7 conseils pratiques pour ceux qui veulent (vraiment) changer le monde Il est toujours délicat (et souvent très prétentieux) de donner des conseils dans un domaine où l’on a pas soi-même fait ses preuves. C’est pour cette raison que le titre de ce billet doit être pris comme une plaisanterie. Pourtant, mon propos est sérieux car en tant qu’observateur attentif du monde associatif, il m’est donné de voir naître de nombreuses initiatives et projets dont l’objectif n’est rien de moins que de « changer le monde« . Qu’il s’agisse de réveiller les consciences, de les appeler au grand soir, ou de proposer concrètement d’autres manières de se nourrir, se soigner, habiter, apprendre, travailler et produire et que sais-je encore, des milliers d’associations fleurissent chaque année pour porter un projet d’organisation alternative, leurs inventeurs revendiquant pour la plupart un changement de paradigme. Interrogez d’abord votre ego Le sage a dit :Changer le monde, ce n’est pas en devenir le maître. – Le sage C’est peu probable et çà n’est pas souhaitable.
Anarcho-communisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Symbole du communisme libertaire. Drapeau du communisme libertaire. 1er mai 2012, lors de la manifestation Occupy Chicago. Offenburg en 2005. Kafe 44 à Stockholm. 20 janvier 2005, Washington DC. L'anarcho-communisme ou communisme libertaire est une doctrine politique au croisement de deux autres : Le communisme libertaire est proche du socialisme libertaire, dont il constitue un dérivé[1],[2] et de l'anarcho-syndicalisme. Le projet des communistes libertaires n'est pas le désordre social, mais au contraire, l'établissement d'un nouvel ordre social, juste et émancipateur grâce à l'abolition conjointe du capitalisme et de l’État. Origine et histoire du communisme libertaire[modifier | modifier le code] Le mouvement anarchiste est depuis ses origines associé au mouvement socialiste : les anarchistes socialistes comptent au XIXe siècle des personnalités comme Déjacque, Proudhon, Bakounine ou Cœurderoy. L'héritage de Marx est contrasté en la matière.
Économie du don : Pas d'argent ? Pas de problème ! Alors que la crise économique réduit toujours plus le pouvoir d’achat des populations, les alternatives aux échanges marchands se multiplient sous forme de don ou de troc. Cristóbal Gracia nous explique comment les systèmes alternatifs fonctionnent. Un article initialement publié en espagnol sur le site consumocollaborativo.com Notre système financier a récemment été renfloué par l’Union Européenne, mais des millions de personnes demeurent sans emploi ni revenu. Les salaires et pensions diminuent à vue d’oeil, le crédit se restreint pour les familles et les entreprises, et bien entendu, les coupes budgétaires se succèdent. Dans ce contexte, la grande question qui s’impose est : Comment allons nous vivre ? Même si nous sommes loin d’avoir une réponse évidente, il est clair que la crise actuelle est un contexte idéal pour les personnes créatives. Quelles sont ces initiatives ? La culture du don Magasins gratuits Givebox Les Gratiferias Credit ArcoirisUniversal.org Gift Circles
Vivre sans argent en France, pas si difficile que ça Après avoir passé trois ans sur le continent américain à « vivre sans argent », c’est-à-dire sans salaire, me voici de retour en France. Ce choix de vie fonctionnait plutôt bien outre-Atlantique et j’étais curieux de voir comment la France et les Français réagiraient à ce genre d’initiatives. Making of Depuis que Benjamin Lesage a ouvert son porte-monnaie de voyageur sans argent à Rue89, nous avons gardé contact. Le jeune couple a un projet fou : monter une communauté sans argent, dans le sud de la France. Cet été, ils sont partis sur les routes – toujours sans le sou – pour visiter des éco-lieux et essayer de trouver l'endroit idéal pour démarrer leur projet, Eotopia. Dans Eotopia, éco-lieu végétalien, « tout sera gratuit, dénué d’échanges commerciaux ». J’étais à Belfort lorsque la douleur surgit et je me mis immédiatement en quête d’un dentiste. Elle me fixa un autre rendez-vous pour que nous parlions de ce que je pouvais faire pour elle mais, « a priori, il n’y a pas de problèmes ».
Comment vivre sans argent : le témoignage de Pavlik Elf Pavlik Elf était développeur web pour le secteur du luxe, avec ses vacances en yacht, ses jets privés, ses clubs. En rupture avec son entreprise, il se fait licencier et décide de quitter le système monétaire. Vêtements, transports, nourriture : il récupère, profite de la solidarité des amis, expérimente d’autres modes de fonctionnement. Et retrouve la liberté qu’il n’avait plus, notamment en matière de travail. Son sac à dos, c’est comme sa maison. Tout bascule il y a cinq ans environ. Toutes ces choses auxquelles il assiste chaque jour, le mettent profondément mal à l’aise... Et c’est le début de son aventure sans argent. Reportage réalisé par le site SideWays, web-série documentaire présentant des initiatives solidaires, positives et originales, qui sont « des idées pionnières ou bien des remèdes au système actuel, dans lequel de moins en moins de personnes se retrouvent », expliquent les initiateurs du projet, Hélène Legay et Benoit Cassegrain de l’association Contre-courant.
