Un buste en marbre d'Adolf Hitler réalisé par son "sculpteur officiel" a été retrouvé en Pologne, caché sous terre Actualités > À Chaud > Un buste en marbre d'Adolf Hitler réalisé par so... À Chaud #Hitler Un buste en marbre d'Adolf Hitler réalisé par son "sculpteur officiel" a été retrouvé en Pologne, caché sous terre Un buste en marbre d'Adolf Hitler réalisé par Josef Thorak, un des "sculpteurs officiels" du IIIe Reich, a été retrouvé caché sous terre lors de travaux, a annoncé ce jeudi le Musée national de Gdansk (nord de la Pologne). Entre les deux guerres, Gdansk (Danzig en allemand) était une ville libre, avec une majorité allemande et le bâtiment du musée abritait le siège du musée municipal (Stadtmuseum). "C'est une sculpture importante car on ignorait son existence. "Le buste sera nettoyé et inventorié dans les prochains jours. + d'infos Partager Sur le web : Les écologistes en visite à Notre-Dame-des-Landes Contenus recommandés par Outbrain A lire aussi Sur les sites du groupe
Utiliser édugéo en histoire : appréhender le front de 14 -18 L’expérience combattante est la notion-clé du chapitre consacré au premier conflit mondial dans les classes de première. S’il s’agit d’aborder la guerre en privilégiant la place, le sort et le vécu des combattants, victimes et acteurs de la violence, il n’en est pas moins nécessaire de fixer rapidement le décor général dans lequel ces hommes ont évolué durant les quatre années du conflit. Dans cette perspective, on peut utiliser les ressources publiées sur le portail édugéo à l’occasion du centenaire de manière très rapide et très simple. Montrer la « guerre de siège » à l’échelle européenne Une fois connecté à édugéo, on accèdera aux données consacrées à la Première Guerre Mondiale depuis l’onglet "Données édugéo" (les couches visées se situent tout en bas de la liste : "Guerre 14 - 18"). Sélection de la couche consacrée à la Première Guerre Mondiale Mesurer l’ampleur de la guerre de siège La guerre à l’échelle du champ de bataille : les environs de Verdun en 1916
lesoleil.gc Le visiteur passant par des portes blindées rouillées récupérées dans différents camps de «l'archipel du goulag», des Solovki à Kolyma, entendra les verrous qui claquent et l'aboiement des chiens de garde. Dans l'obscurité totale, les fenêtres étant drapées de tissu noir, on se sent coupé du reste du monde. «Comme ceux qui se trouvaient complètement isolés après leur arrestation», explique Egor Laritchev, le directeur adjoint du musée du Goulag. Des écrans interactifs retracent l'histoire d'ex-détenus et de leurs proches, mais aussi celles de leurs gardiens. «À son apogée en 1937, la terreur a touché quasiment chaque Soviétique, qu'il soit victime, délateur ou gardien», poursuit M. Laritchev. Avec ses 2500 photographies, témoignages, objets personnels et documents historiques, le nouveau musée occupe un bâtiment de quatre étages non loin du centre de Moscou, nettement plus que le précédent musée du Goulag qui n'occupait que quelques pièces. Ne pas taire notre histoire
Présentation du dossier « L'armistice du 11 novembre 1918 » - Pour mémoire - CNDP L’armistice, signé le 11 novembre 1918 entre les Alliés et l’Allemagne marquant la fin de quatre années de guerre, constitue un moment clé de la conscience nationale et européenne. « L’École a pour mission l’enseignement de l’histoire de la Grande Guerre, et également la transmission de la mémoire » (*). La commémoration de l'armistice permet de mener un travail d'Histoire ancré dans un enseignement de la citoyenneté et des valeurs de la République. © H. Marquis Partant des événements de l'année 1918 (voir le chapitre 9 du livre La Grande Guerre par M.C Bonneau-Darmagnac, Fréderic Durdon, Pierrick Hervé, CRDP de Poitiers collection trait d’union, 2008) qui ont conduit à l'arrêt des combats, cet opus de la collection « Pour Mémoire » met en évidence les spécificités de la Première Guerre mondiale. (*) Commémoration du 90e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale, Bulletin officiel de l’Éducation nationale, n° 24 du 12 juin 2008. La Grande Guerre, M.C.
