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Le cerveau ne peut pas faire deux choses à la fois

Le cerveau ne peut pas faire deux choses à la fois
Pour ceux qui sont nouveaux ici: la science prend du temps, je publie quand je peux, le mieux est de me suivre sur Twitter, Facebook ou Google Plus. Pour tester votre attention la vidéo « the invisible gorilla » et d’autres sont ici: « Whodunnit », la vidéo anglaise qui prove que vous ne verrez jamais un cycliste sur votre route: Un grand merci à Stanislas Dehaene, qui n’a pas besoin de présentations et dont les contributions en ligne sont nombreuses (émissions, cours du collège de France, conférences, etc. il suffit de taper son nom). Et pour ceux qui voudraient visiter la Silicon Valley française: ne vous inquiétez pas, nul besoin de faux taxis, un métro est prévu d’ici 201… (à vérifier). Signaler ce contenu comme inapproprié Related:  LES NEUROSCIENCES EN EBULLITIONSciences cognitivesAPPRENTISSAGE

Ocular Motor System (Section 3, Chapter 7) Neuroscience Online: An Electronic Textbook for the Neurosciences | Department of Neurobiology and Anatomy - The University of Texas Medical School at Houston 7.1 Introduction The simplicity of the motor systems involved in controlling eye musculature make them ideal for illustrating the mechanisms and principals you have been studying in the preceding material on motor systems. They involve the action of few muscles and of well defined neural circuits. We use our eyes to monitor our external environment and depend on our ocular motor systems to protect and guide our eyes. In this chapter we will start at the level of reflex responses and move onto more complex voluntary responses in the following lecture. 7.2 Ocular Reflex Responses The ocular reflexes are the simplest ocular motor responses. In general, ocular reflexes are consensual (i.e., the response is bilateral involving both eyes). A. Tactile stimulation of the cornea results in an irritating sensation that normally evokes eyelid closure (an eye blink). The corneal eye blink reflex neural circuit: This neural circuit (Figure 7.1) is relatively simple, consisting of the B. C. D.

Matière et mémoire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Matière et Mémoire est un ouvrage d'Henri Bergson traitant de la question de la mémoire et plus particulièrement du problème des rapports entre le corps et l'esprit. Il a été écrit en 1896. Présentation générale[modifier | modifier le code] Il constitue une analyse du problème classique de l'union de l'âme et du corps. Différentes formes de mémoire[modifier | modifier le code] Par ailleurs, il distingue deux formes de mémoire: - La mémoire habitude: elle rejoue le passé, elle le répète. La mémoire pure ou mémoire souvenir: elle enregistre le passé sous forme de "souvenir-image". Conséquences métaphysiques[modifier | modifier le code] Dans sa philosophie, Bergson accuse la métaphysique de mal poser les problèmes. Bergson distingue réellement l'âme et le corps. Bibliographie[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Notes[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code]

Les mathématiques de haut niveau, au cœur de l’étude du cerveau Peut-il y avoir une pensée sans langage ? Voici une question séculaire qui intrigue bien des philosophes et scientifiques. Dans ce débat, les mathématiques ont un statut particulier. Pour certains, tel Noam Chomsky, l’activité mathématique a émergé chez l’Homme comme conséquence de ses capacités de langage. Au contraire, la plupart des mathématiciens et physiciens pensent que la réflexion mathématique est indépendante du langage. Visualiser le cerveau mathématicien en action L’imagerie cérébrale permet aujourd’hui de poser cette question en laboratoire. Jusqu’à présent, les neurosciences cognitives ont principalement étudié les aires cérébrales impliquées dans l’arithmétique élémentaire. Pour la première fois, nous avons pu mettre en place une expérience permettant de déterminer quelles aires cérébrales sont impliquées dans la réflexion mathématique de haut niveau. Les aires cérébrales activées par les mathématiques ne sont pas celles du langage Une relation à interroger

Comment étudier? public Views 28070 Comment étudier? created using Penang Startup Ecosystem template published by PRÉCA Share149 Blog Resources © 2017 Piktochart. Privacy Policy Terms and Conditions Conseils extraits du webinaire de monsieur Steve Masson « Comment étudier - une perspective de la neuroscience. » Pour visionner le webinaire : www.preca.ca/conference Essaie de te souvenir du contenu de ton cours Prépare-toi des questions, et essaie d’y répondre Refais les tests et les exercices vus en classe Étudie avec une autre personne et posez-vous des questions T'entraîner à activer ton cerveau Quand tu apprends, tu changes ton cerveau, tu modifies sa structure. Étudie plus souvent, mais moins longtemps Étudier sur une longue période est moins efficace que d’étudier sur plusieurs courtes périodes. Espacer tes périodes d'études Révise plus d’un sujet durant une période d’étude Prépare-toi un calendrier de tes périodes d'étude Dors bien Étudie un peu la veille Croire que tu peux t'améliorer Pour étudier efficacement

Envoi février 2018 Steve MASSON :« Aider les élèves à transformer leur cerveau en espaçant les périodes d’apprentissage » Jean-Luc BERTHIER : « Neurosciences cognitives au service de l’apprentissage ». L’auteur présente des pistes crédibles émanant des sciences cognitives autour des axes fondamentaux de l’apprentissage : mémorisation, compréhension, attention, implication et place du numérique. Steve MASSON : « Comment étudier ? ». Elena PASQUINELLI : Une vidéo très complète sur les neuromythes, les méconceptions et leur résistance. Sharon PEPERKAMP, directrice du département d’études cognitives de l’ENS sur « Comment les bébés font-ils pour apprendre une langue ? DOSSIER de notre équipe Apprendre et Former avec les sciences cognitives DEVENIR RELAIS-RESSOURCES dans votre établissement, remise à jour LE SIXIEME CONGRES DE l’ARN (Association pour la Recherche en Neuroéducation) se tiendra à la Sorbonne du 6 au 8 juin.

