http://www.youtube.com/watch?v=u8UJMYiHCT0
Related: 2. Régime de Vichy et collaboration en France • 12_39-4570 ans après la rafle du Vél d'Hiv Plus de 4 Français sur 10 déclarent ne pas avoir entendu parler de la rafle du Vél d'Hiv (dont 67 % des 15/17 ans). C'est le résultat d'une enquête CSA pour l'Union des étudiants juifs de France* publiée ce matin alors que débutent les cérémonies marquant le 70e anniversaire de l'événement. Un sondage que certains mettent en cause pour sa trop grande précision. Plus de 13.000 juifs étrangers réfugiés en France ont été arrêtés dans Paris et sa région par la police française les 16 et 17 juillet 1942. Dont un peu plus de 8.000 ont été enfermés au Vélodrome d'Hiver, détruit en 1959.70 ans, c'est une période frontière à partir de laquelle s'effacent peu à peu les traces concrètes au fur et à mesure que disparaissent les survivants.
La deuxième guerre mondiale en Première - La déportation et le système concentrationnaire nazi par Jean-Pierre Husson Même si la mortalité dans les camps de concentration de l'Allemagne nazie a été élevée, il convient d'emblée de bien distinguer les termes de camps de concentration et de camps d'extermination. Le terme de camp de concentration n'a pas été inventé par les nazis. Il a été utilisé dès le début du XXème siècle par les Britanniques, lors de la guerre des Boers qui les a opposés en Afrique du Sud aux descendants des colons néerlandais. Dans l'Allemagne hitlérienne, la fonction des camps de concentration était une fonction d'exclusion et de terreur. Ces camps étaient destinés à recevoir non seulement les adversaires des nazis, mais aussi tous les individus considérés comme dangereux pour le régime nazi.
Rafle du Vélodrome d'Hiver Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jardin du souvenir à l'emplacement du Vel' d'Hiv. L’organisation de la rafle[modifier | modifier le code] La rafle du vel' d'hiv' IV J/SA 225a Ro/Bir Urgent ! Présenter immédiatement ! Paris, le 10.7.1942 A l'Office Central de Sécurité du Reich IVB 4 Berlin Objet : Évacuation des Juifs de France. Procès de Nuremberg : accusés, chefs d'accusation, condamnations Après la guerre, les populations européennes qui avaient subies la barbarie nazie demandèrent justice. C’est dans cette optique que fut mis en branle le procès de Nuremberg où furent jugés les principaux chefs nazis. Ils étaient accusés d’un crime nouveau, celui contre l’Humanité, concept alors inédit. Le procès Qui sont ces hommes ? Premier rang, de gauche à droite (voir photo ci-dessous) : Hermann Göring , Rudolf Hess , Joachim von Ribbentrop , Wilhelm Keitel , Ernst Kaltenbrunner , Alfred Rosenberg , Hans Frank , Wilhelm Frick , Julius Streicher , Walther Funk , Hjalmar Schacht.
Introduction du dossier « Les années noires 1940-1945 » - Pour mémoire - CNDP Plusieurs expressions, qui témoignent de l’évolution de l’historiographie, désignent la période que la France a vécue pendant la Seconde Guerre mondiale. Pendant longtemps, on parle de « l’Occupation », mettant ainsi l’accent sur les Allemands, au détriment de l’action du gouvernement du maréchal Pétain. Suite aux travaux de Robert O. Paxton[1], l’expression « la France de Vichy », qui met en valeur les responsabilités françaises, se généralise. Dans ce dossier, nous lui préférerons celle des « années noires », empruntée au titre du livre de Jean Guéhenno [2], parce que, étant plus neutre quant à l’historiographie, elle permet d’en restituer tous les apports. Auteurs :
Le Procès de Nuremberg: Juger pour l'histoire ? Le 20 novembre 1945 s’ouvre le procès de Nuremberg. Cette ville, autrefois scène des grandes messes national-socialiste, va abriter durant 10 mois une des plus importantes procédures juridiques du XXe siècle. 24 hauts responsables du Troisième Reich, vont devoir y répondre de chefs d’accusation d’une exceptionnelle gravité, et les condamnations qui s’en suivront feront jurisprudence, posant les bases d’un nouveau volet du droit international. Pourtant, on ne peut nier la dimension hautement politique de ces procès, dont les enjeux concernent à la fois l’avenir de l’Allemagne et le rapport de force est-ouest. Vers un tribunal pénal international Le, ou les procès de Nuremberg constituent l’aboutissement du processus de maturation du concept de tribunal pénal international, dont on peut faire remonter l’origine aux Lumières (si ce n’est avant).