L’été des makers: où passer des vacances DiY? Les Camps Commons Camp (Calvanico, Italie), du 29 juin au 10 juillet Encore quelques jours pour aller faire un tour au Commons Camp organisé par le Rural Hub de Calvanico, près de Naples, pour douze jours intensifs autour de projets collaboratifs pour une économie partagée. Trois ateliers sont proposés aux makers, permaculturistes, hackers et biohackers, artistes et chercheurs, administrations locales et innovateurs sociaux. Plus d’infos sur le site de Commons Camp Camp++ 0x7df (Komárom, Hongrie), du 9 au 12 juillet Le hacker camp Camp++ 0x7df fête cet été sa troisième édition. Informations et billetterie sur le site du Camp++ 0x7df Summer Camp Garrotxa (Girone, Espagne), du 10 au 12 juillet Pour hacker en pleine nature, rendez-vous au summer camp Garrotxa, dans la province de Girone en Espagne. Infos et inscription au Summer Camp Garrotxa Summer Session (Druskininkai, Lituanie), du 18 au 25 juillet Pour un été studieux, direction la Lituanie. PIF Camp (Ljubljana, Slovénie), du 3 au 9 août
Ils ont choisi de vivre sans argent Réagissez : Partagez : Instrument d’aliénation pour les uns, clé du bonheur pour les autres, l’argent régit nos vies quelle que soit notre relation avec lui. Pour ne pas donner raison à notre société de consommation en masse, certains optent pour la sobriété volontaire. Heidemarie Schwermer, une Allemande d’une soixantaine d’années a décidé il y a 15 ans de « tout plaquer ». Le déclic, Heidemarie l’a eut un peu plus de 20 ans en arrière lorsqu’elle a divorcé. Mais dans cette ville importante de l’ouest de l’Allemagne, elle a été frappée par le nombre de sans-abri. Heidemarie s’est aperçue que finalement, ce n’étaient pas les déshérités, ceux qui vivaient dans la rue, qui franchissaient la porte de sa boutique. Ai-je vraiment besoin de toutes mes possessions ? Et c’est donc ainsi que Heidemarie a quitté son métier dans lequel elle ne se sentait pas épanouie pour vivre d’un petit boulot, lui permettant de gagner le strict minimum. > suite : l’histoire d’Heidemarie, à voir et à lire
A fond pour vivre sans un rond : cinq exemples à suivre Image: zooboing Alors que le concept de revenu universel ou "de base" fait progressivement des émules, certain(e)s décident d'aller encore plus loin et de vivre volontairement sans argent. Pourquoi ? Comment ? Heidemarie Schwermer, vit sans argent depuis 17 ans C'est en 1996 que cette ancienne institutrice allemande âgée aujourd'hui de 71 ans décide de se passer d'argent. Pour elle, l’argent éloigne de l’essentiel: se débarrasser du superflu permet un mode de vie plus sain et heureux. Vivre sans argent, c’est possible par Gentside Daniel Suelo, vit sans argent depuis près de 14 ans Couverture du livre de Mark Sundeen qui retrace la vie de Daniel Suelo L'américain Daniel Shellabarger vit sans argent depuis septembre 2000. Il vit de cueillette, de glanage, de dons et ne propose rien en retour. S'il est possible de suivre Suelo sur son blog, les deux reportages suivants (en anglais) expliquent en détail comment cet homme arrive à bien vivre autrement: Reportage pour la BBC Pour aller plus loin
La tendance des villes autosuffisantes | Les incroyables à la Une Enquête sur un véritable phénomène de société : "La tendance des villes autosuffisantes" par le site du développement durable et de la nouvelle consommation consoGloble. Dernièrement, on note une envie croissante de la population à consommer local, à privilégier les circuits courts et à s’approvisionner en réduisant les distances. Dans son sillage, émerge une volonté – utopique ? – de développer des villes autosuffisantes. L’autosuffisance, c’est quoi ? La ville de Todmorden a pour objectif depuis 2008 de parvenir à l’autonomie alimentaire d’ici à 2018. Le terme revêt plusieurs aspects qu’il paraît important de détailler. Elle distingue les grandes approches économiques du point de vue de la dépendance – indépendance vis à vis des ressources vitales ou jugées stratégiques pour les individus ou la collectivité. Autosuffisance énergétique Autosuffisance alimentaire C’est la possibilité pour un pays de subvenir aux besoins alimentaires de son peuple par sa seule et propre production.
En Suisse, des stickers sur la boite aux lettres indiquent les objets que l’on veut bien prêter « Nous sommes partis du constat qu’il y a souvent en ville une certaine gêne à oser sonner chez ses voisins lorsqu’on requiert leur aide, » explique Sabine Hirsig. Elle est l’une des quatre jeunes créateurs à l’origine du projet Pumpipumpe (à prononcer « poumpipoumpé ») né à Berne en Suisse. Le principe est simple : cette initiative invite à coller sur sa boîte aux lettres des stickers indiquant les objets que l’on veut bien à prêter à ses voisins. Cela peut être des outils de bricolage (une perceuse, une scie…) ou de jardinage (une tondeuse à gazon..), des ustensiles de cuisine, des livres, un accès WiFi, etc. Un sticker existe pour chaque objet. Le nom du projet Pumpipumpe vient du dialecte alémanique et peut se traduire par « prête moi ta pompe à vélo ». Pour en savoir plus : Springwise
Dégustation de BonSens, Incredible Edible #StopGaspillage #DBS Dégustation de BonSens, Incredible Edible #StopGaspillage #OccupyBelgium et les mouvements Indignés du monde entier appellent à la RESISTANCE. Nous vous invitons à rejoindre nos actions pour la Liberté, l'Égalité, la Paix, la Justice et la Réelle Démocratie à travers le monde.