Entretien : « Nos émotions assurent notre survie » © Jupiter Parce qu’elles nous fondent, les refuser, c’est se mettre en danger. Mieux vaut donc les vivre pleinement, mais sans démesure, préconisent les auteurs de « La Force des émotions ». Isabelle Taubes Amies ou ennemies, les émotions ? Colérique, anxieux, jaloux, dépri-mé, hyperémotif, vous êtes tenté d’adopter le second point de vue. Psychologies : Pourquoi avons-nous des émotions ? • François Lelord : Selon les psychologues évolutionnistes héritiers de Darwin, notre gamme d’émotions s’est inscrite dans nos gênes dans la mesure où elles assurent notre survie. • Christophe André : Selon les psychologues « culturalistes », les émotions sont des codes qui permettent de communiquer les uns avec les autres.

Comment le cerveau se souvient-il de certains rêves? David est un chasseur de rêves capable d'entrer dans le sommeil des gens pour en ramener des objets. Perrine, elle, veut découvrir la signature neurophysiologique du rêve. David est le héros d'un roman du prolifique Serge Brussolo, publié il y a quinze ans, Le Syndrome du scaphandrier. Le Dr Perrine Ruby est une scientifique bien réelle, qui travaille au laboratoire Dycog (Dynamique cérébrale et cognition) du Centre de recherche en neurosciences de Lyon. Elle est aussi professeur à l'université de Swansea (pays de Galles). Elle a publié l'an dernier les résultats de ses travaux sur les rêves dans les revues internationales Cerebral Cortex et Neuropharmacology. «Tout le monde a envie de mieux connaître le rêve, constate Perrine Ruby, mais c'est un objet de recherche qui ne se laisse pas facilement attraper.» Pourtant, le dogme s'est fissuré dans les années 2000. Le voile s'entrouvre donc un peu plus sur les mystères du rêve mais il reste encore beaucoup à découvrir.

Qu'est-ce qu'un "neuromythe?" L'utilisation avertie des connaissances concernant le cerveau et ses fonctions peut nous conduire à de meilleurs choix et décisions, plus informés et conformes à la réalité. C'est le cas notamment dans le domaine de l'éducation, où le cerveau et ses modifications dues à l'apprentissage sont au coeur des pratiques. Mais pour que cette utilisation soit profitable, il est nécessaire qu'on sache identifier, dans la masse d'informations en circulation, celles fondées sur les faits. La place de plus en plus importante que prennent les sciences du cerveau dans notre société s'accompagne en effet par ailleurs de simplifications excessives, de distorsions des résultats expérimentaux et de leurs interprétations, de mécompréhensions - d'idées irréalistes, non fondées sur les faits, que nos propres intuitions et espoirs contribuent à renforcer. Un cas de neuromythe Les neuromythes sont une classe spécifique de croyances concernant le fonctionnement de notre cerveau Génèse des neuromythes Quoi faire?

La valeur de l'erreur Il est interdit de se tromper Même si cette règle n’est pas explicite, nous l’avons tous intégrée. Nous savons qu’il est préférable d’éviter le mot « faute » qui est chargé de culpabilité alors que l’erreur se corrige et permet l’apprentissage, mais malgré cette prise de conscience, nous n’avons toujours pas le droit à l’erreur. Combien d’enfants et d’adultes préfèrent ne pas faire plutôt que de mal faire ? Rendre l’erreur constructive et même heureuse est un réel défi. Face à la douleur de l’erreur, « c’est pas moi, c’est les autres » Notre culture est aussi celle de la culpabilité. Et si évaluer, c’était donner de la valeur ? Dès la maternelle, des bonhommes pas contents ou contents viennent souvent évaluer les productions des touts petits. Le point rouge et la remarque « ton tracé manque beaucoup de précision et d’assurance » ne sont pas accusateurs mais l’enfant risque de se sentir frustré, angoissé, surtout s’il a mis toute son énergie pour s’appliquer et faire plaisir à sa maîtresse.

Emotions ?... vous avez dit : émotions ?... En parcourant le web, je suis il y a peu tombée sur cette « fleur » des émotions (présentée en anglais sur Wikipédia). Elle m’a immédiatement fait penser et réfléchir aux spécificités des surdoués… A l’origine de cette fleur : Robert Plutchik , psychologue de l’université de Floride. La théorie de Plutchik concernant les émotions est la suivante : Plutchik a d’abord présenté les différentes émotions sous forme de diagramme, puis sous forme de cône : … avant de le présenter dans sa forme « circomplexe » (la fleur) qui est la version développée du cône, mais qui fait apparaître des sentiments qui correspondent à des mélanges d’émotions : ainsi par exemple joie et acceptation sont les ingrédients de l’amour, répugnance et chagrin celui du remords… Autant de combinaisons que connaissent bien les spécialistes du marketing et de la communication pour faire passer leurs messages… Ici, en anglais, un article Wilkipedia qui entre dans le détail des émotions primaires et mixtes. Pearl Buck (1892 – 1973)

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