Un buste en marbre d'Adolf Hitler réalisé par son "sculpteur officiel" a été retrouvé en Pologne, caché sous terre Actualités > À Chaud > Un buste en marbre d'Adolf Hitler réalisé par so... À Chaud #Hitler Un buste en marbre d'Adolf Hitler réalisé par son "sculpteur officiel" a été retrouvé en Pologne, caché sous terre Un buste en marbre d'Adolf Hitler réalisé par Josef Thorak, un des "sculpteurs officiels" du IIIe Reich, a été retrouvé caché sous terre lors de travaux, a annoncé ce jeudi le Musée national de Gdansk (nord de la Pologne). Entre les deux guerres, Gdansk (Danzig en allemand) était une ville libre, avec une majorité allemande et le bâtiment du musée abritait le siège du musée municipal (Stadtmuseum). "C'est une sculpture importante car on ignorait son existence. "Le buste sera nettoyé et inventorié dans les prochains jours. + d'infos Partager Sur le web : Les écologistes en visite à Notre-Dame-des-Landes Contenus recommandés par Outbrain A lire aussi Sur les sites du groupe
lesoleil.gc Le visiteur passant par des portes blindées rouillées récupérées dans différents camps de «l'archipel du goulag», des Solovki à Kolyma, entendra les verrous qui claquent et l'aboiement des chiens de garde. Dans l'obscurité totale, les fenêtres étant drapées de tissu noir, on se sent coupé du reste du monde. «Comme ceux qui se trouvaient complètement isolés après leur arrestation», explique Egor Laritchev, le directeur adjoint du musée du Goulag. Des écrans interactifs retracent l'histoire d'ex-détenus et de leurs proches, mais aussi celles de leurs gardiens. «À son apogée en 1937, la terreur a touché quasiment chaque Soviétique, qu'il soit victime, délateur ou gardien», poursuit M. Laritchev. Avec ses 2500 photographies, témoignages, objets personnels et documents historiques, le nouveau musée occupe un bâtiment de quatre étages non loin du centre de Moscou, nettement plus que le précédent musée du Goulag qui n'occupait que quelques pièces. Ne pas taire notre histoire
Allemagne : un ex-infirmier d'Auschwitz de 95 ans jugé apte à comparaître L'accusé, baptisé Hubert Z. selon la presse allemande, devra donc répondre de «complicité» dans l'extermination d'au moins 3 681 Juifs gazés dès leur arrivée dans le camp emblématique de la Shoah à la fin de l'été 1944. Invalidant la décision rendue en première instance en juin, la cour d'appel de Rostock (Ndlr : dans le nord-est du pays) a estimé vendredi qu'il n'était pas «totalement inapte» à être jugé. Les magistrats relèvent dans un communiqué les «troubles cognitifs» et les «faibles capacités physiques» de l'ancien nazi mais estiment pouvoir les compenser par des aménagements de l'audience. Assisté de «trois défenseurs», le nonagénaire pourra bénéficier de «pauses, interruptions, soins médicaux», faire répéter les questions du tribunal et solliciter des explications, détaille le communiqué. L'accusation couvre 14 convois... dont celui d'Anne Frank
Faut-il rééditer «Mein Kampf»? C’est un best-seller mondial, mais il est toujours interdit de publication dans plusieurs pays. Du moins pour quelques jours encore. Le 1er janvier, Mein Kampf, la bible de l’antisémitisme et du nazisme, tombera dans le domaine public en Allemagne. Soixante-dix ans après la mort de son auteur, le manifeste antisémite rédigé en prison par Adolf Hitler après son putsch manqué de 1923 sera libre de droits. Depuis 1945, les droits de Mein Kampf étaient détenus par le ministère des Finances de Bavière, qui en interdisait la publication et la traduction partout où cela était possible. Même si Fayard a promis qu’il verserait les profits à une association humanitaire, cette décision suscite de vives réactions. « Non ! Mais ce n’est pas l’opinion majoritaire, loin de là. Le dernier tabou « Mein Kampf demeure un texte tabou, un texte qui fait peur. Pourtant, en pratique, dit Vitkine, le droit de publier Mein Kampf ne changera presque rien. Best-seller dans le monde arabe Un livre à étudier
15 septembre 1935 - Des lois pour séparer les Juifs des autres Allemands Le 15 septembre 1935, deux ans après sa prise de pouvoir, Hitler entame la mise en oeuvre des chapitres antisémites de son programme politique. Devant les militants du parti nazi, réunis en congrès à Nuremberg, il annonce la promulgation de deux lois qui visent à séparer les citoyens juifs des autres Allemands. Des lois d'exclusion Quand Hitler prend le pouvoir, peu de gens prêtent attention à ses foucades antisémites et même l'on peut dire que certains juifs allemands ne voient pas d'un mauvais oeil l'arrivée d'un homme à poigne à la tête de l'État. Tout change à Nuremberg. Par une deuxième loi «sur la sauvegarde du sang et de l'honneur allemand», il leur interdit d'épouser ou de fréquenter des «Aryens», c'est-à-dire des citoyens allemands réputés de race pure. Dans un discours qui fait suite à la promulgation de ces lois, Hitler les justifie en assurant qu'elles devraient stabiliser les relations entre «Juifs» et «Aryens»...
untitled untitled Le fin mot de l'Histoire : quelle a été la dernière phrase d'Adolf Hitler avant de mourir ? L’ambiance est étrange dans ce bunker aménagé à huit mètres de profondeur sous la Nouvelle Chancellerie qui n’est plus qu’un tas de ruines. Hitler n’a plus vu la lumière extérieure depuis neuf jours, et ne la reverra plus jamais. Le 20 avril, jour de son cinquante-sixième anniversaire, il est sorti quelques instants, le temps de distribuer d’une main tremblotante des Croix de fer à quelques membres des Jeunesses hitlériennes. Les plus jeunes ont douze ans et mourront bientôt au sein des unités antichars. Depuis neuf jours, Hitler vit terré comme un rat, les rats dont il s’est si souvent servi pour qualifier les Juifs qu’il a exterminés. Quand il apprend l’exécution de Mussolini, et le déchaînement de la foule à Milan sur son cadavre et celui de sa compagne Clara Petacci, il est plus que jamais certain d’avoir pris la bonne décision. Au loin, les bruits des combats dans les rues de Berlin. Il reste un mince espoir : que les troupes du généralWenck parviennent à entrer dans Berlin.
untitled untitled untitled Un physicien montréalais de 101 ans témoin du siècle nucléaire Alors que la Corée du Nord dit avoir réussi son premier essai de bombe à hydrogène, un physicien montréalais de 101 ans raconte comment il a vécu le siècle du nucléaire et, par ses travaux, contribué au développement de la bombe atomique. Maxence Bilodeau s'est entretenu avec Pierre Demers, qui se souvient du projet Manhattan, auquel il a participé bien involontairement, et de la bombe d'Hiroshima. Au début de la Deuxième Guerre mondiale, Pierre Demers quitte la France où il exerçait le métier de physicien et atterrit à l'Université de Montréal. Il travaille au « laboratoire de Montréal », où sans le savoir, il fait des recherches avec d'autres scientifiques dont les résultats sont transmis aux responsables du projet Manhattan. « Nous connaissions l'existence du projet Manhattan, mais on ne savait pas qu'ils avaient l'intention de créer une bombe », raconte Pierre Demers.