Allemagne : un ex-infirmier d'Auschwitz de 95 ans jugé apte à comparaître L'accusé, baptisé Hubert Z. selon la presse allemande, devra donc répondre de «complicité» dans l'extermination d'au moins 3 681 Juifs gazés dès leur arrivée dans le camp emblématique de la Shoah à la fin de l'été 1944. Invalidant la décision rendue en première instance en juin, la cour d'appel de Rostock (Ndlr : dans le nord-est du pays) a estimé vendredi qu'il n'était pas «totalement inapte» à être jugé. Les magistrats relèvent dans un communiqué les «troubles cognitifs» et les «faibles capacités physiques» de l'ancien nazi mais estiment pouvoir les compenser par des aménagements de l'audience. Assisté de «trois défenseurs», le nonagénaire pourra bénéficier de «pauses, interruptions, soins médicaux», faire répéter les questions du tribunal et solliciter des explications, détaille le communiqué. L'accusation couvre 14 convois... dont celui d'Anne Frank
Introduction du dossier « Les fusillés de la Grande Guerre » - Pour mémoire - CNDP Nous proposons dans ce dossier de revenir sur un phénomène tragique qui a traversé la Grande Guerre de part en part, touché tous les États belligérants, tous les fronts, dès les premiers jours de la guerre et posé aux autorités tant militaires que politiques des questions portant sur leur fonctionnement, leur finalité, leur existence même, puisqu’il s’agit de réfléchir sur la question de l’exécution de soldats au sein de leur propre armée. Nous centrons le propos sur le cas français, non qu’il soit plus important que les autres, mais parce que les sources et l’historiographie dont nous disposons permettent de construire un discours véritablement problématisé et de livrer des conclusions tangibles. D’autre part, la figure du fusillé a opéré un retour en force dans l’actualité, dans les champs mémoriels, dans les débats politiques au point de prendre une place peut-être démesurée face au nombre réel de cas. Le plan du dossier articule six aspects principaux de la question.
Faut-il rééditer «Mein Kampf»? C’est un best-seller mondial, mais il est toujours interdit de publication dans plusieurs pays. Du moins pour quelques jours encore. Le 1er janvier, Mein Kampf, la bible de l’antisémitisme et du nazisme, tombera dans le domaine public en Allemagne. Soixante-dix ans après la mort de son auteur, le manifeste antisémite rédigé en prison par Adolf Hitler après son putsch manqué de 1923 sera libre de droits. Depuis 1945, les droits de Mein Kampf étaient détenus par le ministère des Finances de Bavière, qui en interdisait la publication et la traduction partout où cela était possible. Même si Fayard a promis qu’il verserait les profits à une association humanitaire, cette décision suscite de vives réactions. « Non ! Mais ce n’est pas l’opinion majoritaire, loin de là. Le dernier tabou « Mein Kampf demeure un texte tabou, un texte qui fait peur. Pourtant, en pratique, dit Vitkine, le droit de publier Mein Kampf ne changera presque rien. Best-seller dans le monde arabe Un livre à étudier
Index alphabétique at Témoignages de 1914-1918 (Haut de page) 15 septembre 1935 - Des lois pour séparer les Juifs des autres Allemands Le 15 septembre 1935, deux ans après sa prise de pouvoir, Hitler entame la mise en oeuvre des chapitres antisémites de son programme politique. Devant les militants du parti nazi, réunis en congrès à Nuremberg, il annonce la promulgation de deux lois qui visent à séparer les citoyens juifs des autres Allemands. Des lois d'exclusion Quand Hitler prend le pouvoir, peu de gens prêtent attention à ses foucades antisémites et même l'on peut dire que certains juifs allemands ne voient pas d'un mauvais oeil l'arrivée d'un homme à poigne à la tête de l'État. Tout change à Nuremberg. Par une deuxième loi «sur la sauvegarde du sang et de l'honneur allemand», il leur interdit d'épouser ou de fréquenter des «Aryens», c'est-à-dire des citoyens allemands réputés de race pure. Dans un discours qui fait suite à la promulgation de ces lois, Hitler les justifie en assurant qu'elles devraient stabiliser les relations entre «Juifs» et «Aryens»...
L'accueil | LA GRANDE GUERRE EN DESSINS untitled Historiques régimentaires des unités engagées dans la Première Guerre mondiale Les historiques régimentaires sont nés de la volonté du ministère de la guerre et de l'état-major de l'armée de produire une relation des faits d'armes glorieux de chaque unité, permettant ainsi d'enseigner les traditions aux jeunes soldats et de forger un esprit de corps indispensable à la bonne tenue des unités au combat. Le concept d'historique régimentaire est ancien mais son application ne s'est généralisée que sous la Troisième République. En 1900, la collection était quasi complète. En 1919, le grand quartier général des armées françaises puis le ministre de la guerre prescrivirent aux unités et services d'établir des historiques de campagne 1914-1918.