Fairewinds' Arnie Gundersen on Caravan to Midnight, December 20, 2015 — Fairewinds Energy Education. FAIREWINDS ENERGY EDUCATION – Arnie Gundersen on Caravan to Midnight – December 20, 2015 John: ….in his current position as the Chief Engineer for Fairewinds Associates – that’s Fairewinds with an “e” – F-a-i-r-e-winds Associates.
Arnie testifies on behalf of municipalities and intervenes regarding engineering flaws and safety issues in atomic power reactors. Salt in the Wound — Fairewinds Energy Education. MG: Thank you for tuning in to Fairewinds Energy Education’s Audio Update with our Chief Engineer Arnie Gundersen.
I’m Maggie Gundersen, President and Founder of Fairewinds. I’d like to take a quick moment to express my appreciation to all of you for your continuous support and viewership. Your donations are vital as we continue to speak truth to power and expose the nuclear industry’s hidden safety risks. So, once again, thank you and enjoy. AG: Hi I’m Arnie Gundersen, Chief Engineer for Fairewinds Energy Education.
AG: What really happened to the Fukushima Daiichi reactors when TEPCO added ocean saltwater to cool them? AG:As we continue looking at aging operating atomic reactors around the world, it is important to understand this issue and know what may go wrong at other sites. AG: First, let’s start at the beginning. AG: Why were engineers in TEPCO’s home office so opposed to the use of saltwater to cool the atomic reactors? Un réacteur d'Electrabel arrêté à cause d'une fuite d'eau.
BRUXELLES (Reuters) - Electrabel, la filiale belge du groupe français Engie, a arrêté vendredi l'un de ses réacteurs nucléaires en raison d'une fuite d'eau, quelques jours seulement après l'avoir redémarré après une fermeture de près de deux ans, a déclaré une porte-parole de l'entreprise.
Le réacteur a été arrêté "à chaud" à 01h00 (00h00 GMT), ce qui signifie qu'il n'a pas été refroidi complètement et qu'il peut redémarrer relativement rapidement, a précisé Anne-Sophie Hugé. Elle a ajouté qu'il était trop tôt pour dire quand le redémarrage pourrait avoir lieu, les investigations sur la cause de la fuite n'étant pas terminées.
Le réacteur Doel 3, d'une puissance de 1.006 mégawatts, avait été redémarré lundi après un arrêt de 21 mois, conséquence de la découverte d'indications de micro-fissures sur la cuve, tout comme sur celui de Tihange 2, également arrêté. Fukushima : glaçants aveux du responsable de la centrale. Dans un entretien accordé le 20 décembre à l’Agence Associated Press, le responsable de la réparation de la centrale de Fukushima a avoué qu’il était dans l’incapacité de prévoir quel serait le coût de la mise en sécurité des installations, et de fixer une date pour que les réacteurs fondus cessent de menacer la santé des salariés de l’entreprise et les habitants de la région alors que les bâtiments accidentés continuent à polluer les sous sols et l’atmosphère.
Masuda Naohiro a même ajouté qu’il ignorait si, quand et comment les nouveaux robots pourraient réussir à explorer les débris des réacteurs fondus pour faire le point sur la réaction qui se poursuit en dégageant une chaleur d’environ 100° et des émanations radioactives. Il a également reconnu qu’il devait faire face à une véritable « zone de guerre ». Nucléaire : feu vert au redémarrage de deux réacteurs belges.
L’Agence fédérale de contrôle nucléaire (AFCN) belge a autorisé, mardi 17 novembre, le redémarrage de deux de ses sept réacteurs nucléaires, qui étaient à l’arrêt depuis plus d’un an en raison « d’incertitudes quant à leur sûreté ».
Les réacteurs Doel 3 et Tihange 2 sont exploités par Electrabel, filiale d’Engie. Des microbulles sur les cuves Ils avaient été arrêtés à deux reprises, à l’été 2012 puis en mars 2014 après la découverte de ces microbulles, liées à des défauts de conception sur l’acier de la cuve, réalisée il y a plus de trente ans par l’entreprise néerlandaise RDM, qui n’existe plus aujourd’hui. Un rapport d’expertises, publié en février, évoquait 13 000 microalvéoles sur la cuve de Doel 3 et 3 150 sur celle de Tihange 2.
> À lire : Des fissures bloquent toujours la remise en service de deux réacteurs belges Une mise à l’arrêt qui coûtait cher. Beznau, la centrale gruyère. C’est la plus vieille centrale nucléaire du monde, et elle se trouve en Suisse…lors d’une inspection, les experts ont constaté la présence d’un millier de trous dans la cuve du réacteur suisse.
Pas rassurant. Déjà, l’été dernier, Greenpeace avait alerté l’opinion, constatant que cette centrale nucléaire « ne résisterait pas à un séisme puissant », et avait réclamé la « mise hors service définitive de l’installation »…pour l’instant, sans réponse des autorités. Cette vieille centrale de 46 ans se trouve entre Bâle et Zurich, dans le canton d’Argovie, non loin de la frontière allemande. En Juillet 2012, à la demande de plusieurs organisations écologistes, une expertise réclamée avait apporté un résultat plutôt surprenant.
En effet, IFSN (inspection fédérale de la sécurité nucléaire) avait conclu des examens menés que les centrales nucléaires suisses résisteraient à un grave tremblement de terre, et pouvaient donc rester en exploitation. L’explication complète est sur ce lien.