YouTube. Xerfi Canal Christian Morel Décisions absurdes : comment les éviter. ◼︎ Episode 2/4 : AUGMENTER SA CONFIANCE EN SOI. L'art de Provoquer la Prise de Décisions: Une micro compétence systémique. La provocation à prendre des décisions, ou la fonction de "pousse décisions" est une micro compétence systémique de management et de coaching, voire de développement personnel et professionnel.
Au cours de management de projets, de réunions, d’entretiens à deux voire tout seul, avec des amis ou en famille, elle consiste à constamment se pousser et provoquer les acteurs environnants à se centrer sur la nécessité de décider, de mettre en œuvre, de passer à l’acte. Cet article présente la pratique quotidienne de cette micro compétence de gestion d’efficacité individuelle et collective. Mais attention, cette micro compétence n’est pas un concept. Elle n’a d’utilité que si elle devient une habitude comportementale bien rodée, au point de devenir naturelle.
Ce rodage systématique permettra peu à peu d’en faire une nouvelle habitude personnelle, et par mimétisme ou effet viral, éventuellement collective. Le consentement, une alternative au consensus. Nous l’avons évoqué dans notre précédent billet, la recherche du consensus est souvent un piège.
A force de compromis pour faire rencontrer les bords opposés, les frustrations s’installent, nuisant à la qualité du travail et pénalisant l’avancée du groupe. Comme je l’avais indiqué, l’une des solutions est de construire le consensus petit pas par petit pas. Mais on peut aussi privilégier d’emblée la notion de consentement à celle de consensus. Le consentement décrit l’action de consentir, d’accepter qu’une chose se fasse sans rien avoir à dire pour ou contre. Dans ma pratique, voici comme je le présente simplement à un groupe : « je peux vivre avec ». Pour obtenir à minima le consentement de tout un groupe à une décision, j’ajoute la notion d’objection valide.
Une objection valide[1] signifie ici que l’objection est perçue comme recevable par le reste du groupe (ou au moins d’autres personnes du groupe).
Dan Ariely: Are we in control of our own decisions?