Qu'est-ce qu'un bilan comptable d’entreprise ? Explications. Au cours de vos exercices annuels, vos associés, votre banquier ou l’administration des impôts peuvent vous demander plusieurs documents, dont le bilan de l’entreprise. Ce dernier est la pièce qui vous sert à répertorier les sources et les utilisations des fonds dont vous disposez pour des périodes de 12 mois.
Petite-enterprise.net met à votre disposition les informations principales à connaître à propos de ce document. Définition du bilan d'une entreprise Un bilan est un état de synthèse qui permet de décrire en terme d´emplois et de ressources la situation patrimoniale de l´entreprise à une date donnée. Le bilan prend généralement la forme d’un tableau dont la partie des ressources est appelée "passif" et celle des emplois est appelée "actif". Que doit contenir le bilan comtpable ? Il est établi sous forme de tableau contenant 2 colonnes principales : celle des passifs et celle des actifs. La colonne des actifs vous permettra d’indiquer l’utilisation de vos fonds.
Enregistrement des frais de port. Les frais de transports peuvent être comptabilisés dans des comptes appropriés s’ils figurent sur la facture. Parfois, les frais de port sont inclus dans le prix des marchandises. On parle d’achat ou de vente franco de port. Dans ce cas, l’enregistrement des frais de port sont inclus dans la comptabilisation de l’achat ou de la vente (Par exemple, dans le compte 607. Achats de marchandises ou 707. Ventes de marchandises). On distingue également 2 cas, lorsque les frais de port apparaissent sur la facture au montant du coût de livraison. Ils sont détaillés plus bas.
Attention : la TVA n’est à enregistrer que si elle apparaît sur la facture.Pour les immobilisations, il convient d’incorporer le coût de transport au bien immobilisé afin d’obtenir son coût de revient réel (dans le compte 2). Il existe donc trois types de frais de transport : Franco de port ;Condition départ ;Condition arrivée. Et 3 façons d’enregistrer les frais de port : Franco de port La facture ne présente pas de frais de port. Enregistrement des Valeurs Mobilières de Placement [VMP]
Ces titres sont acquis dans le but de réaliser un gain rapidement et que l’entreprise n’envisage pas de garder durablement. Ces titres servent au placement des excédents de trésorerie. Acquisition de VMP La valeur d’entrée de ces titres est le prix d’achat que l’on enregistre dans les sous-compte du 50. Valeurs mobilières de placement Les comptes les plus couramment utilisés sont : 503. Les frais d’achat des VMP sont comptabilisé dans le compte 627. Comptabilisation L’enregistrement comptable peut être effectué dans le journal de banque. Achat de VMP : comptabilisation au jour d’achat Revenus perçus sur le portefeuille des VMP Les revenus de VMP perçus en cour d’exercice pour le compte des VMP sont à enregistrer au crédit du compte 764. Revenus de VMP, à comptabiliser au jour de perception des revenus en banque La constatation de la créance peut être comptabilisée avant la réception des revenus.
Cession de VMP Les gains obtenus sont à enregistrer dans le compte 767. Les principes comptables. Les enjeux liés aux principes comptables D'un point de vue économique, la comptabilité générale a pour but de transmettre une information comptable fiable et cohérente. Ainsi selon l'article L123-14 du code de commerce : « Les comptes annuels doivent être réguliers, sincères et donner image fidèle du patrimoine, de la situation financière et du résultat de l'entreprise. » Lorsque l'application d'une prescription comptable ne suffit pas pour donner l'image fidèle mentionnée au présent article, des informations complémentaires doivent être fournies dans l'annexe. Si, dans un cas exceptionnel, l'application d'une prescription comptable se révèle impropre à donner une image fidèle du patrimoine, de la situation financière ou du résultat, il doit y être dérogé. Le respect d'un certain nombre de principes comptables est donc nécessaire, afin de garantir la fiabilité de l'information comptable.
Pour en savoir plus, lire l'article Qu'est-ce que la comptabilité? L'article C. com. Emballages. Les emballages sont classés en fonction de leur nature et de leur destination. Il existe les emballages : non identifiable et non récupérables nous parlons alors d’emballages perdus;récupérables identifiables;récupérables non identifiables;à usage mixte. Emballage perdu les emballages perdus correspondent aux emballages vendus avec la marchandise sans consignation ni reprise. Il y a deux manières de comptabilisation possible : Si l’entreprise tient un compte de stock, ils s’enregistrent dans le compte 60261. Achats stockés Emballages perdus.Si l’entreprise ne tient pas un compte de stock, ces emballages ne sont pas dissociés de la vente du produit et sont donc à comptabiliser dans le même compte que le produit ou la marchandise. Le prix de ces emballages est soumis à la TVA, puisqu’il s’agit d’une vente et non d’une consignation.
Exemples : les bouteilles en plastique contenant de l’eau minérale, les boîtes de conserve… Emballage récupérable identifiable Ces emballages sont consignable. Echanges intracommunautaires de biens : régime de TVA. Acquisitions intracommunautaires Régime de droit commun Principe de taxation à la TVA française Une acquisition intracommunautaire est un achat de marchandise effectué par une entreprise assujettie établie en France auprès d'une entreprise assujettie établie dans un autre Etat membre de l'Union européenne.
La TVA française est exigible dès que le lieu de livraison du bien est réputé se situer en France et doit être acquittée par l'acquéreur du bien. La base d'imposition à la TVA est constituée par tous les éléments qui entrent en ligne de compte dans la détermination du montant de la transaction : prix, services rendus ou à recevoir en contrepartie de la livraison, subventions directement liées au prix, etc.
Concrètement, lorsqu'un acquéreur français reçoit la facture d'un vendeur établi dans un autre État membre de l'Union européenne, cette dernière ne contient pas de TVA. C'est donc l'acquéreur français qui doit payer la TVA française sur le prix de la transaction. Régime dérogatoire.