Aux racines de l'antisémitisme français Ne laissons pas je ne sais quel irénisme naïf nous dissimuler cette réalité : l’antisémitisme s’aggrave en Europe et en France en particulier, en violent antagonisme avec les valeurs primordiales de la République telles qu’elles sont issues du meilleur des Lumières. Quand bien même il faut prendre garde comme pour toutes les époques, à ne pas surévaluer le degré de représentativité des crimes, des cris, des profanations et même des lapsus qui créent la douleur et mettent en alerte, on ne peut pas ces temps-ci faire l’économie d’une réflexion sur l’histoire de ce fléau, sur la diversité dans la longue durée de ses ressorts comme de ses manifestations intellectuelles, politiques et sociales. Sur les rythmes de ses expressions, non moins, entre cheminements souterrains et brusques surgissements. Programmation sonore :
Nuremberg : le premier procès filmé Le 20 novembre 1945, le procès intenté aux principaux criminels de guerre nazis s'ouvrait devant le Tribunal militaire international TMI siégeant à Nuremberg, l'ancienne capitale des congrès du parti nazi. A peine six mois après la capitulation du Reich, 22 de ses dignitaires étaient jugés. Assis côte à côte sur des bancs situés en face des juges, la mine plus ou moins défaite, ils répondront tous négativement à la question de leur culpabilité éventuelle. A l'issue des débats, le 1er octobre 1946, seuls Hjalmar Schacht, Franz von Papen et Hans Fritzsche furent déclarés non coupables. Le TMI se caractérise d'emblée par ses multiples innovations. La première est la nature internationale de l'instance judiciaire voulue par les Alliés.
Robert Paxton, historien : “La cicatrice de l’Occupation a du mal à se refermer” Trente ans après sa première publication, reparaît son grand livre “Vichy et les Juifs”. Une version revue et augmentée qui contre implacablement le révisionnisme toujours vivant. Rencontre avec l'historien américain Robert Paxton. Robert Paxton, professeur d'histoire émérite à Columbia University (New York), est l'auteur de La France de Vichy, paru aux éditions du Seuil en 1973, et de Vichy et les Juifs, paru en 1981 aux éditions Calmann-Lévy. C'est ce dernier livre que Robert Paxton réédite aujourd'hui (avec Michael R.
Expliquez-nous... Hiroshima "Nous avons employé la bombe atomique afin de raccourcir l'angoisse de la guerre, afin de sauver les vies de milliers et de milliers de jeunes américains." C'est ainsi qu'Harry Truman justifiait ce premier bombardement nucléaire. En 1945, Hiroshima est une ville de 350.000 habitants sur la côte Nord de la mer intérieure de Seto qui séparent les Iles japonaises. Bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki : déjà le 70ème anniversaire Un champignon atomique dans le ciel nippon. Tout le monde à cette image en tête. Cette terrible image ! Rappelez-vous, les 6 et 9 août 1945, les Américains lançaient des bombes atomiques au-dessus d'Hiroshima puis de Nagasaki, deux villes restées tristement célèbres. C'était sur ordre du président Harry S.
L'idéologie raciste nazie Les Juifs sont considérés par les nazis comme responsables de tous les maux de l'Allemagne. Avant d'arriver au pouvoir, les nazis encouragent déjà au boycott des magasins juifs en incitant les Allemands à ne pas y acheter des produits. Puis, dès 1933, avec la prise de pouvoir d'Hitler, les scènes de pillage et de violences envers les communautés juives se multiplient.