Maladie d'Alzheimer. Comparaison d'un cerveau normal âgé (gauche) et du cerveau d'un patient atteint d'une maladie d'Alzheimer (droite). Mise en garde médicale La maladie d'Alzheimer En 2015, il y avait approximativement 48 millions de personnes dans le monde atteintes de la maladie d'Alzheimer[3]. Dans les pays développés, c'est l'une des maladies les plus coûteuses pour la société[6],[7] ; la prise en charge des malades coutait environ 1 000 milliards de dollars dans le monde à la fin des années 2010[8]. Face à une prévalence croissante de la maladie, la recherche médicale vise des médicaments bloquant le processus neurodégénératif. Ce n'est qu'en 1907 qu'Alois Alzheimer (1864-1915), un psychiatre et neuropathologiste allemand, publia le premier cas de la maladie qui portera son nom, chez une patiente de 51 ans, Auguste Deter (en), née en 1850.
Durant presque tout le XXe siècle, le diagnostic de maladie d'Alzheimer fut réservé aux individus âgés de 45 à 65 ans manifestant des démences. Avec : Hypermnésie. Description[modifier | modifier le code] Les personnes atteintes d'hypermnésie peuvent se remémorer des périodes lointaines de leur vie, remontant à la petite enfance. Ces souvenirs sont principalement visuels, mais parfois sonores, olfactifs, tactiles, avec des souvenirs de sensations qui leur sont parfois associés. L'hypermnésie ne doit pas être confondue avec la faculté, que nous possédons tous, d'avoir quelques images « flash » sur des événements particulièrement marquants, et souvent violents. Les hypermnésiques décrivent leur mémoire comme fonctionnant par associations incontrôlables. Leur mémoire ne garde pas le souvenir de chaque élément de leur vie. L'hypermnésie ne doit pas non plus être confondue avec les capacités exceptionnelles de mémorisation de certaines personnes, capables de restituer de longues listes de données ne présentant pas un caractère personnel, aptitude qui résulte le plus souvent de l'emploi de moyens mnémotechniques.
Voir aussi[modifier | modifier le code] Syndrome de Korsakoff. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le syndrome de Korsakoff (ou syndrome amnésique avec fabulations ou psychose de Korsakoff ou démence de Korsakoff) est un trouble neurologique d'origine multifactorielle dont une carence en thiamine (vitamine B1) au niveau du cerveau. Il se manifeste par des troubles neurologiques notamment de la cognition (oublis). Sa survenue est souvent liée à l'alcoolisme chronique. Elle peut être due plus rarement à certaines formes de sévères malnutritions. Ce syndrome a été décrit par le neuropsychiatre russe Sergei Korsakoff à la fin du XIXe siècle[2].
Épidémiologie[modifier | modifier le code] Une enquête épidémiologique du syndrome de Korsakoff effectuée à La Haye, Pays-Bas, en 1987 révèle une prévalence de 4,8 pour 10 000 habitants. Causes[modifier | modifier le code] Diagnostic[modifier | modifier le code] Clinique[modifier | modifier le code] Les symptômes majeurs du syndrome de Korsakoff sont[10] : Pathologies associées[modifier | modifier le code] Les différents troubles de la mémoire et leurs causes. Qu’appelle-t-on troubles de la mémoire ?
Les troubles de la mémoire appelés également troubles mnésiques ou perte de mémoire concernent soit la capacité à mémoriser un fait nouveau soit la capacité à retrouver un souvenir, soit les deux. Ainsi, la personne ne se rappelle plus certains faits récents ou des souvenirs anciens, ou les deux à la fois. Qu'est-ce que la mémoire ? La mémoire nous permet d'enregistrer des informations venant d'expériences et d'événements divers, de les conserver et de les réutiliser.La mémoire est donc le souvenir de faits anciens et récents. Il existe trois formes de mémoire.
La mémoire immédiate Elle porte sur les évènements récents et ne dure que quelques secondes. La mémoire à court terme ou mémoire de travail Elle permet de retenir certains événements pendant quelques secondes à quelques minutes. La mémoire à long terme Elle permet d'avoir des souvenirs à long terme. Elle se divise en deux types : la mémoire implicite : elle concerne des processus inconscients. Amnésie collective. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'amnésie collective désigne un biais de la mémoire collective (États, militaires, médias, enseignement et opinions publiques) occultant certains actes ou certaines réalités de leur histoire, afin de rendre celle-ci conforme aux stéréotypes et valeurs identitaires locales[1].
Elle comprend le déni, dans les analyses ou compte-rendus de guerres passées, de faits d'atrocités de son propre camp souvent passées sous silence ou imputées à d'autres (omission sélective) tandis que celles de l'opposant sont librement dénoncées. L'amnésie collective est étroitement associée aux questions identitaires et s'accompagne en général d'une hypermnésie collective des atrocités et souffrances dont la collectivité concernée a été victime, et des faits jugés positifs de son histoire (victoires, secours aux persécutés, développement culturel, social ou économique, rayonnement international)[2]. Guerres, génocides et dictatures[modifier | modifier le code] Amnésie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(juillet 2014). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. amnésie La neuropsychologie étudie les cas de ces lésions au cerveau et les conséquences qui en découlent sur la mémoire : perte de certaines capacités, alors que d'autres restent intactes.
Types d'amnésie[modifier | modifier le code] Le type d'amnésie varie en fonction des zones cérébrales touchées. Amnésie rétrograde[modifier | modifier le code] Amnésie antérograde[modifier | modifier le code] L'amnésie antérograde (ou amnésie de fixation) porte sur les faits postérieurs à l'accident ou à la maladie qui l'a provoquée, la mémoire courte. Amnésie infantile[modifier | modifier le code] Amnésie de la mémoire procédurale[modifier | modifier le code]